Aujourd’hui, petit exercice d’extrapolation. Ou de divination si vous préférez.
Je m’appuie sur les éléments de langage mis en place par les gouvernements (en France, mais pas uniquement).
“Jusqu’à l’été“, “l’été prochain au moins“, “31 août“, “gestion au long cours“, “vivre avec le virus sur le temps long“.
Cette forme de programmation temporelle se retrouve encapsulée dans de nombreux canaux depuis quelques semaines (ce qui permet de détecter l’évidente opération -concertée- de communication).
-il va y avoir un relâchement pour les fêtes de noël. Il faut bien donner un susucre au cheptel.
-puis on restera en régime dit “semi-molle” (que les hommes connaissent bien…). En clair : des restrictions, toujours, des règles absurdes, toujours, mais moins de pressions.
-puis un nouveau coup de chaud en février (la saison des grippes). Le virus est bêtement saisonnier. De nouveau le cirque “pas assez de lits, ouin ouin, on va tous mourir” (mode Caliméro).
-relâchement au printemps, mais avec toujours des foyers épidémiques ici ou là.
-je ne crois pas aux vaccins comme “butée temporelle” qui feraient miraculeusement disparaître la covidémence et le couillonavirus, dans le sens “avant/après”, “on/off”.
-l’idée est plutôt d’achever de vous rendre dociles. Un an et demi de stress couillonaviral et de restrictions folles des libertés… eh bien ces dernières mécaniquement seront devenues normales. Acceptées par le grand nombre.
L’homme s’habitude à tout, et même au pire. Grenouille dans la casserole d’eau chaude.
Voilà le programme “jusqu’à l’été ” donc. Cahin caha.
Et après ?
C’est ici que la divination commence (avant, trop facile, aucun risque d’erreur).
Mon opinion : la fin de la covidémence, c’est-à-dire disparition naturelle du virus ou vaccins qui lui règleraient définitivement son compte, n’est pas envisageable.
Tout ce boulot qui passerait à la trappe ? Une telle formidable psyop mondiale pour gagner quelques milliards de dollars ? Ou satisfaire l’égo de Véran la vérole, ou de Salomon l’homme poisson ? Je n’y crois pas une seule seconde.
Le pognon c’est un sous-objectif, un bénéfice collatéral. Les luttes d’égo, de simples divertissements ou effets de bord locaux.
Mais alors comment maintenir voire relancer la pression ? Quel pourrait être le prochain acte de cette vaste pièce de théâtre ?
Et comment, rétrospectivement et de manière très efficace, blanchir tout l’appareil covidément et ses actions (et éviter les poursuites judiciaires par exemple) ?
Vous voyez où je veux en venir ?
Un nouveau virus.
Mais bien sale, bien mortel celui-là…
😉
La première lame, Covid-19, a redressé le poil.
La seconde le coupera.
Les virus sont les lames.
Et vous, vous êtes… les poils.
Je vous casse le moral ?
Je sais. 😉
Ca fera 25 euros la consultation.
Tarif conventionné.
POST SCRIPTUM
Bon arrêtons l’ironie.
J’évoque ici une suite logique.
La covidémence étant à mon sens une gigantesque opération, provoquée (le timing est bien trop parfait)… la question de fond est donc : où veulent-ils aller ?
Je le répète : gagner du pognon, dérisoire, et tellement plus facile avec des moyens conventionnels.
Accroître le contrôle sur le cheptel ? Ce n’est pas une finalité, mais un moyen.
Alors ?
Je vois donc deux hypothèses, j’insiste, logiques :
GENOCIDE
La grande décimation. nous sommes trop nombreux sur cette planète, et surtout trop d'”inutiles“, comme le dit dans son infinie ingénuité Laurent Alexandre (au passage le “dieu” a franchement… une sale gueule, pour les gènes de la statuaire greco-romaine classique, faudra repasser 😉 ).
On pollue, on consomme des ressources. Je serais un dangereux psychopathe, avec de gros moyens, cette conclusion me semblerait imparable : il faut exterminer une large partie de la population.
Une “pandémie” est le meilleur moyen pour faire le boulot vite fait bien fait. Et naturellement…
Dans toutes les équations type Club de Rome… on ne se préoccupe jamais d’un des principaux facteurs… car il est tabou : la population.
