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Vaccinocircus

Oh zut : thérapie Frankenstein au UK, premières réactions allergiques

“J’ai une petite fringale. J’me reprendrais bien une nouvelle petite dose, moi. Ca tombe bien Castex en a commandé 100 millions. Pas vrai Jeannot ?”

Oh zut.

A peine la première journée de la glorieuse campagne de vaccination massive au Royaume-Uni fut passée… que boum… les premiers emmerdements arrivent.

Rezut.

Les autorités sanitaires britanniques ont déconseillé mercredi 9 décembre d’inoculer le vaccin de Pfizer et BioNTech contre le nouveau coronavirus aux personnes ayant eu dans le passé d’«importantes réactions allergiques», deux personnes ayant mal réagi aux premières injections.

Le Royaume-Uni a été le premier pays à autoriser ce vaccin et a commencé mardi une campagne massive de vaccination, dirigée pour l’instant vers les soignants et les personnes âgées. «Deux personnes ayant connu des réactions allergiques importantes ont mal réagi», a indiqué Stephen Powis, directeur médical du service national de santé (NHS) pour l’Angleterre. (source Le Figaro)

Les essais cliniques de la thérapie génique de Pfizer n’avaient -curieusement- pas révélé cet effet secondaire fâcheux. En tout cas pas publiquement.

Et comme par hasard, c’est seulement hier que Pfizer a lâché quelques données à ce sujet.

‘The occurrence of any allergic reaction was one of the factors monitored in the phase 3 clinical trial of this Pfizer/BioNTech COVID-19 vaccine, the detailed data from which was released yesterday. In this, they reported a very small number of allergic reactions in both the vaccine and placebo groups (0.63% and 0.51%). (DailyMail)

Oh c’est vraiment trop dommage. Quelle tristesse. Tous ces allergiques qui ne pourront pas recevoir la précieuse thérapie génique de Pfizer révolutionnaire de la galaxie.

Plus sérieusement cela confirme tout ce qui a été dit : les gens qui se font injecter ces produits sont… des cobayes, ni plus ni moins.

Ca peut très bien se passer… Ou pas.

Et il faudra attendre 2 ou 3 ans avant d’avoir des données solides et surtout complètes.

D’ici là, si vous êtes en bonne santé, et si vous avez moins de 65 ans, refusez absolument tous ces “vaccins” contre une maladie bénigne.

Ces produits sont parfaitement inutiles.

Et c’est à ce jour la principale critique rationnelle et factuelle que l’on peut, que l’on doit faire (quant aux risques, il faudra attendre).

POST SCRIPTUM

Et comme un gag n’arrive jamais seul, signalons que 4 testeurs de la thérapie génique de Pfizer aux Etats-Unis ont développé… une paralysie faciale (source RT).

La FDA réclame de la vigilance mais note que de tels nombres sont attendus dans la population générale, statistiquement parlant. Donc, pas de soucis.

😉

Il est vrai aussi, statistiquement parlant, qu’en sortant dans la rue tu peux te faire renverser par un bus.

Ou te faire égorger par un islamiste ne partageant pas tes codes culturels.

C’est vrai.

Vivre c’est mourir. Et vice et versa. 😉

POST COITUM

Encore un dangereux complotiste qui prend la parole.

Eric Caumes, chef du service infectiologie de la Pitié-Salpêtrière (gros hôpital à Paris 13ème), hier dans le Parisien.

“En lisant les 53 pages, quelque chose m’a frappé. Je n’ai jamais vu une fréquence aussi élevée d’effets indésirables pour un vaccin ! En dehors des réactions minimes dues à l’injection comme des rougeurs et douleurs locales, d’autres effets indésirables sont recensés à des taux relativement élevés surtout chez les jeunes et après la deuxième dose. Prenons l’exemple de la fièvre, elle peut survenir de manière passagère après une injection, c’est classique. Mais là, 15,8 % des 18-55 ans ont eu 38 °C ou plus dans les sept jours qui ont suivi la seconde injection. Et 45 % ont dû prendre un médicament contre la fièvre ou la douleur. On parle aussi de 55 % de maux de tête, 62 % de fatigue. Non mais là, c’est beaucoup trop, il y a peut-être un problème…

Tu crois vraiment Eric ?

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Saloperie et sida mental

Ami surfeur, réjouis-toi : comme prévu, la troisième vague arrive

Après la première, la deuxième, voici la troisième vague qui arrive ! C’est Gabi qui l’a dit !

