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Covid, cause ou symptôme ? Le Grand Malentendu

L’expression “monde d’avant/monde d’après” est un piège sémantique.

Il sont nombreux à espérer qu’une fois le Covid disparu, alors tout ira bien. De nouveau.

Mais 2019 était-elle une année vraiment meilleure que 2020 ? Et 2018 ? Et à cette aune, toutes les années précédentes ?

Un élément de réponse : Macron a été élu (par vous, passivement ou activement) en 2017. Trois ans avant le couillonavirus.

Et avant lui, ce fut Hollande (2012). Et avant lui Sarkozy (2007). Et avant lui, Chirac (1995, 2002). Et avant lui Mitterrand (1981, 1988).

Je liste les présidents français par facilité, évidemment. Mais c’est pour démontrer que nous sommes bien au coeur d’un processus historique.

C’est le Grand Malentendu.

Pour la plupart des gens, le Covid est un cygne noir, un événement  imprévisible, avec donc forcément un début et une fin.

Or rien n’est plus faux.

En réalité, ce que le Covid révèle c’est que nous sommes collectivement malades, infectés, dégénérés. Et ce depuis plusieurs décennies déjà.

Nous, c’est-à-dire l’Occident, car ce processus n’est pas limité à la France (autre erreur communément faite).

Pour filer la métaphore médicale : le Covid n’est pas une cause.

C’est un symptôme.

Voilà pourquoi, le Covid et tous ses copains “variants” une fois disparus… le problème de fond demeurera.

La covidémence est certes imposée de l’extérieur.

Mais ce qui la rend possible… vient de nous.

5 replies on “Covid, cause ou symptôme ? Le Grand Malentendu”

Tellement vrai, et c’est d’ailleurs pour cela que je ne crois pas tellement au “complot” ou à une intention élaborée à l’avance, car ce n’est pas nécessaire : notre décrépitude y suffit largement. Les politiciens n’ont fait qu’appuyer dans du beurre.

Quand je dis à des gamins de 25-30 ans que tout ça aurait été impensable il y a ne serait-ce que 20 ans, ils ne peuvent tout simplement pas comprendre.

Il y a tellement de libertés et de “tranquillité” qui ont été perdus depuis des décennies. Les gens oublient à toute vitesse à quel point l’Etat était bien moins intrusif auparavant (et pourtant c’etait déjà pas la panacée), à quel point, sur mille choses du quotidien, on était bien moins emmerdés, et bien moins matraqués par une propagande continue.

Cela avait une conséquence palpable sur les gens : ils étaient bien moins malléables, bien moins peureux de tout, bien moins conformistes qu’aujourd’hui. On méritait beaucoup plus de s’appeler des gaulois réfractaires, parce que franchement aujourd’hui, quand on voit la quantité de petits kapos prêts à vous faire la leçon sur un masque ou une connerie du genre… j’en suis sidéré à chaque fois.

Et encore j’ose à peine imaginer pour ceux qui ont connu les années 60, ce qui n’est pas mon cas… quand on pense que quelques abrutis ont fait mai 68, alors que leur société était bien plus libre que celle qu’ils nous ont imposée depuis…

les gens ne sont pas plus malléables mais ils conditionnent leur vie aux émotions. Cherchez l’erreur! Dolto en jouit 24/24 du haut du ciel….
Le syndrome a été implanté par la télé dans les coins les plus reculés dans les années 50. Puis mai 68 a été le podium des US pour l’apothéose du lsd dans la jeunesse de l’époque. Sujet facile quand on connait les comportements sociologiques de l’après guerre. La 2ème pillule merdiatique a été les téléphones portables et leurs monstres zombies que sont devenus les smartphones. Là est la vraie greffe qui s’est implantée dans les cerveaux. Les théories du complot ont été l’emballage cadeau et hop tout le scénario covid est né pour dirriger ce petit monde . Pas de grand maitre richissime derrière la console de ce Truman Show. Juste des conglomérats de sociétés qui mettent en place des stratégies .

“La 2ème pilule merdiatique a été les téléphones portables et leurs monstres zombies que sont devenus les smartphones.”
C’est aussi ce que je pense. Ces smartphones avec la connexion à Internet, et donc aux réseaux sociaux, sont une aliénation mentale.
En 2009, la greffe du “covid-19” et la “pandémie” n’avaient pas pris car les gens étaient encore maîtres d’eux-mêmes.
Dix ans plus tard, hélas…

Excellentissime.
Vous avez raison le problème viens de la société.
Il y a 70 ans il ne se serait rien passé, l’espérance de vie était de 65-70 ans.
Notre ennemi EST l’état, qui devient par trop puissant.

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