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Covidémence : et si c’était un raté technique ?

L’enseignement de Patrick McGoohan ? Il faut toujours faire des scénarios.

Nous partageons un même constat : la covidémence est fragile car elle gonfle trop le réel.

Elle en fait trop. Sa crédibilité en prend un coup.

La terrible pandémie… fait pschiit. Très peu de morts. L’existence de ce blog le prouve. Vous-mêmes êtes une… preuve. 😉 La covirébellion gronde et augmente.

Je vous propose un exercice, inspiré par un extrait d’une interview de la généticienne Alexandra Henrion-Caude (vidéo 1 mn ici) datant d’octobre 2020.

L’idée de départ ? La covidémence est bien entendu une fabrication, et qui repose… sur un virus, fabriqué lui aussi.

Je sais, c’est mal, ça fait de la peine à Xi Jinping, mais justement.

Ses concepteurs et promoteurs auraient donc, de leur point de vue... échoué.

Tous les horribles “modèles” mathématiques de début 2020, qui prévoyaient des millions de morts… étaient en réalité justes, ils auraient dû se vérifier… mais l’opération a foiré.

Pourquoi ? Mère Nature s’est jouée des apprentis démiurges.

Dès le séquençage de son génome, on a su que le couillonavirus avait bénéficié d’un “gain de fonction”.

Une séquence a été insérée, entre S1 et S2, de la protéine S (la fameuse “spike” qui permet l’infection des cellules humaines, et que de nombreux vaccins visent, Pfizer, Moderna etc.).

C’est la caractéristique (“hors du commun” affirme Henrion-Claude) du Sars Cov2.

En clair : vous prenez un coronavirus type Sars ou Mers (peu contagieux, mais  mortalité importante) et vous l’équipez d’une autoroute pour infecter les cellules humaines.

Les tenants des histoires pour enfants, type pangolins, vous disent que c’est la Nature qui a inséré cette saleté pile au bon endroit, via sa baguette magique darwinienne.

D’autres scientifiques (Montagnier, Wiesendanger etc.) pensent que c’est artificiel. Le labo P4 de Wuhan travaillait sur les coronavirus de chauve-souris depuis des années. Ce fait est incontestable.

Mais là encore on se heurte à une dissonnance cognitive : si je me fais chier à trafiquer un coronavirus, à monter une pysop à l’échelle mondiale qui repose sur la terreur… et qu’au final j’obtiens 1,8 million de morts (de vieillesse souvent) de janvier 2020 à decembre 2020, sur une planète avec plus de 7,5 milliards d’êtres humains… Mon opération porte un nom : un four. Un flop technique.

Sachant en outre que plus les mois passent, plus la covirésistance augmente car le cheptel voit bien que quelque chose cloche… La terrible pandémie… c’est au fond une grosse grippe qui ne tue que des vieux malades…

Reformulons : la terreur avec les sales gueules de Vérandouille et Jeannot Avé L’Accent à la télé… ça ne peut marcher qu’un temps.

Toute l’opération aurait fonctionné sans aucun soucis... si le virus avait fait de vrais dégâts. Des dégâts sortant de l’ordinaire. Genre un Sars ou Mers hyper contagieux…

Dans le cadre de ce scénario… que peut-il se passer maintenant ?

Trois pistes :

  • Terminer l’opération, arrêter la covidémence, siffler la fin de la partie. L’échec serait terrible pour ses promoteurs. Tout ça pour ça ?
  • Continuer l’opération “quoi qu’il en coûte“… Là danger. Comment entretenir la covidémence, alors que c’est objectivement un bide, et chaque jour davantage ? Les risques de révolte augmentent exponentiellement.
  • Dernière idée : revenir au plan initial. Et là le foirage du début pourrait même se révéler… productif. Car il introduirait l’idée d’une gradation… La version 1 du virus prépare le poil…. Une version 2, réellement méchante, coupe le poil, et achèverait l’opération dans un superbe bouquet final.

