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Guerre mondiale contre les traitements : Merck tire sur l’ivermectine

Ce communiqué de presse envoyé le 4 février par Merck, grande société pharmaceutique américaine permet de prendre conscience de la nature de la covidémence et des moyens colossaux qu’elle déploie.

Posons le décor. Depuis un an, toute idée de traitement contre le couillonavirus est combattue dans le monde entier (ce point est primordial, ce n’est absolument pas franco-français).

Pour les covidéments, il n’y a que deux armes, deux prétextes plutôt :

-le paracétamol (c’est-à-dire rien contre une maladie respiratoire)

-les vaccins

Rien au milieu. Absolument rien.

L’ivermectine a fait des miracles (lire ici). Et pourtant, rien ne parvient à l’imposer. Un an après, la covidémence continue de tirer à vue sur toute idée de traitement, surtout lorsqu’il s’agit de vieilles molécules éprouvées et… peu coûteuses.

Pourquoi le communiqué de presse de Merck est savoureux ?

Parce que… c’est le fabricant -historique- de l’ivermectine ! 😉

Company scientists [ceux de Merck] continue to carefully examine the findings of all available and emerging studies of ivermectin for the treatment of COVID-19 for evidence of efficacy and safety. It is important to note that, to-date, our analysis has identified:

  • No scientific basis for a potential therapeutic effect against COVID-19 from pre-clinical studies;
  • No meaningful evidence for clinical activity or clinical efficacy in patients with COVID-19 disease, and;
  • A concerning lack of safety data in the majority of studies.

We do not believe that the data available support the safety and efficacy of ivermectin beyond the doses and populations indicated in the regulatory agency-approved prescribing information.

Pour une protection juridique (on connaît la parano des sociétés américaines dans ce domaine) Merck aurait pu faire le service minimum en rappelant les usages autorisés de l’ivermectine (anti parasite).

Mais non, on voit bien qu’ils vont au-delà et qu’ils n’hésitent pas à mentir en affirmant de manière éhontée qu’il n’y a aucun effet thérapeutique de l’ivermectine contre le couillonavirus (nombreuses études et tests publiés).

POST-SCRIPTUM

Quelques jours après… la réaction de Merck s’éclaire et devient… évidente.

Merck & Co Inc said on Wednesday it was in talks with governments and companies to potentially help with manufacturing of COVID-19 vaccines that have been already authorized.

It decided to focus on COVID-19 research and manufacturing efforts on therapeutics after its two vaccines failed.(source Reuters)

Tout est tellement simple en ce bas monde. 😉

3 replies on “Guerre mondiale contre les traitements : Merck tire sur l’ivermectine”

“surtout lorsqu’il s’agit de vieilles molécules éprouvées et… peu coûteuses.”
Z’ont du recruter des ex de Peugeot qui prenaient des airs affligés il y a un quart de siècle, quand je venais chercher des pièces pour ma 205GT qui n’avait que onze ans à l’époque, genre” mais comment peut-on encore utiliser pareille antiquité “?

Ce qui est confondant, c’est la circularité du raisonnement qu’on nous ressert à chaque fois

– il n’y a à ce jour aucune étude sur l’effet de la truquine ou la machinquine sur la covid.
– il n’y a donc – fort logiquement – aucune preuve scientifique que la truquine ou la machinquine ait un quelconque effet sur la covid.
– en l’absence de preuves ou d’indices que cela fonctionne, rien ne justifie de lancer des recherches pour en trouver.
[c’est là où se situe l’arnaque, cette assertion est fausse: en fait c’est le contraire, cela s’appelle la démarche scientifique]
– en conséquence, aucune étude ne prouve que cela fonctionne, puisqu’on en fait pas car on n’a aucun début de raison, aucun indice pour en faire.

Et donc – corollaire fallacieux – puisqu’on ne l’a pas prouvé, c’est que ça ne fonctionne pas

En réalité c’est là le paralogisme sous-jacent préalable qu’on veut induire implicitement chez l’auditeur par ce tour de bonneteau : ce n’est pas qu’on n’a pas pu le prouver en dépit de moult recherches, c’est simplement parce qu’on n’a pas cherché du tout.

Comme disait presque un illustre alpiniste sermonneur du passé dont j’ai oublié le nom, “qui ne cherche pas ne trouve pas” .

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