Ouf ! On commençait à s’impatienter !
Le terrible mutant brésilien s’est enfin décidé à ramener sa fraise en France, à choper le visa qui va bien (eh oui le couillonavirus a un passeport !), et à prendre un aller-simple en classe affaires (la bouffe n’était pas très bonne à bord, mais les hôtesses très excitantes avec leur masque FFP2 et leur combinaison spatiale).
Les autorités sont toutes émoustillées. Et elles en avaient bien besoin car elles avaient promis l’apocalypse avec le variant anglais (et sud-africain), et… comme d’habitude ça a fait pschit.
Et prout.
Quatre premiers cas d’infection au variant brésilien du coronavirus ont été détectés, faisant craindre une nouvelle flambée en France où la pression sur les hôpitaux est toujours aussi élevée. (source Le Figaro)
Toujours le même sketch. Toujours le même concentré de conneries. Pourrait… Serait… Ferait craindre…
Au lieu de bavasser et de parler au conditionnel, Macron et ses complices feraient mieux de créer des lits hospitaliers, puisque à chaque fois on nous répète que les “hôpitaux sont sous pression“. Un véritable plan Marshall.
Mais non, surtout pas ! Au contraire, on continue à en supprimer afin que la “pression” soit là au moindre petit virus merdique qui passe, justifiant ainsi les pires saletés liberticides.
La covidémence se nourrit de petitesse et de mensonges.
Bref. Vous avez peur du “variant brésilien” ?
Buvez une caïpirinha.
Et faites tomber le string.