Ce fut le sketch de l’été.

Nous sommes passés à l’heure d’hiver. Pouf, ça devient donc le gag de l’hiver.

La vague.

La première.

La deuxième.

Et puis bien entendu, la troisième qui pointe le bout de son nez et de ses rouleaux.

Les vagues du grand déferlement se sont retirées et sur la mer calmée se forment des cercles sur lesquels voguent les diplomates qui s’imaginent être les auteurs de l’accalmie.

Eh oui les mecs, c’est du Léon Tolstoï. Allez placer cela sur un blog en 2020 !

Certains covidéments avaient pris de l’avance (on pense à des Australiens, et même à… la Mayenne, si, si !) et parlaient déjà de troisième vague en… octobre (lire mon article décoiffant ici).

C’est bientôt Noël, alors c’est le petit Gabriel Attal, gentil porte-parole neuneu du gouvernement, qui désormais s’y colle.

A sa décharge, il a vraiment un boulot à la con puisque le gouvernement est une brochette d’individus qui ont cette particularité physique de rapprocher le plafond du sol (Véran, Castex etc.).

«Il y a un risque de troisième vague. C’est déjà le cas aux États-Unis et dans certains pays asiatiques. (…) Ce risque existe et je pense que les Français l’ont parfaitement intégré», a-t-il déclaré (source Le Figaro).

Une déclaration forte, risquée et si délicieusement numérale (eh oui après le deux, il y a le trois, puis le quatre, le cinq, le six, etc. Bravo Gabriel ! )

Aucune importance si ce qu’il raconte est un condensé d’extrait de jus de merde. Il n’y a aucune “troisième vague” aux USA ou en Asie… A part dans le cerveau malade des ministres, des fonctionnaires et des médias complices de la covidémence.

Il y a simplement un ou des virus qui sont saisonniers.

En été, dans l’hémisphère nord, ils font la “sieste” et se réveillent avec l’arrivée de l’hiver.

Quelle découverte. Il y a davantage de gens malades en hiver qu’au mois d’août.

Pas besoin d’avoir fait l’ENA pour comprendre cela.

Mais parler de “vague” permet de terroriser les populations…. comme les “vagues” d’assaut, comme les vagues de soldats chinois déferlant sur le nord de la Corée en 1950, ou les “vagues” des grandes offensives de la guerre de 14-18, etc.

Avant d’être un expert en vaguelette, le gentil Gabriel était un expert en lecture du Monde, pieds nus au bord de la Seine, tout en sirotant un verre de rosé. Bref, un sacré branleur.
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Tests PCR

Tests PCR : dans le labo du Kansas, le CT s’élève à 42

Le délire des tests PCR dure depuis des mois alors que le problème fondamental de cette procédure a été exposé à de nombreuses reprises : c’est le réglage du CT (cycle threshold, nombre de cycles d’amplification) qui fait tout.

Au-delà de 35… le résultat sera positif mais il n’y a pas de virus concrètement dans le corps. Juste quelques fragments inertes.

Et pourtant, le prélèvement sera qualifié de “positif“, et alimentera les bilans horriques diffusés quotidiennement dans la plupart des pays occidentaux. Milliers, dizaines de milliers, centaines de milliers de “nouveaux cas“, qui s’amoncellent dans un tsunami couillonaviral destiné à foutre la pétoche au cheptel.

Or… ce sont pour la plupart des gens qui ne sont pas malades, et absolument pas contagieux, les fameux “asymptomatiques“… infectés par la terrible pandémie comme Noël est le 25 mars.

Tout ceci a été dit et répété par des scientifiques et même publié dans des grands médias (exemple cet article de New York Times en août).

Mais rien n’y fait.

On peut encore lire des documents officiels, récents (octobre !), qui donnent des détails invraisemblables sur cette gigantesque manipulation.

Exemple avec le Kansas.

Le département de la santé de cet état américain n’hésite pas à claironner que dans leur labo le CT des PCR est réglé sur… 42 !

A un tel niveau, même un caillou, le chien d’Olivier Véran ou un parcmètre sera “positif “… 😉

On comprend pourquoi le nombre de covicas explose outre-Atlantique…

Vous trouverez dans ma rubrique “Test PCR” d’autres articles démontrant le mécanisme et l’arnaque.