Categories
Pays Saloperie et sida mental Vaccinocircus

Canada : quand la covidémence détruit ses thuriféraires

Moi je suis pour les circuits courts. Donc au Canada, “con comme une enclume” ça devient “con comme une bûche”.

Mark Machin.

Il avait tout.

Patron depuis 2016 du plus gros fonds de pension canadien (système de retraite pour 20 millions d’individus), à la tête donc d’un pactole de 308 milliards d’euros !!!

Cet homme faisait partie de l’élite. Du sérail.

Il écrivait même des saloperies covidémentes dans le cadre du Grand Reset pour le compte du World Economic Forum (eh oui, rien n’échappe à mon documentaliste-stagiaire chinois ! lire ici)…

Un boulot en or massif. La rente absolue. Un vrai pouvoir. Sans oublier un excellent poste d’observation de la… mortalité (forcément…) Et donc, une facilité à comprendre et relativiser le couillonavirus.

L’homme est âgé de 54 ans et sur les photos, sa corpulence est absolument normale. Donc a priori il n’a aucun gros risque Covid.

Et pourtant. En février, il pète un câble, chie dans son caleçon de soie sauvage et file à Dubaï… pour se faire injecter la thérapie génique de Pfizer !

De retour au Canada, le scandale éclate. A tel point qu’il est forcé de démissionner (lire article du Figaro).

Mais… attendez une minute… De quel scandale parle t-on ?

Celui d’être con comme une enclume au point que face à une quasi certitude de non-risque (Covid) il accepte de prendre X risques inconnus en se faisant injecter un produit pour lequel la science n’a aucun recul ?

Voilà une définition de la démence qui serait parfaite !

Non, absolument pas… Et c’est là où ça devient magique.

On lui reproche d’avoir… BRULE LA QUEUE !!!!

On lui reproche d’avoir voyagé à l’étranger mais surtout de s’être fait vacciner alors qu’au Canada il n’est pas prioritaire ! 😉

Cette histoire est extraordinaire.

Et démontre (si c’était encore nécessaire) la dégénérescence de l’Occident, et le fait -habituel- que tout extrémisme, ici la covidémence, finit par avaler ses thuriféraire, avant de s’avaler soi-même !

4 replies on “Canada : quand la covidémence détruit ses thuriféraires”

BRULE LA QUEUE
On pourrait compacter et dire BRULAQUEU 😉
Ils sont complètement barges… COVIDéments 😉

Leave a Reply to Hazère-tyuillope Cancel reply

Your email address will not be published. Required fields are marked *