C’était annoncé depuis des semaines… Les laboratoires y travaillaient (Pfizer, Moderna, AstraZeneca)… Le plan covidémentiel est désormais sur les rails.
Les boosters arrivent. En clair, les vaccins annuels… destinés à suivre les mutations du virus…
Comme d’habitude, c’est le Royaume-Uni qui est en pointe.
Over-70s will get Covid-19 booster jabs in SEPTEMBER after SAGE said South African variant makes jab 30% less effective
Vaccines minister Nadhim Zahawi unveiled plan for people in top four priority groups receive a third injection
Frontline NHS and social care workers and the clinically extremely vulnerable will also be given the jab (source DailyMail)
Et ils commenceront bien entendu par les “plus fragiles” et les plus “exposés”… en septembre.
Trois doses donc en 9 mois (la vaccination a débuté fin décembre) ! Bravo les gars.
Il faut bien prendre conscience de l’énormité de la chose : trois doses injectées en 9 mois de produits géniques pour lesquels il n’y a strictement aucun recul, aucune étude long terme… le tout contre une maladie qui n’affecte en rien l’écrasante majorité de la population… !
Cela n’a aucun sens !
Une par une nous repoussons les limites de la covidémence. Et pourtant, tout le monde plonge.
A un tel rythme, à force de leur injecter toutes ces saloperies, produits géniques et autres “boosters“… les Anglais finiront bien par tous crever.
On rappelle qu’au moment où le cinglé, Nadhim Zahawi, le ministre des vaccins (!!! oui ça existe au UK), annonce cela… tous les indicateurs ont fortement baissé au Royaume-Unis (lire ici)… La terrible pandémie est terminée.
La mécanique est imparable… Quel que soit le niveau de ces indicateurs (cas et morts), il y aura toujours un nouveau mutant qui menace, au conditionnel, et donc les labos produiront des “boosters“… en permanence.
Et à chaque fois, votre passeport vaccinal sera mis à jour.
Repéré, mais avec difficulté, à Strasbourg, au pied de la flèche de la cathédrale (deuxième cathédrale la plus élevée de France après Rouen).
Il faisait la manche en face d’un kebab turc… Ah ? Vraiment ? Vous ne saviez pas ? Strasbourg n’est plus vraiment la capitale de l’Alsace…
le CHU de Strasbourg a alerté l’Agence régionale de santé sur la circulation en Alsace d’un variant particulier, qui n’aurait été détecté que là pour l’instant. Il porte une mutation sur un enzyme, la polymérase, qui intervient dans la multiplication du virus. Il a été identifié car dans les tests de dépistage PCR, un des marqueurs revenait systématiquement négatif. (source l’Alsace).
Voyez-vous le potentiel de ce mutant ? Il tient en échec les tests PCR (déjà foireux). Excellent !
Un test hélas négatif, pourra ainsi devenir… potentiellement positif, car alsacien. 😉
Mettez donc moi une choucroute complète, un pichet de Riesling, un café et l’addition.
En tout cas pour l’instant, les autorités sanitaires sont formelles.
C’est la Pédale du Kent qui tient le haut du pavé en Alsace (à “81,1 %“, on regrette l’absence de 2 chiffres après la virgule), suivi par le Mobutu Noir (en anglais The Black Mobutu, essayez de suivre un peu).
Le mutant alsacien demeure donc au niveau du nourrisson…
On verra si à force de biberonner du Pinot noir et du Gewurztraminer… il devient un grand gaillard.
Un conseil aux concepteurs de mutants… Jouez plutôt la carte islamique. Le mutant arabe, bien islamiste, égorgeur tendance canal historique, voyez ? ! Là vous gagnerez sur tous les tableaux. 😉
Allah a t-il chopé le coronavirus ? Et si oui, est-il asymptomatique ? Ce sont de vraies questions.
Car en attendant, la Bretagne et l’Alsace, perso, ça me rappelle plutôt ma jeunesse. Douce France…
Pardon. Je m’égare. La France n’existe plus. Où avais-je la tête ?
