C’est comme un requin qui tourne autour du pot ; mais surtout celui de sa future victime…
Les compagnies aériennes, très durement frappées par la terrible pandémie, jouent leur survie et deviennent ipso facto des zélotes de la covidémence.
Des bons petits soldats au service du plan.
Des fanatiques même.
Certaines n’ont pas hésité à affirmer que le futur se conjuguerait en “passeport vaccinal“. Seuls les “injectés” seraient alors autorisés à bord des avions.
C’est le cas de Singapore Airlines ou de Qantas par exemple (Australie).
La compagnie irelandaise low cost Ryanair avait d’abord prudemment botté en touche, en disant que le passeport vaccinal concernerait plutôt les longs courriers.
Genre flou.
Sauf que… comme d’habitude, il y a le discours et les actes. Ainsi, Ryanair vient de lancer une campagne marketing à la con pour promouvoir sa billeterie estivale avec un slogan fort : “Jab and Go ! ” (source Manchester Evening News, voir aussi FR24 News).
Je fais un gros effort de traduction pour ceux qui ne suivent pas : “vaccin décollage !”.
Ou encore :
-Piquouze et kérosène.
-Une piqûre et tu t’envoles.
-Vaccin pour décoller (et voir les étoiles).
-Vacciné, tu pars (dans l’autre monde).
Bref, vous avez compris le message. 😉
Sous entendu : pas de vaccin, pas de vol.
Cette arnaque est prévue et annoncée depuis de nombreux mois (dans les médias, lire ici). Et elle permet aux crapules gouvernementales d’affirmer la bouche en cul de poule que “les vaccins ne seront pas obligatoires “.
Bien entendu.
Cela va de soi.
Pas de ça dans nos “démocraties” !
Ca c’est bon pour les régimes qui violent les droits de l’homme (Corée du Nord, l’Irak de Saddam Hussein, ah non zut il est mort, la Chine, euh non pas la Chine, Arabie saoudite… euh non surtout pas l’Arabie saoudite, enfin bref les vrais méchants : les nazis).
Sauf que… en même temps… les vaccins et autres thérapies géniques Frankenstein seront obligatoires pour se déplacer, aller au restaurant, visiter un musée, pisser un coup (voire même tirer un coup) ou faire n’importe quoi d’autre impliquant une société tierce (privée).
Les fonctionnaires pourront alors se cacher derrière les “décisions prises par ces sociétés privées afin de protéger leurs clients, c’est pas de notre faute, tralala lalère, prout “.
Quand le professeur Didier Raoult parlait très tôt des mutations du couillonavirus, cela relevait du charlatanisme.
Mais quand la covidémence a besoin de relancer la machine couillonavirale, car les populations se lassent et commencent à comprendre l’étendue de l’arnaque, alors subitement on trouve des “mutants“, terribles, un peu partout, qui se propagent à vitesse hyperluminique, car ils sont très contagieux (ici placez un pourcentage calculé le doigt dans les fesses : +70 %, + 45,9 %, plus 99 %, peu importe, ça n’a aucune importance, il faut simplement aligner des nombres).
Vous avez ainsi tous entendu parler du “mutant ” anglais -son petit nom est ” B117″- et qui est subitement apparu au moment même où les premiers vaccins devenaient disponibles outre-Manche, aux Etats-Unis etc…
Caramba ! Encore un zeureux zazard.
Il faut bien tenter de convaincre les populations de se faire injecter ces saloperies, aux effets long terme inconnus et surtout parfaitement inutiles (pour une maladie qui est, rappelons-le, bénigne pour l’écrasante majorité des gens).
D’où l’apparition opportune du terrible “mutant “… dans les médias (car ces saletés virales mutent sans arrêt, donc rien de neuf sous le soleil).
La presse anglaise se roule dedans comme des porcs dans une piscine olympique de lisier, appuyée par toutes les pseudo officines scientifiques aux ordres.
New Kent strain of ‘super-COVID’ is nearly 50 percent more contagious than other varieties, Imperial study confirms (source DailyMail)
En plus d’être 50 % plus contagieux, il a l’avantage de contaminer plus facilement… une cible qui était hélas parfaitement épargnée avant : les jeunes.
