Nous avions les “glory holes” canadiens. Les pêches-fesses dans l’Oregon. Les clubs libertins français.
Les covidéments ont un problème avec l’alcool et le cul (entre autres, tant ils sont profondément malades).
Cette obsession à s’occuper de la sexualité d’autrui prend des proportions loufoques (et inquiétantes) avec le couillonavirus.
La BBC publie ainsi un guide, comme d’habitude écrit pour des gens de niveau mental école primaire, sous la forme de “règles” et même de “lois”.
En période de terrible pandémie il faut baiser légal ! Qu’on se le dise !
Exemple :
So unless you live with your partner or they’re in your chosen bubble, meeting up for sex is off the cards.
Mais on t’emmerde la BBC ! On fait ce qu’on veut entre adultes consentants, où on veut et quand on veut.
Ensuite, on plonge en plein délire :
Your best sexual partner during the Covid-19 pandemic is yourself or someone within your household and you should follow the government guidelines about social distancing, hand washing and face coverings.
Masturbation, sex toys or having phone or online sex are recommended as the safest options.
Avoid kissing, wear a face covering and choose positions that aren’t face-to-face during sex.
C’est la fin des temps.
C’est la dernière étape de la dictature : quand les cinglés veulent vérifier/juger/renifler/jauger/interdire ce qui se passe dans les chambres à coucher de la population.
Le contrôle de l’intime.
Un Marsault s’impose, et c’est le premier de 2021 (il y en aura beaucoup d’autres) :