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Prospective : à mon tour de vous faire peur

“Faudra que je pense à repasser ma capuche. Faut que j’achète une bouteille de lait aussi”.

Reconnaissez que ce n’est pas le style de la maison puisque je m’échine depuis juillet à dégonfler la baudruche couillonavirale…

A mon tour, pour une fois donc, de vous faire peur. 😉

D’abord une affirmation : tout est fait pour perpétuer artificiellement la covidémence (grossir la réalité de la menace, si vous préférez). Quoi qu’il en coûte.

L’année qui vient de s’écouler le démontre.

Okay sur ce postulat de départ ? Je pense qu’il y a consensus à ce sujet parmi les covirésistants.

Maintenant, faisons un peu de prospective et moulinons la machine à frissons.

Si on se place sur le temps long (encore un an de plus minimum, Australie, Nouvelle-Zélande, à la pointe, en parlent déjà)… la covidémence va perdre mécaniquement de sa puissance.

Vous connaissez le mot fameux :

On peut tromper une partie du peuple tout le temps et tout le peuple une partie du temps, mais on ne peut pas tromper tout le peuple tout le temps.

En clair : pour durer (ou atteindre d’autres objectifs que nous ne connaissons pas) la covidémence va devoir se relancer. Se réinventer. Se renforcer

Un fait avéré : l’apparition des “mutants”.

Là encore, il est évident qu’ils sont déjà instrumentalisés.

De plus, comme le rappellait très tôt Raoult, c’est la nature : les virus mutent… en permanence. Les membres du Conseil scientifique et Vérandouille ne semblent pas au courant, mais ceci est un autre sujet.

Réfléchissons alors sans plus aucune barrière mentale, ni morale…

Voici le scénario.

Vous voulez éliminer physiquement une large partie de la population mondiale (peu importe pourquoi, disons simplement que vous êtes très méchant. Et très dingue).

Si vous créez un virus dans un labo avec des caractéristiques ad hoc... vous prendriez un risque important : celui d’être démasqué.

Car de telles bidouilles génétiques peuvent se voir (le fameux gain of functions… les Chinois -entre autres- ont travaillé là-dessus, et sur des coronavirus de chauve-souris, comme le rappellent officiellement les Américains. Ah vous ne saviez pas ? Faut lire ici).

Ne serait-il pas plus efficace, plus furtif de lancer dans un premier temps un virus “naturel” (fuite d’un labo, mettons par hasard à… Wuhan  en Chine).

Puis de tout faire pour qu’il se diffuse LE PLUS LARGEMENT POSSIBLE sur la planète avec :

  • covidémence
  • refus de fermer les frontières au début [mais on le fait un an après…]
  • confinement, restez chez vous, contaminez tout le reste de votre famille
  • n’allez surtout pas voir votre médecin
  • faire la guerre à toute forme de traitements médicamenteux
  • promouvoir des vaccins qui pourraient accélérer les mutations

Inutile de continuer la liste, vous connaissez la musique.

Au passage, promouvoir un médicament… mutagène (Remdesivir par exemple). Ca c’est pour le fun et pour le côté vicelard. 😉

Ensuite…. vous savez que le virus va naturellement muter. Partout. Et beaucoup.

Plus il se diffuse sur le globe, plus le virus infecte des populations variées et nombreuses, plus ces mutations augmentent.

Vous obtenez mondialement de très nombreux “mutants”, parfaitement naturels

Et là, à ce moment, lorsque les mutations naturelles sont exponentielles… vous balancez votre variant spécialement designé.

Il sera caché. La probabilité de son apparition sera beaucoup plus élevée qu’au début de la pandémie avec la génération 1…

De plus, vous avez pris soin pendant des mois de covidémence de détruire les défenses immunitaires (physiques et mentales) du cheptel, ses capacités de raisonnement… Grâce à la terreur entretenue, vous avez brisé les gens.

Le “mutant” artificiel alors pourrait flamber… panique totale… la cause humaine de l’opération serait alors dissimulée derrière tout ce bordello viral mondial.

La fin de l’histoire serait alors facile à écrire : le Covid a muté dans une forme extrêmement mortelle. La Nature a puni l’humanité. Désolé. Adieux. Prout.

Clap de fin.

Mission accomplie.

Bien entendu, tout ceci n’est que de la science fiction.

 

18 replies on “Prospective : à mon tour de vous faire peur”

Quel pays larguerait ce mutant? Les USA en Chine, ou la Chine en Chine?
Ils sont déjà assez timbrés, ont-ils besoin de l’être plus?

Le qui importe peu dans un tel scénario.

C’est simplement un scénario qui extrapole toutes les “heureuses coïncidences” qui se multiplient avec ce fameux virus depuis un an.

Un exercice de style si vous préférez. 😉

Allez je me mouille : je ne crois pas à ce scénario. Il est trop extrême. Je voulais juste un peu emmerder mes lecteurs 😉

Je reste sur ma position médiane : démolition contrôlée, appauvrissement global, gouvernement mondial, fin des devises nationales, contrôle renforcé des populations, dictature 2.0 techno, etc…. le tout en réponse aux problèmes de fond : énergie/ressources et financiers (fruit des 2 premiers).

Rideau de fumée pour éviter de voir l’empilement monstrueux de dettes qui ne pourront plus être raisonnablement payées ?

Nous avons déjà dépassé ce problème des dettes (escape velocity). Mais bien entendu c’est une composante, une dérivé plutôt du couple à la base de tout, du problème de fond : énergie/ressources.

Selon la thèse : la dette c’est seulement l’expression terminale d’un système économique qui n’est qu’énergie et ressources. Si ces 2 facteurs baissent (ou même arrêtent de croître) alors les dettes explosent. La dette sert à fabriquer du PIB, artificiellement. Ce stade ne dure qu’un temps bien entendu. On fait cela énormément depuis 2008, et le Covid permet de mettre le turbo pour en finir une bonne fois pour toute.