Cette dernière possibilité me permet de boucler sur une de mes antiennes : quelle que soit son origine, la covidémence pour se poursuivre va devoir se réinventer.

En clair : trouver quelque chose de nouveau. Même les fameux “mutants” sont en train de faire pschiit.

Une version 2, fabriquée en labo et compte tenu de l’échec relatif de la version 1, pourrait être cette nouveauté.

De plus, autre “gain de fonction”… son apparition pourrait être mise sur le compte des mutations naturelles du virus…

On reviendrait ainsi au scénario initial de la covidémence : “Un terrible virus se déchaîne contre l’humanité, la Nature est responsable, des mesures drastiques et globales sont nécessaires si vous ne voulez pas mourir. Oubliez le monde d’avant”.

17 replies on “Covidémence : et si c’était un raté technique ?”

Tout est décrit sur la couverture de The Economist “The world in 2017” : coup d’envoi, manipulation des foules, impuissance des nations, nouvel ordre mondial, imposture Macron, confinements, manipulation de l’élection US, deux virus, appauvrissement et bombe atomique. Passage d’un monde à l’autre.

Grippe espagnole (1918-1919) : 50 millions de morts sur la planète qui comptait 1,8 milliards d’individus. Sars cov 19 : 1,8 millions de morts pour 7,7 milliards. Règle de 3 niveau CM2 : la grippe espagnole transposée actuellement, ce serait 214 millions de morts. Donc couillonavirus sur une période de temps équivalent et rapporté à la population actuelle : plus de 200 fois moins de morts que H1N1……À comparer les 2 époques à 100 ans d intervalle on prend violemment conscience de l’hystérisation absolument délirante de la civilisation occidentale. Un siècle de dévirilisation et d’émasculation généralisées et voilà le travail ! Cette civilisation est foutue et c est probablement tant mieux.

Un jour de moral en berne
Les événements, hélas, semblent s’acheminer vers votre troisième hypothèse. Je crains que la grenouille, habituée progressivement à la chaleur, n’ait plus la force de sauter hors de la marmite, même si elle commence à trouver que ça sent le roussi.
Quant au bidouillage du virus : les voix de Montagnier et autres Alexandra me paraissent très dignes de confiance. Mais alors pourquoi Raoult, le roi du séquençage, se contente, quand on le branche sur ce sujet, de répondre mollement : “Je ne pense pas” ? Pour ne pas heurter ses amis chinois ? Ou parce qu’en fait on ne séquence pas tout le génome ? Vous l’aurez subodoré, je n’entrave que dalle à toute cette subtile cuisine, mais je vois là comme une incohérence. Peut-être avez-vous, vous, une explication ?
En tout cas merci d’être là tous les jours pour entretenir la méfiance de certaines grenouilles envers la marmite, car à force d’usure on finirait peut-être par trouver plus confortable de s’y jeter.

J’ai déjà parlé de Raoult. On ne peut pas voir la situation en blanc et noir. Chacun a sa sensibilité, son histoire.

Raoult est un covirésistant ou covirebelle, de la première heure. Personne ne peut lui ôter cela. Et il persiste, ce qui est une autre qualité remarquable (malgré les pressions, toujours fortes et permanentes).

Mais il ne croit pas à la thèse du virus fabriqué, en tout cas officiellement. Et alors ? Est-ce si grave ? D’autres peuvent avancer sur cette piste.

France China Foundation – Fondation Mérieux – Laboratoire P4 Wuhan – Tests PCR bioMérieux – etc…
Gouvernance Fondation Mérieux : Raoult – Delfraissy – Barré-Sinoussi – etc…

Il ne s’agit pas de CROIRE. Raoult brille justement, comme vous le rappelez, par son courage et son exigence scientifique. Peut-être trouve-t-il ce terrain trop miné ? La question n’est absolument pas de faire de lui, ni de personne, un blanc ou un noir. Mais si quelqu’un peut avoir eu la preuve du bidouillage sous les yeux, c’est bien lui.