Le couillonavirus étant politique et l’Iran étant au coeur de la géopolitique mondiale… nous devons analyser le développement du couillonavirus dans ce pays.
Rappelons les grands fondamentaux :
-Les Etats-Unis et Israël sont en guerre contre l’Iran depuis… 40 ans (raccourci certes, mais factuel).
-L’Iran est assis sur de formidables ressources d’hydrocarbures… mal exploitées, en raison précisément de cette guerre (embargo etc.)
-la pression des sanctions économiques a poussé les Iraniens vers le DIY (do it yourself) (résilience, autosuffisance etc.)
-Les Perses sont très intelligents (la religion des mollah n’est qu’un voile sur cette intelligence et cette grande civilisation). Reformulons : l’Iran ce n’est pas le Maghreb, ni une vulgaire pétromonarchie du Golfe tendance bling-bling canal historique…
Il fut fascinant de constater que la terrible pandémie… après le coup de Wuhan… toucha l’Iran très tôt (février 2020) ! A tel point, qu’au début, des officiels iraniens tombaient comme des mouches (députés, ministres etc.)
Alors que le reste du monde regardait cela… d’assez loin.
Je me souviens avoir pensé à l’époque : il y a un truc, ce n’est pas possible, il s’agit d’une attaque bactériologique. Ce sont nos amis israéliens qui s’amusent avec les éprouvettes ! 😉
Puis une chose très étonnante s’est produite. L’Iran a utilisé… le remdesivir, du laboratoire américain Gilead ! Et a même participé aux essais de ce produit…. dès le 23 mars 2020. L’OMS à donné des doses au pays.
Inutile de rappeler que cette merde est nocive, n’a aucun effet probant sur le couillonavirus et coûte un bras (même l’OMS a fini par le reconnaître en… novembre 2020).
Pour un pays en guerre contre les USA depuis tant d’années… se jeter dans les bras d’un produit américain, nouveau, sans recul… c’était vraiment étrange. Pas une marque de clairvoyance en tout cas… Car très vite, l’absurdité du remdesivir est apparue (souvenez-vous des critiques de Didier Raoult)…
Bref.
Un an après, où en sommes-nous ?
L’Iran affiche 734 covimorts par million d’habitants. Deux fois moins que la France (source Worldometer). Israël est à 670.
Mais c’est surtout l’évolution qui me semble intéressante.
Graphique des covicas, covimorts par jour, moyenne mobile 7 jours, du 19 février 2020 au 26 mars 2021 (source base de données).
Les cas remontent dès le mois de janvier… Alors que les morts demeurent “flat”.
Il y a décorrélation.
Et les Iraniens ne vaccinent pas.
Alors que se passe t-il ? Les Iraniens soignent-ils… mieux ?
Il se trouve qu’ils commencent à utiliser… l’ivermectine. La fameuse.
Eh oui, quand vous êtes encerclé, aux abois, vous n’avez pas de “conflits d’intérêts” (vous pendez des trafiquants de drogue, en public, donc ça calme les ardeurs des petites frappes)… alors vous prenez ce que vous avez sous la main.
Vous êtes par la force des choses pragmatique et ouvert d’esprit (malgré les bêtises religieuses des mollah).
Et une vieille molécule qui ne coûte rien, déjà testée et utilisée avec succès ici et là contre le couillonavirus, est une candidate idéale.
Voici ce qui se passe sur le terrain :
Les Iraniens ont lancé des essais cliniques. Exemple début janvier.
Iran & China Sign Massive 25-Year Deal: $400BN Chinese Infrastructure Investment For Oil
Enième heureuse coïncidence…
Cela renforce ma thèse. La contamination couillonavirale de l’Iran cadre parfaitement avec la psyop chinoise… Affaiblir son “partenaire-fournisseur”… pour mieux ensuite se rapprocher de lui. 😉
Et se rapprocher très près.
La conclusion une fois de plus n’échappera qu’aux imbéciles heureux : la terrible pandémie… favorise la Chine !