Le Covid est donc un accélérateur d’un mouvement irréversible.

Il va nous permettre d’atteindre cette fameuse escape velocity… Pour ensuite faire advenir le “”monde d’après”.

Je faisais ce commentaire à quelqu’un d’autre : vous croyez qu’ils ne savent pas qu’imprimer un pognon de dingue “en réponse” (prétexte) au Covid, n’est pas pérenne ? Et que ces dettes ne seront jamais remboursées ?

Ils le savent tous, comme nous. Ergo : ce n’est pas une erreur, mais bien une volonté délibérée.

Pour changer de système vous devez d’abord détruire le précédent, n’est-ce pas ?

La WW2, énorme crise, a autorisé Bretton Woods, et l’officialisation à l’époque de la domination US, en remplacement de la domination britannique etc.

La covidémence c’est la crise nécessaire, utile. Un outil.

Mais non voyons ,”Nos deux meilleurs économistes” ( Dixit Atlantico), Olivier Blanchard et Jean Tirole nous disent qu’ on peut continuer comme ça encore très longtemps et que ça ne pose aucun problème puisque les taux resteront éternellement bas…. on peut toujours y croire…

Je ne vois guère de différence, et valide “vos” objectifs, par inclusion. Je pense plus radical. Vous le dites vous-mêmes, on ne peut pas tromper tout le monde tout le temps.

Bonjour Doc,
Lors de son premier discours en mars dernier “notre” président a dit :
“Le monde d’après ne sera plus le monde d’avant.”
Plus fort que Nostradamus.
Je suis d’accord avec vous, il y a un plan.
Vous poussez le bouchon un peu loin avec ce billet, mais aurions-nous cru il y a un an que l’on en serait là aujourd’hui ?

Je provoque bien entendu.

Macron a une qualité : son ingénuité. Sa parole trahit sa pensée (quand il en a, bien entendu… des pensées 😉 ).

Les mots ont leur importance dans la covidémence.

Ainsi, tout le monde a remarqué que dès le début de la terrible pandémie (alors que nous étions en plein brouillard au niveau des données)… pouf… subitement l’expression “monde d’avant / monde d’après” a fait florès.

On aurait dit des dingues pris d’un accès de folie. Cette expression trahissait simplement le programme.

Ensuite, les idiots utiles (politiciens, journalistes, et à la fin simples bobos neuneus écolos déjantés) ont repris l’expression. Ils étaient ravis. Et le sont toujours (chacun pour des raisons différentes).

Rien que cela aurait dû alerter les populations.

Ensuite, on a eu le fameux “quoi qu’il en coûte“… là encore très, très parlant.

Sans oublier “le Grand Eeset” lancé par le cinglé Schwab. Là encore… tout un programme (il a même commis un bouquin).

C’est le Mein Kampf des covidéments (+1 point Godwin, j’ai gagné ma journée). 😉

Tout va bien. Les autorités ont dit qu’il n’y avait AUCUN LIEN avec le vaccin !

C’est pourtant simple à comprendre. Quand un vieillard de 90 ans, diabétique et cancéreux, décède dans son Ehpad de merde, en faisant sous lui : c’est le Covid.

“Omar m’a tuer mais surtout le Covid”

Mais quand un autre vieux, même profil, passe l’arme à gauche après avoir subi une injection du machin génique de Pfizer… alors dans ce cas, c’est évident, il est mort de vieillesse. Et de toutes les pathologies qui l’affectaient.

Voyez ? Il faut suivre le script. Merci pour votre compréhension.

Vous raisonnez très justement je trouve. En fait je ne sais pas comment c est pour vous mais dans mon cas les hypothèses se multiplient et se chevauchent, en fonction de l humeur du jour. Parfois l espoir d une sortie sans trop de dégâts domine, mais l idée d un genocide n est jamais loin. Il est clair que nous sommes un peu nombreux par rapport aux ressources et le pic pétrolier est aussi sans doute celui de la population humaine. En tous cas ça serait logique.

Chaud…. très chaud ! Mais… mais… où sont les tests randomisés en double aveugle ???? 😉

Merci pour le lien. C’est un communiqué de presse. Va falloir vérifier tout le tralala.

Je ne crois pas trop à cette histoire de zigouiller la moitié de l’humanité (ou les deux tiers, je ne suis pas avare). Ce sont des commerçants. Qui achètera leurs milliards de doses, leurs frigos connectés, leurs teléphones qui passent l’aspirateur, et je passe toutes les histoires de médocs à vendre. Tuer pour faire peur, oui, bien sûr. Mais pas pour exterminer la clientèle.
La covidémence a besoin de durer. Elle le prouve chaque jour. Donc ils nous concocteraient un “nouveau variant” à diffuser peppouze belouze parmi ceux qui circulent. Je ne pense pas. Pas besoin de se fatiguer.
Mr Velot du criigen, et Henrion Caude l’expliquent. Il y a peu de chances que l’ARNm aille se coller où il ne faut pas et provoque des virus nouveaux. Peu de chances si on vaccine peu. Mais si on vaccine 3 ou 4 milliards? Que ceci arrive ne sera plus du tout improbable. Ce sera même très probable. D’où l’intérêt double du vaccin.
Il est donc inutile de se fatiguer à inventer quoique ce soit. Il suffit d’attendre. Stratégie de la tique : elle se cale sur sa feuille, et elle attend qu’un chien passe.
On remettra des jetons dans la boîte à terroriser les peuples et voilà. Combien de temps cela peut-il durer? 3ans? 5? 20? 50? Aucune idée.

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