Pour le professeur Raoult, on sent bien la fibre, la passion pour son métier, une humanité véritable sous le caractère bourru. Un sacerdoce d’accord mais il veut surtout continuer de travailler en paix, il a reçu suffisamment de coups jusqu’ici pour avoir compris que dire une vérité effrayante, pour autant qu’elle existe, pourrait avoir d’énormes conséquences, aussi bien pour sa vie professionnelle que privée. L’écoute dont il bénéficie malgré l’agressivité quasi générale de la presse pourrait même transformer ses révélations en incident diplomatique avec la Chine. Et il serait définitivement enterré. Enfin, c’est ce que je pense en constatant sa mesure en interview depuis quelques temps lorsqu’il s’agit de la politique ou des politiciens.

Je suis d’accord avec vous. Il est en amont… dans le soin des patients. Les considérations géopolitiques l’intéressent-ils ? Et devraient-elles absolument l’intéresser ?

Et au final, il a l’IHU à faire tourner…. Grosse machinerie. Lourdes responsabilités.

Je trouve cette recherche de l’absolu et de la pureté un peu vaine. Raoult peut faire des erreurs, voire être branque sur certaines questions.

Pour synthétiser, la question me paraît très simple : Raoult est-il meilleur que Véran, Castex, Salomon etc. ?

La réponse est toute aussi simple… ! 😉

Personnellement, cela me suffit !

Nous ne serons  jamais d’accord là-dessus. Un virus létal à 30 % (au moins) lâché dans la nature s’appelle un suicide organisé, y compris pour les petite génies (gros malins) qui l’ont conçu.
Déjà qu’il y a un an l’essentiel des guerriers de la Macronie ont fui leur citadelle avec du caca au fond de leur armure dès les premiers morts du gros rhume !
Les histoires de croquemitaine du NOM tout puissant et invincible n’ont pas d’autre origine que notre lâcheté et notre mollesse face à cette armée de pacotille et les 10 pour cent de sadiques obtus qui cimentent sa police (les mêmes qui détaleraient aux premières volées de chevrotines).
Quant à l’interprétation psychanalytique de la tentation suicidaire maléfique des Satanistes sur leur île noire imprenable… Elle traduit notre besoin autant de rêve que de rationalité, c’est-à-dire in fine notre désir de simplifier les choses, face à l’effondrement d’un monde dans sa triviale complexité.
Même si, au sein des forces dominantes de ce monde à la ramasse, nul doute qu’il se trouve des branquignoles qui “raisonnent” comme vous le laissez entendre et qui le font en groupe, c’est-à-dire en caste. Un simple coup d’œil à la tronche de Bill Gates résume cet aspect des choses.
“On va faire crever les gueux, ni vu ni connu, bien immunisés derrière les vaccins miracles que nous aurons refilés nos potes de Big Pharma”.
Ben voyons ! Sûr que vous allez être les Maîtrrres du Mooonde, les gars !
Pour l’instant la rencontre dialectique des ronds de cuir ambitieux chinois, des analphabètes cupides de Wall Street City et des hauts fonctionnaires boomers “libéraux” de l’occident marche en bringbalant, mais on sent venir la sortie de route parce qu’une telle alliance de circonstance ne peut aller très loin.
A commencer par ce coup sanitaire invraisemblable qui sentait d’abord le gros coup fourré boursier, avec tout un tas d’effets d’aubaine à six bandes saisis à la volée par des joueurs de poker de toute nature aux abois.
Il n’y aura pas de seconde manche sanitaire parce que la sidération absolue à une telle échelle ne peut fonctionner qu’une seule fois, et encore, bien des régions du monde s’en sont ressaisies comme si elles n’avaient pris qu’une douche.
Quant à l’imbécilité générale remarquable qui maintient le système chez nous… La France n’a jamais brillé non plus par l’intelligence de ses révolutionnaires. Le temps fera son œuvre, nonobstant cette connerie particulière.
Merci en tout cas et bonne continuation.

