Enième scandale. Enième délire “démocratique”.
Les députés européens ont été appelés à voter en urgence en spetembre un budget de 2,1 milliards d’euros pour l’achat de vaccins.
Michèle Rivasi est députée européenne (France), membre de la commission contrôle budgétaire. Elle voulu consulter les contrats passés avec les labos pharmaceutiques.
-CureVac (labo allemand) : la consultation se fait exclusivement dans une salle de lecture. Interdit de copier ou de venir avec un expert des contrats par exemple.
-67 pages. 45 minutes autorisées.
-Chapitre “prix” : l’info est caviardée.
-Chapitre “responsabilités” : 2 pages caviardées
-Combien concrètement CureVac a reçu sur l’enveloppe de 2,1 milliards ? Caviardé.
-calendrier de livraison : pas de réponse
-quel est le lieu de production : caviardé
“C’est une insulte aux députés européens”, dit-elle. “On sert à quoi ?”
Concernant Pfizer et Moderna, qui ont pourtant reçu une autorisation de mise sur le marché en Europe… L’information est totalement verrouillée. Impossible de consulter les contrats.
Cette bande de crapules (fonctionnaires corrompus et entreprises privées copines)… invoquent la bouche en cul-de-poule le “secret des affaires“, avatar moderne 2.0 du fameux “secret d’état” (ou “sécurité nationale”).
Toute la covidémence est entâchée de scandales, de dissimulations, de mensonges. C’est ahurissant. Toute la chaîne est corrompue.
“On va porter plainte contre la Commission pour qu’elle nous fournisse les informations”. “Les états membres sont complices, car ils ont accès à l’infos”. “A qui profite le crime ? Aux laboratoires pharmaceutiques”.