Les mensonges sont partout et affectent tous les indicateurs utilisés par les covidéments pour justifier leur dictature.
Ainsi, on nous bourre le mou matin, midi et soir au sujet des lits en réanimation occupés par les malades couillonavirés.
Avec les tests PCR foireux (épidémie de cas positifs, mais asymptomatiques), le nombre de covimorts (systématiquement surévalué)… le pourcentage d’occupation de ces fameux lits est l’indicateur “marteau” qui sert à justifier les confinements, et à nous terroriser.
Sauf que… même ici, le bidonnage est institutionnel, littéralement organisé, sous couvert de flou statistique, et autres “erreurs”.
Article du Canard Enchaîné du 23 décembre.
Voici le texte, car c’est une information essentielle qui démonte à coup de cric le mille-feuillle de mensonges du gouvernement… qui vont tous dans un seul sens, systématiquement :
-grossir la menace posée par le couillonavirus
-faire peur aux populations,
-imposer des restrictions absolument délirantes.
A lire et à faire tourner.
La pagaille des indicateurs gagne également les hôpitaux : alors que le nombre de patients en réanimation est surveillé comme le lait sur le feu, le chiffre communiqué chaque jour se révèle exact… à quelques dizaines ou centaines près !
La raison ? Les hostos n’arrivent pas toujours à renseigner les sorties en temps réel.
Du coup, les autorités sanitaires ont inventé le terme pittoresque de « lits fantômes » pour désigner les lits dont on ne sait pas s’ils sont toujours occupés par des patients Covid ou s’ils sont libres depuis des jours, voire des semaines.
Des fantômes très hospitaliers
Début décembre, l’agence régionale de santé (ARS) d’Ile-de-France classait « fantômes » tous les « patients restés plus de 40 jours consécutifs en soins critiques », car cette durée très longue lui apparaissait suspecte.
A cette aune-là, l’ARS recensait, le 7 décembre, pas moins de 105 lits fantômes, sur un total de 620 places réservées au Covid. Une paille !
Quelques jours plus tard, miracle ! le chiffre était divisé par deux, et passait à « 49 lits fantômes ». Une performance obtenue non par des contrôles sévères, mais grâce à une petite manipulation comptable : depuis le 11 décembre, la barre a été remontée de 40 à 50 jours…
Par pure curiosité, « Le Canard » a demandé à d’autres ARS si elles étaient confrontées, elles aussi, au problème des « patients Belphégor ».
Réponse décoiffante de l’agence d’Auvergne-Rhône-Alpes (la région la plus touchée par la seconde vague) : « Nous ne souhaitons pas donner suite à votre demande. »
Une surestimation de 17 % ! Rien que sur l’Ile de France…
Vous imaginez si on a la même manipulation au niveau national ?
POST-SCRIPTUM
La photo de l’article en entier est disponible ici (avec la loupe, possible de tout lire).
L’article traite également de l’arnaque des tests antigéniques, dits “rapides”, qui là encore fabriquent des faux positifs à la chaîne (l’un de ces tests, chinois, a même été retiré du marché tellement il était foireux).