Avec plus de 7 milliards d’individus, il y a des problèmes objectifs (épuisement des ressources, pollution etc.). Et les problèmes sont compliqués à résoudre sur cette échelle.
Avec une population globale ramenée à 500 millions ? Il n’y aurait plus aucun problème. 😉
Jardin d’Eden 2.0.
Ce scénario logique est la version 2.0 du célèbre mot de Staline, véritable expert en la matière et grand sage mécompris : “La mort résout tous les problèmes. Pas d’hommes, pas de problèmes.”
ADAPTATION AUX FORCEPS
Dans ce scénario on ne tue pas la population. On la gère. On la façonne.
Il s’agit de forcer une adaptation très rapide et très douleureuse sur l’humanité dite “riche” (la part qui consomme le plus de ressources).
Depuis des mois on nous bourre le mou avec “Le grand reset”, d’après le bouquin du cinglé de Davos. C’est selon moi une… énième psyop.
On réinitialise un ordinateur quand il bogue et ensuite, il fonctionne normalement.
Cette expression est donc totalement impropre.
C’est un leurre.
Elle permet de cacher le véritable enjeu : le grand appauvrissement.
La cible ? Pas les crèves la faim (Afrique) et autres pays shitholiens… Eux n’ont rien. Difficile de leur enlever ce rien.
Non la cible c’est bien entendu d’abord l’Occident… Vous mes chéri(e)s. Vous les bien gras, avec vos “droits“, vos “retraites“, votre “Sécu“, vos “congés payés“, vos “déficits” ah ah ah ah.
Dire “les gars va falloir diviser votre niveau de vie par X car pic pétrolier etc” n’est pas dicible. Et même pas compréhensible par le troupeau.
Seule solution : fabriquer une cause naturelle permettant d’expliquer le grand appauvrissement.
Le couillonavirus.
Il s’agit de construire une causalité pour les neuneus bobos concons occidentaux.
“Tu es devenu une loque, un crève la faim sans boulot ? C’est la faute à dame Nature : le virus. Désolé. Faut accepter. S’adapter. Tiens voilà une poignée de graines, et tiens toi tranquille sinon le coup de trique ou l’attentat islamo-coucou”.
Ergo : on va le faire durer ce virus, forcément, car sinon le cheptel ne comprendrait pas. Le virus a disparu, pourquoi on ne revient pas au “monde d’avant” ?
Ce scénario est mon préféré. Et il est tout à fait compatible avec mon analyse “chinoise” du coupable idéal : certains pays vont bien entendu tenter de conserver leur niveau de vie, voire l’augmenter… au détriment des autres.
On trouve une remarquable illustration de ce plan dans la scène d’un film fameux : “Finie la p’tite auto ! Finies les vacances au Crotoy ! Fini le tiercé“.
Ajoutez la modernité 2.0, la terreur, les technologies, le pic pétrolier… Tout y est.
Et le titre… piquant… me paraît prémonitoire. 😉
4 replies on “Extrapolation et divination : suite de la tragédie ?”
L’objectif c’est de se maintenir au pouvoir face a la crise économique.Mais écoutez le langage gouvernemental et des médias,il a changé.Les gens respectent de moins en moins le deuxième confinement.Les forces de l’ordre sont peu présentes et pas assez nombreuses pour controler le pays.Quand on est dépassé,on fait semblant de décider de la suite.
Supprimer une grande partie de la population, je ne pense pas, ce n’est pas nécessaire ni souhaitable : il n’y a pas vraiment de problème de ressources pour le moment, et même s’il y en avait, ils s’en tapent, ça ne les concernera pas.
Au contraire, jouer sur ce problème (réel ou supposé) est un excellent moyen de propagande et de contrôle dont il serait bête de se priver.
Par ailleurs, la production étant directement proportionnelle au facteur travail, si on divisait celui-ci par 5 ou 10, le niveau de vie de nos zélites risquerait quand même de s’en ressentir – en tout cas il y aurait moins de places au chaud.
Le socialisme, a fortiori mondial (puisque c’est de ça qu’il s’agit) étant économiquement inefficient , il faut maintenir une large population pour que la production totale reste suffisamment importante et puisse financer les moyens de puissance et le niveau de vie des élites et de leurs sbires.
