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Médicament

USA : zut, encore une étude qui démontre l’efficacité de la chloroquine

“Eh merde, ça se rapproche… Ils vont finir par me gauler”

Didier Raoult caresse sa célèbre barbiche… Et le petit Olivier mange ses crottes de nez tellement il est stressé.

Notre professeur national avait pourtant prévenu les enfants : “le seul juge de paix c’est le temps. Et le temps fera apparaître la vérité “…

Et pas de bol, comme la terrible pandémie se poursuit… il y a donc des milliers, des dizaines de milliers de médecins dans le monde qui font face à des couillonavirés, et qui les soignent, et qui font des tests, et qui les étudient.

Bref, qui bossent, contrairement aux fonctionnaires bas de plafond qui prétendent régenter notre santé.

Les mois passent donc, et les données qui démontrent l’efficacité de l’HCQ s’ajoutent, s’empilent les unes par dessus les autres.

Ca déborde (voir : https://c19study.com)

Dernière en date (qui sera publiée en décembre) :

A peer-reviewed study measuring the effectiveness of a controversial drug cocktail that includes hydroxychloroquine concluded that the treatment lowered hospitalizations and mortality rates of coronavirus patients.

The study, set to be published in the International Journal of Antimicrobial Agents in December, determined that “Low-dose hydroxychloroquine combined with zinc and azithromycin was an effective therapeutic approach against COVID-19.”

A total of 141 patients diagnosed with the coronavirus were treated with the three-drug cocktail over a period of five days and compared to a control group of 377 people who tested positive for the virus but were not given the treatment.

The study found that “the odds of hospitalisation of treated patients was 84% less than in the untreated patients,” and only one patient died from the group being treated with the drugs compared to 13 deaths in the untreated group (Source Washington Examiner)

Vérandouille et son copain Salomon l’homme-poisson qui remonte le cours de sa propre bêtise sont appelés à l’accueil.

Pas avec un change propre.

Mais avec un trousseau complet (et surtout beaucoup de savonnettes, un sport toujours très populaire en prison…).

Pour assurer leur futur long séjour en taule.

“Vous inquiétez pas les gars. Vous serez bien pris en charge en zonzon…”

2 replies on “USA : zut, encore une étude qui démontre l’efficacité de la chloroquine”

Et allons-y, une autre qui montre que ça marche.
Ben ça me fait même pas plaisir.
Même, ça me fiche en rogne. J’en ai marre de voir étude sur étude, randomisée ou comparative qui compte les morts à droite et à gauche pour avoir toujours les mêmes conclusions, et que passent à la trappe des Fauci, des Véran, des Pfizer et autres Moderna. Celle-ci ne changera rien. Y’a pas de traitement à cette maladie hypra mortelle. Point barre.
 Raz la casquette sévère d’avoir des putains de comités d’éthiques qui valident des saloperies d’études qui tueront des gens. Plein le cul d’entendre des enfoirés de soi disant médecins qui condamnent à mort des gens venir se féliciter de la qualité de leurs travaux.

149 malades=>1mort. ben je dois être con, mais en gros 377 malades =2 ou 3 morts. Trois je veux bien, c’est le coup du pas de chance. Mais 13?? Alors donc ces gentils médecins ont tranquillement regarder s’étouffer jusqu’à la mort 10 personnes??? Bande d’assassins.

Sans parler du ratio choisi. Deux fois moins de gens traités que de gens qui ne le seront pas. Bande de sadiques meurtriers.

C’est pour jouer à quoi? Aux sauveurs de l’humanité? A “ben moi j’en ai une plus belle que la tienne”? Bande d’émasculés du cœur.

Qu’on le leur colle en clystère le sars-cov2, à tous ces prétendus médecins, chefs de clinique, directeurs de comités d’éthique, et qu’on les mette tous dans le bras placébo+paracétamol d’une étude scientifique golden standard. Et j’insiste. Paracétamol. A haute dose. Et Redemsivir en traitement complémentaire pour ceux qui survivent un peu.

Quant à moi, je ne suis pas prête à mettre le pied chez un toubib, quelle que soit la maladie que j’aurais

C’est un paysage rude, à peine humain, que vous contempliez. Aujourd’hui, je vous le donne tout imprégné de médecine, animé et parcouru par le feu souterrain de notre art.

La première fois que je me suis planté ici, au lendemain de mon arrivée, je n’étais pas trop fier ; je sentais que ma présence ne pesait pas lourd.

Ce vaste terroir se passait insolemment de moi et de mes pareils. Mais maintenant, j’ai autant d’aise à me trouver ici qu’à son clavier l’organiste des grandes orgues.

Dans deux cent cinquante de ces maisons — il s’en faut que nous les voyions toutes à cause de l’éloignement et des feuillages — il y a deux cent cinquante chambres où quelqu’un confesse la médecine, deux cent cinquante lits où un corps étendu témoigne que la vie a un sens, et grâce à moi un sens médical.

La nuit, c’est encore plus beau, car il y a les lumières. Et presque toutes les lumières sont à moi. Les non-malades dorment dans les ténèbres. Ils sont supprimés.

Mais les malades ont gardé leur veilleuse ou leur lampe. Tout ce qui reste en marge de la médecine, la nuit m’en débarrasse, m’en dérobe l’agacement et le défi. Le canton fait place à une sorte de firmament dont je suis le créateur continuel.

Et je ne vous parle pas des cloches. Songez que, pour tout ce monde, leur premier office est de rappeler mes prescriptions ; qu’elles sont la voix de mes ordonnances. Songez que, dans quelques instants, il va sonner dix heures, que pour tous mes malades, dix heures, c’est la deuxième prise de température rectale, et que, dans quelques instants, deux cent cinquante thermomètres vont pénétrer à la fois…

Knock ou le Triomphe de la médecine

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