Les fêtes de Noël sont passées. Et… il ne s’est rien passé (alors que vous avez échangé votre bave avec mémé pendant le réveillon malgré les ordres impérieux des covidéments).
Zut.
Alors, miracle, le “variant britannique” est arrivé. Pile à l’heure. Il fallait au moins cela pour relancer la peur. Et aussi pour appuyer la campagne de vaccination (foireuse elle aussi, comme tout ce que touchent les politiciens et fonctionnaires qui prétendent nous gouverner).
Sans surprise, Castagnette et ses complices s’appuient désormais sur ce mutant pour annoncer leurs nouveaux délires (couvre-feu national 18h, etc.).
“Au cas où“, “pour prévenir “ la terrible catastrophe que le méchant variant promet de créer. Ou pas. Mais vous comprenez ma bonne dame, c’est le principe de précaution.
Le système hospitalier celui que le monde nous envie, et duquel on continue de supprimer des lits, pourrait, pourrait s’effondrer… Oui.
Alors que si cette merde est éventuellement plus contagieuse, elle n’est pas plus dangereuse. Le couillonavirus version 1, 2 et jusqu’au mutant numéro 29 787 demeure bénin pour l’écrasante majorité de la population.
C’est donc un fantasme, toujours appuyé par des millions de tests PCR aussi inutiles qu’absurdes (les fameux cas “asymptomatiques“) et les tests antigéniques rapides made in China et donc foireux (lire ici).
Notons que le gouvernement veut étendre l’état d’urgence sanitaire jusqu’au 1er juin (au lieu du 16 février) et son “variant” (encore un !) le fameux “régime transitoire“… jusqu’au 1er septembre (source) !
La covidémence doit se poursuivre “quoi qu’il en coûte” pour reprendre l’expression de l’adolescent perturbé de l’Elysée et de ses complices dans le monde.
Avec un peu de doigté ils parviendront à la faire durer jusqu’à l’hiver prochain, avec son lot de maladies respiratoires, et l’apparition d’un énième variant.
A ce sujet, après le variant anglais, puis le sud-africain, il y a aura un variant du Cantal, ou du Poitou-Charentes, puis du Rwanda, ou du Botswana. N’importe quel pays à la con fera l’affaire.
Et à chaque fois, ils pourront justifier la poursuite de la covidémence afin de “prévenir la propagation du variant qui pourrait mettre à mal nos capacités hospitalières “.
Rincez, répétez.
La covidémence devient ainsi préventive...
De facto, elle ne connaîtra donc plus ni limite… ni fin.
Puisque à chaque bouton de fièvre, on pourra imaginer le pire, il faudra donc forcément se prémunir du pire.
Vive le Reich Couillonaviral de 1 000 ans. Sieg Heiiiiiiiiiiiiiil !
POST-SCRIPTUM
Mon scénario loufoque est… en réalité très sérieux. Puisque déjà la presse anglaise commence à agiter le spectre… du terrible variant…. brésilien (lire article du DailyMail). 😉
Fears grow over Brazilian Covid variant as 45-year-old nurse gets re-infected with mutation five months later and suffers WORSE symptoms as UK bans ALL travellers from South America
Eh oui ! La peur ! Encore un nouveau variant qui cette fois c’est sûr va tous nous tuer ! Et même ceux qui sont déjà vaccinés ! Et toc !
Coronavirus is mutating faster than we can ban flights… and scientists fear the new Brazilian variant may have the potential to evade vaccines (autre article DailyMail)
Tout est dans le “peut-être”… 😉
Et encore plus fort :
How devastating could Brazil’s ‘super-covid’ be? Study finds coronavirus overwhelmed the country, killing nearly 40% of hospitalized patients as fears grow its variant could ALREADY be in America (autre article DailyMail)
La folle farandole continue !