Si l’URSS n’avait pas eu son immense population, elle n’aurait jamais pu devenir une puissance de premier plan, étant donné sa production ridicule par tête de pipe. Et malgré cette population, le niveau de vie des dirigeants n’était quand même pas optimal, ils avaient beau avoir accès aux palais, aux datchas, aux magasins spéciaux, aux devises et aux biens étrangers, franchement, rouler en ZIL, être entouré d’infrastructures pourries et vivre dans un environnement déprimant, c’est quand même pas très excitant 🙂
Dans la version 2.0 du socialisme international, il faudra donc s’assurer que la production reste suffisante, donc suffisamment de population (et éviter les bêtises du communisme pur et dur, un socialisme ayant les apparences de la liberté économique est infiniment plus malin)
Pour moi, ce qui se passe, c’est simplement “business as usual”. Ils continuent d’avancer leurs pions vers le gouvernement socialiste mondial. Rien de nouveau sous le soleil, ça fait 50 ans (au moins) que c’est lancé, ils passent juste la seconde ou la troisième.
Toute la question est de savoir si ce passage de troisième a été prémédité en “fabriquant” le Covid, ou si le Covid a été simplement une occasion inattendue. J’avoue que je suis agnostique sur ce point.
Quant à la finalité de tout ça, c’est simple et vieux comme le monde : comme pour toutes les tyrannies le but est de verrouiller la position de ceux qui sont en haut, en s’imaginant pouvoir se soustraire aux soubresauts de la populace (pouah), aux soubresauts économiques, civilisationnels, religieux, conflictuels, etc.
C’est la prétention folle et prométhéenne à vouloir contrôler le futur et le rendre certain. C’est l’idéologie de “fin de l’Histoire”.
On rajoute ensuite un vernis faussement humaniste là-dessus pour s’assurer la collaboration des idiots utiles et des kapos du système, et roule ma poule.
Evidemment, c’est une pure utopie qui explosera en plein vol comme toutes les tyrannies de l’Histoire. Mais cette fois le prix risque d’être particulièrement élevé.
Il reste cependant un espoir du côté des USA. Et ça se joue maintenant. Il est possible qu’un nouveau mur de Berlin tombe.
Le Pic Petrolier est évidemment a mon sens, la seule explication plausible. Faire croire qu’on nageait dans un ocean de petrole, tout en attaquant sans relache Libye, Syrie, Irak, en collant des sanctions a tous les pays producteurs (Russie, Iran, Venezuela), et en pronant la voiture electrique a tout bout de champ sous couvert de rechauffement climatique, montrait que la panique grandissait chaque jour. Finalement, avec la destruction de la plus grande raffinerie d’Arabie Saoudite, la chute constante de production des champs de la mer du Nord, etc…le pic est bien la. On ne pourrait pas l’admettre, car ce serait devoiler la gestion irresponsable des ressources fossiles de nos gouvernements.
Alors le virus, qui cloue les avions au sol, stoppe le tourisme, interrompt les deplacements, bref, stoppe la consommation de petrole, et bien trouvé. Combien de temps cette entourloupe va t elle durer? Nul ne le sait, mais nous n’allons pas vers un monde meilleur.
Iran / Vénézuéla… C’est bien pire que des sanctions. C’est une guerre acharnée et surtout… perpétuelle. C’est simple, l’Iran ça a commencé… dès 1979. 😉 (et même avant si on prend en compte le coup d’état de la CIA en 1953).
Et ce qui est remarquable c’est la constance… Les admninistrations US changent… mais contre l’Iran, la pression est constante et féroce (et même durant Obama) depuis 40 ans…
Tout ça pour les méchants yeux des Mollah ? Et les beaux yeux d’Israël ?
La haine et l’amour ont des limites.
L’Iran c’est surtout de gigantesques réserves d’hydrocarbures, facilement accessibles, et mal exploitées depuis des décennies (car embargo, sanctions etc.).
Bref, c’est un énorme paquet-cadeau. 😉
Enfin, l’enjeu n’est pas forcément (dans un premier temps du moins) de “piquer” le pétrole des Iraniens…. C’est surtout de leur interdire de s’en servir comme d’une fabuleuse arme économique/géopolitique qui CROIT EN PUISSANCE chaque année (sans rien faire ! il suffit d’attendre que le pic se développe, et contamine le monde).