Allez, popcorn et verre de vin rouge. C’est l’heure du coviporno.
Depuis quelques jours, la presse anglaise (en particulier) se jette sur Manaus, ville brésilienne.
Il y aurait (là uniquement) un nouveau mutant couillonaviral… qui serait plus infectieux et qui tuerait des individus jeunes, sans pathologie, et même… des enfants.
Si.
Une préétude a découvert ce variant, baptisé P1, sur 13 des… 31 prélèvements effectués (soit 42 %) entre le 15 et 23 décembre (étude dispo ici).
Même les auteurs insistent sur le fait qu’il faut rester prudent car la taille de l’échantillon… euh… est très faible. 😉
Manaus est une ville de 2 millions d’habitants.
Et c’est d’autant plus troublant que les mêmes scientifiques de l’Imperial College London (attention, officine de propagande, encore des estimations basées sur des modèles mathématiques à la con) affirment que 75 % des habitants ont déjà été infectés par le couillonavirus !
According to Manaus death records from the past 30 days cited by ULO, four out of ten deaths during that time involved patients under the age of 60 in the state.
The UOL analyzed the latest data Transparency Portal of the registry offices. There were 710 deaths in the state (since it may still increase), of which 285 were people under 60 years old – or 40.1% of the total. Before that period, this percentage was 36.5%. “Without a doubt many more young people are dying. We are not just talking about a risk group: this is in all age groups, affecting babies, children, teenagers even without comorbidity“, points out the infectologist Silvia Leopoldina, who also works in the state public networks and municipal of Manaus. The doctor says there were changes in the behavior of the disease in the state. “Before, the first symptoms of severity appeared around the tenth day onwards. Now there are patients who, with seven, eight days, are involved in 75% of both lungs.”. (source ZeroHedge)
710 morts en 30 jours, dont 42 % avaient moins de 60 ans… contre 36,5 % la période précédente ? La hausse n’est pas spectaculaire. En outre, ils ne donnent pas l’âge moyen.
Et face à la déclaration de l’infectiologue brésilienne “this is in all age groups, affecting babies, children, teenagers even without comorbidity” on sent clairement la covidémente en pleine crise d’hystérie.
Des bébés ? Des ados ? C’est du jamais vu depuis le début de la terrible pandémie… Donc un peu de sérieux, il faudrait donner des chiffres, réels, et pas simplement des affirmations à l’emporte-pièce.
Mais plus largement, pourquoi en plus de l’ironie, il conviendrait d’observer de près ces nouveaux frissons ?
Si vous comprenez que la covidémence est un événement conçu, planifié, mis en musique par des gens qui n’ont peur de rien… alors il n’est pas difficile d’anticiper ce que cela implique.
La covidémence doit être renouvelée, périodiquement. Sinon le cheptel se fatigue vite. Il faut remettre du bois dans l’âtre de la cheminée.
On ne peut pas rester éternellement dans le virtuel (“les hôpitaux sont pleins… une nouvelle mutation pourrait être dangereuse… il y a des gazillons de cas asymptomatiques” etc.)
Le couillonavirus version 1 a un très gros point faible : il ne tue que des gens très âgés et malades.
Même les plus neuneus commencent à comprendre l’arnaque. Pas bon pour la covidémence.
Une version 2.0 qui pourrait tuer aussi des jeunes semble assez probable dans le cadre de la covidémence.
Je ne parle pas de science ici, mais de politique.
Le couillonavirus est ontologiquement politique (avant d’être…. viral).
Une chose est certaine : ils essaieront par tous les moyens de l’imposer dans les médias et nos esprits… même si cela n’existe pas.
Et déjà, on voit l’autre conséquence émerger, très positive pour la covidémence : le besoin de “renouveler” les vaccins, car ces mutants deviendraient… résistants.
Cette idée commence à être évoquée ici ou là par des scientifiques.
Un exemple récent, avec le conseiller scientifique en chef du gouvernement britannique, rien de moins.
Patrick Vallance warns Covid jabs may be needed EVERY YEAR as he warns he will continue to push ‘harder rules’ because there is an ‘upswing’ when measures are lifted too quickly (source DailyMail)
Ou encore :
South African Covid mutation poses ‘re-infection risk’ which could overpower vaccines, study finds (source DailyMail)