AstraZeneca ainsi que Janssen avait déjà annoncé la couleur : les enfants, même très jeunes, passeront à la casserole vaccinale (lire ici).
Moderna vient de confirmer en annonçant une vaste étude clinique pour tester son produit génique sur des milliers d’enfants !
6750 enfants de 6 mois à 11 ans participent à cet essai clinique aux États-Unis et au Canada. (source le Figaro)
Que dire de plus ?
Rappelons que les enfants ne sont EN RIEN CONCERNES par le couillonavirus…
Cette volonté obsessionnelle de leur injecter, même à six mois d’âge… toutes ces saloperies géniques démontre à la fois une psychopathologie sévère et une volonté de nuire évidente.
7 replies on “Plus aucune limite : test du vaccin sur des enfants de 6 mois”
On se dit que les parents qui signent les consentements devraient être privés de leur autorité parentale séance tenante… Evidemment, dans un monde normal, la possibilité même de signer un truc pareil n’existerait pas…
Et difficile de croire que c’est simplement pour gagner un peu plus d’argent… Il y a autre chose. Quelque chose de funeste.
Plus largement, l’argument du pognon, utilisé ad nauseam comme une excuse depuis le début… me paraît de moins en moins valide.
Il ne tient pas devant la volonté obsessionnelle des covidéments les plus durs (à l’oeuvre sur de nombreux sujets, dont la vaccination générale).
Quelque chose de funeste, quelque chose de génétique, par exemple?
Je crois aussi que cette volonté acharnée de vacciner trahit une intention cachée, et vu que c’est un test de vaccin à ARNm, mon rasoir d’Ockham ne me laisse que cette raison.
Il faudrait avant tout savoir quel est le profil de ces parents pour avoir une idée précise de leur motivation. L’extrême pauvreté n’explique pas tout.Il peut y en avoir, bien sûr
Reste à savoir ce qu’on a dit à ces parents pour qu’ils acceptent, si toutefois, ils ont des parents, ou s’ils ne sont pas placés dans une institution. Voilà pourquoi connaître ce profil permettra d’en tirer des conclusions
Est-ce si étonnant? Tout le monde doit y passer et y passera.
Existe-t-il une espèce animale qui ne protège pas ses petits? On connaît le cas de certains mâles qui s’en prennent à leur rejeton et que la femelle doit protéger (chez les ours par exemple) mais une espèce qui laisserait sa progéniture sans aucune défense , ça court pas les rues. C’est sans compter sur l’humain qui veut échapper à la condition animale bien sûr.
Témoignage : Je suis enseignante en collège , pas facile en ce moment. J’essaie de laisser respirer les élèves et moi-même par la même occasion mais la ligne de crête se rétrécit. La vie scolaire se transforme en milice sanitaire et traque les mauvais porteurs de masque (dont je fais partie mais je m’en fous, je pense d’ailleurs que mes jours sont comptés, le principal va devoir prendre des mesures disciplinaires). Les collègues sont hystériques (certains portent deux masques) . Le portrait que vous avez brossé , il y a peu, de cette profession, est en dessous de la réalité. Comment avons-nous pu tomber si bas? Rien n’a attendre de l’institution , donc.
Les parents auraient pu, dû réagir plus tôt, ils ne l’ont pas fait. Ils ne protègeront pas leurs gosses parce qu’ils veulent retrouver “leur vie d’avant” ou qu’ils ont renoncé ou parce qu’ils sont épuisés ou…
Je pensais sincèrement que quand viendrait le tour des enfants, les gens commenceraient à réagir mais ils sont malins, le meilleur pour la fin.
Ils n’auront pas mon fils et nous nous lèverons tous, peut-être, pour protéger ce que nous avons de plus précieux, ou pas…
A suivre
Si les parents, en juin 2020, avaient refusé d’envoyer leurs enfants à l’école, étant donné qu’on les obligeait à porter un masque, le gouvernement aurait renoncé.
Pareil pour les salariés. D’autant que dans certains commerces, et grandes surfaces, leur direction le leur imposait déjà (dès le mois d’avril ou mai 2020). Ils savaient que le masque était nocif, et les rendait malades, mais non, tout le monde a accepté.
Voilà pourquoi tout ce cirque continue, et n’est pas près de s’arrêter !
Des Docteurs Mengele 2.0 ressurgissent du néant, peut-être ?