The variant was also disproportionately common among people in their 20s, and those living in South East and East England and London.
Eh oui, c’était un des problèmes majeurs du couillonavirus version 1.0.
Même pas un nez qui coule, même pas un petit mort à se mettre sous la dent chez les mômes ! C’était in-to-lé-ra-ble.
B117, heureusement, vient opportunément corriger ce défaut de fabrication. 😉
Précisons que cette énième étude a été pondue par le fameux Imperial College London, où sévit Neil Ferguson, le Britannique cinglé qui annonçait des millions de morts avec ses modèles mathématiques neuneus pour collégiens dont la voix commence à muer (prout puissance 2, ou prout au carré si vous préférez).
Encore un heureux hasard.
Plus sérieusement… Il est ahurissant de voir que les médias embrayent tous d’une seule voix, y compris les gouvernements (par exemple ce mutant a été pris pour prétexte par le Japon pour interdire l’entrée des étrangers, ou encore pour accélérer les campagnes de vaccinations, etc.)… mais ne rappellent à aucun moment ce fait :
-les virus mutent… deviennent généralement plus contagieux, mais donc mécaniquement moins dangereux (la loi naturelle qui les commande : se reproduire, le plus possible, en clair survivre).
Donc B117 pourrait, probablement, infecter davantage de personnes, mais il sera moins dangereux… et il comme il n’était déjà pas dangereux dans sa forme initiale… il deviendra pour le coup carrément burlesque en terme de létalité.
Mais la presse transforme cette certitude en… simple hypothèse.
Exemple de ce type de formulation, toujours dans le DailyMail :
So far, there isn’t evidence to suggest the new variant causes any more serious illness or is more fatal.
“Pour le moment”, pas de “preuve” que le mutant serait plus mortel. Sous-entendu : ces preuves pourraient venir dans le futur…
Enfin, magie de l’arithmétique Shadock : si le virus est 50 % plus contagieux, alors mécaniquement il aura un impact 50 % plus important sur les systèmes de santé… Et donc effondrement garanti… Et donc… il faut se faire vacciner pour éviter cet effondrement et la fin du monde.
Fin de la boucle mentale. Fermez le ban, et fermez-la tout court.
Logique totalement pervertie.
Et un an après l’apparition du Covid, cette logique ne peut plus être accidentelle, ou relever de la simple erreur de jugement.
Il s’agit une nouvelle fois d’une campagne orchestrée.
Tout le système covidément fait ainsi la promotion de ce conte pour enfants. Des dizaines de millions de tests PCR bidonnés et de tests sérologiques montrent des millions d’infectés… Mais qui sont pour la plupart… en parfaite santé.
Aucun symptôme, pas de contagiosité. Rien.
Nous avons donc, concrètement, une explosion pandémique de…. rien. 😉
Mais permettant de justifier beaucoup de choses bien réelles cette fois (lois d’exception, campagnes de vaccinations, confinements, etc.)
POST-SCRIPTUM
Il est remarquable de noter à quel point les réactions internationales sont orchestrées et parfaitement synchronisées.
Ainsi, Salomon l’homme qui s’évertue à remonter le cours de sa propre bêtise, et accessoirement Directeur générale de la Santé (le ministère, pas la prison, ça se sera pour plus tard) vient de déclarer :
S’agissant des deux variantes du virus, elles «ne sont pas forcément plus dangereuses mais elles sont nettement plus contagieuses. Elles toucheraient aussi davantage les jeunes (…) Il faut donc qu’on soit très attentif au milieu scolaire et universitaire», a précisé Jérôme Salomon. (source Le Figaro)
Les mêmes éléments de langage… Partout, simultanément.
C’est un véritable script que les autorités déroulent (comme durant les chapitres précédents, en 2020).
Ils vont une fois de plus s’attaquer aux jeunes, aux écoles, aux universités etc.
Manu, l’adolescent perturbé de l’Elysée, a envoyé une carte de voeux à tous les Français, à l’occasion de l’avènement de l’An 2 du Reich Couillonaviral de 1 000 ans.
En exclusivité, je la reproduis ici :
On appréciera l’image de fond, particulièrement bien choisie (les cimes, la neige, l’air pur, les marmottes, les glaciers tout ça).