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Saloperie et sida mental

Allemagne : illustration du tropisme gauchiste de la covidémence

Mon stagiaire chinois au service illustration aime ses grands classiques.

Très vite, il a semblé évident que le couillonavirus était politique.

A plus d’un titre.

Même si la ligne gauche/droite entre les partis est devenue… très floue (!) en France… cela se sentait malgré tout dans la presse, les commentaires, des réactions individuelles ainsi que dans d’autres pays.

Etre de “gauche” (au sens large)… prédispose à la covidémence.

Ce lien est plus faible pour la “droite”.

Un sondage réalisé fin février en Allemagne démontre cela.

La question est simple : “Etes vous favorable à un assouplissement des restrictions Covid ?” (source ZeroHedge).

56 % répondent oui.

Mais la séparation par affiliation politique est très claire, très tranchée.

Les Verts sont les plus dingues, suivis par socialos du SPD et l’extrême-gauche de Linke.

Les droitistes de l’AfD sont beaucoup plus méfiants envers la terrible pandémie et son traitement politique, sanitaire etc.

Le même tropisme a pu se constater en 2020 et de manière caricaturale aux Etats-Unis entre les Démos dégénérés et les Républicains trumpistes.

Comment l’expliquer ?

Etre de “gauche” prédispose à vouloir refaire (voire même défaire) son voisin. En clair : le constructivisme.

S’obstiner à vouloir faire le bonheur d’autrui, même (et surtout) contre sa volonté.

En un mot : recréer l’homme à sa… propre image. Il y a un côté démiurge là-dedans qui est manifeste et qui est prône à toutes les dérives cinglées…

Les gauchistes, qu’ils soient de coeur ou de raison, y sont toujours  sensibles.

Cela ne signifie pas que les droitistes n’aiment pas aussi fixer des règles et réformer leur prochain… Mais moins.

C’est une constante historique depuis mettons… la Révolution française (datation à coup de hache, je sais).

6 replies on “Allemagne : illustration du tropisme gauchiste de la covidémence”

Une autre grille de lecture du phénomène est selon le degré de mondialisme. Ceux qui rêvent d’une gouvernance mondiale (et qui se fichent du petit peuple et de la justice sociale qui est au cœur de la distinction droite/gauche) cherchent des raisons pour le justifier. Il leur faut des problèmes qu’ils prétendent ne pouvoir être résolus que dans un cadre mondial : changement climatique, covid …Il n’y a nul doute qu’ils chercheront un autre prétexte quand l’hystérie du covid va retomber.

Ca se recoupe parfaitement. La gauche est résolument mondialiste, anti-frontières etc. Seule une petite fraction (disparue aujourd’hui) était attachée à la nation (exemple Chevènement).

La droite est davantage attachée aux “territoires”, aux frontières (même si cela s’amenuise également).

Continuer à raisonner en terme de “justice sociale” c’est l’assurance de la sortie de route analytique !

C’était vrai du temps de grand-papa (qui est mort depuis longtemps et pas du Covid).

La gauche révèle son vrai visage : constructiviste de manière autoritaire.

On peut vouloir changer certains traits humains, faire des plans sur la comète, mais par le dialogue, l’explication, la persuasion etc.

La gauche a de tout temps tendance à vouloir imposer ses idées par la force. “Pourquoi ?” Sa réponse préfére étant souvent “parce que et ferme ta gueule”.

Climat, écologie, covidémence, immigration, Union Européenne, mondialisme, multiculturalisme… tout le démontre.

Où est la “justice sociale” dans tout ce bordello, ce fatras idéologique ????

On connaît l’excuse utilisée : l’homme ne peut pas se réformer lui-même, de lui-même. Donc, c’est notre travail que de le faire. A sa place et pour lui.

En réalité, souvent contre lui.

Le sophisme de masse est également sur la sellette. À partir du moment où Trump s’est prononcé en faveur de HCQ, un certain nombre de gens se sont ralliés à la doxa.
Parce que la fachosphère a relayé Didier Raoult, la gauche s’est mise à tirer à boulet rouge sur lui. D’ailleurs je soupçonne une partie de la fachosphère d’avoir adopté des positions critiques pour pousser la gauche à soutenir la doxa. Ils savent très bien jouer avec ça.
Bref le sophisme politique : si mon adversaire dit ça, je dois m’y opposer, a fait beaucoup de dégâts dans cette crise.

Rien que le terme “fachosphere” est déjà une victoire de la gauche orwellienne… ne vous y laissez pas prendre !

D’ailleurs du temps de Mitterand quand les dirigeants communistes les plus malins ont vu qu’ils allaient perdre tout leur terrain, ils ont rejoints qui ? Le parti écologique.
On les appelait le “refondateurs” je crois.

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