Ce n’est qu’un exercice. De la prospective. Personnellement, je n’ai pas encore d’avis tranché. J’attends la fin de mon “Test Biden” (automne prochain).

Pour le futur, je souhaiterais partager votre optimisme (“pas de seconde manche sanitaire”)… En attendant, ce que j’observe toutefois est soit le status quo, soit l’aggravation.

Et si la “résistance” n’était qu’une idée romantique ?

Car sur le terrain, on voit Israël et le Royaume-Uni. Ca c’est concret. Et ce n’est pas très rassurant… Des millions de veaux qui se précipitent à l’abattoir, l’air extatique.

Quant à la France, oui on traîne -un peu- des pieds sur les vaccins… mais par esprit de contradiction bien français, comme devant un agent du fisc qui débarquerait en disant “I came in peace” ;-)… Derrière, quelle est la véritable substance ? Y’en a t-il une ?

Sur le terrain, les mesures coercitives se multiplient (couvre-feu, la départementalisation du confinement etc.) et… ? Bof. Ca ronronne.

Enfin, vous parlez de “suicide” dans le cas d’un virus conçu pour tuer à large échelle… Certes. Techniquement oui.

Mais en quoi serait-ce science-fictif ? Et même mieux : en quoi cela ne pourrait pas être humain ?

Des dingues prêts à se tuer et à tuer les autres, ça existe. Les sectes par exemple.

Cette hypothèse, type Armée des 12 singes, ne peut pas être totalement exclue.

J’y croyais au début, mais aujourd’hui, je ne crois plus à un virus fabriqué, ou alors, Dame Nature n’a pas tardé à s’en débarrasser, vu qu’elle est la plus forte. En parler comme font certains ne fait qu’accréditer le fait qu’il y aurait une pandémie.
Si toutes les autopsies des victimes de ce fameux virus ont été interdites, ça n’est pas pour rien. Souvenez-vous, même la Chine s’est opposée à ce qu’elles soient pratiquées en Italie, pays qui, à en croire les médias, était le plus touché…
Si le Chinois ne voulaient pas, c’est parce qu’ils savaient bien que le “covid-19” n’existait pas. Ils ont joué le jeu car ils savaient que les Occidentaux, avec leur confinement et autres mesures, allaient se suicider économiquement, et qu’elle en récolterait les bénéfices.
Et tant pis pour la mauvaise image !

Commentaire d’un lecteur ayant eu maille à partir avec mon féroce système anti-spam. Par e-mail donc.

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Je n’y crois pas une seconde à la version 2 “améliorée” pour faire plus de morts.

Je pense que c’est surtout une opération de manipulation psychologique pour continuer à faire croire qu’un danger terrible va survenir.

Faire croire que “Il n’y a pas de morts pour l’instant, mais un autre va venir qui va tuer tout le monde.”

Bref, on en revient à janvier, février et mars 2020 quand ils ont enfumé de la même façon les réseaux sociaux et les lanceurs d’alerte (qui de ce fait ont beaucoup contribué à créer la panique là où il avait encore de la résistance.)

Question : si vraiment le virus du covid était destiné à tuer en masse, vous croyez qu’ils en auraient fait une montagne à l’avance, sur toute la planète ? Bien sur que non. Ils auraient laissé le virus tuer tranquillement, comme les glyphosates et autres produits chimiques le font sous le grand silence médiatique et de Bill Gates (devenu premier fermier des USA).

Alors, ne leur faisons pas le cadeau de croire encore qu’un truc terrible va nous massacrer par millions. Ce serait exactement leur jeu.

Notre objectif maintenant : arrêter d’avoir peur et expulser tous ces criminels de leurs postes à responsabilité.

Patrick

Réponse : il est évidemment bien plus pratique de procéder par injection. Quant à leur intérêt, pourquoi ne serait-ce pas nous laisser croire qu’ils n’iraient pas jusqu’au bout ?

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