Il est aisé, je le sais, de dire : “je vous l’avais bien dit”.
Mais c’est avéré…
Les espoirs étaient vifs… L’OMS avait diligenté un rapport concernant l’utilisation de l’ivermectine contre le couillonavirus.
Mais comme prévu, après l’EMA européenne, la FDA américaine, l’ANSM française (refus de RTU), le labo Merck, l’OMS rejoint la meute et achève de flinguer cette molécule.
The current evidence on the use of ivermectin to treat COVID-19 patients is inconclusive. Until more data is available, WHO recommends that the drug only be used within clinical trials. (source communiqué OMS)
Il n’y a là aucune surprise.
Il faut bien comprendre que ce n’est pas l’ivermectine qui est visée… De toute façon, étant dans le domaine public, elle n’appartient à personne. L’OMS et les autres luttent contre toute idée de traitement du Covid.
Il suffit de se souvenir de la formidable psyop menée contre l’hydroxychloroquine au printemps derniers (et qui dure toujours) !
La première règle de la covidémence c’est maintenir l’idée selon laquelle il n’y a pas de traitement contre la terrible pandémie (à part le paracétamol, l’oxygène, l’intubation, etc.).
Seuls les vaccins (parfaitement inutiles, rappelons-le) peuvent sauver l’humanité.
C’est le fil rouge de la propagande depuis le début de l’opération.
Quatorze mois !
Et attention au contresens (“ils font cela pour promouvoir les vaccins”)… Je suis convaincu que ce n’est qu’un effet secondaire… Le premier objectif est de maintenir la fiction de la terrible pandémie.
Car une terrible pandémie qui se soignerait très bien, ipso facto, disparaîtrait.
Rappelons également que le problème n’est pas franco-français (les vapeurs de Véran, les émotions de Salomon, et toutes les petites saloperies entreprises par ce gouvernement corrompu relèvent de la gestion courante de cette psyop, au niveau local).
Enfin… l’OMS est contrôlée par la Chine.
Au point que les Etats-Unis se sont retirés de l’institution en juillet dernier ! On a déjà oublié, drame de l’homme moderne… Décision annulée bien entendu par le vieillard de la Maison blanche, une fois sa nomination son élection assurée.
La covidémence est une Internationale… Nous nous perdons dans les détails nationaux… Mais c’est bien d’une Internationale dont il s’agit.
Les actions, les styles diffèrent aux échelons locaux… Mais la volonté de :
- monter en épingle une fausse pandémie
- de prolonger dans le temps cette fausse pandémie
- d’utiliser cette fausse pandémie pour remodeler le monde
… est non seulement évidente mais également internationale. Elle transcende les états.
Le couillonavirus est politique avant d’être un enjeu ou une problématique de santé.
Dès lors, interrogeons-nous : pourquoi des pays fortement opposés à l’Occident sont de facto complices… de l’Occident ?
Ou plutôt pourquoi ne saisissent-ils pas cette occasion rêvée de prouver au monde la corruption intrinsèque de l’Occident ?
Prenons les 2 pays les plus puissants dans cette catégorie : la Chine et la Russie.
Avez-vous entendu parler de l’ivermectine en Chine et en Russie ? Ou d’autres traitements -réellement efficaces- testés par ces deux pays ?
Ces pays ont-ils mobilisé leurs formidables ressources pour lancer des tests à grande échelle, des études en béton, pour démontrer l’efficacité de l’ivermectine contre le Covid, et ainsi :
-prouver la corruption de l’Occident (totalement inféodé à son industrie pharmaceutique)
-et sauver le monde du même coup
Non.
Qui fut le premier à dire que nous étions “en guerre” ?
Xi Jinping !
Et ?
Ben alors Xi ? Pourquoi tu ne la fais pas la guerre ? Vraiment ?
Le silence… Et même le Grand Silence.
La Chine continue de promouvoir, par tous les moyens, la fiction couillonavirale (en imposant son modèle partout). Et la Russie se contente de fabriquer un vaccin qui semble tenir la route.
Et… rien d’autre.
Pourtant Poutine et Xi Jinping lisent les mêmes choses que nous, ont accès aux mêmes données que nous, via Internet. Alors ?
Les dizaines d’études, de témoignages d’utilisation sur le terrain de l’ivermectine… Ils sont forcément au courant.
Et quid des seconds couteaux ?
L’Iran, le Venezuéla… seraient motivés, le mot est faible, pour mettre une raclée aux Américains ! Là aussi, on note quelques progrès (en Iran)… mais ce n’est pas ce qu’on pourrait appeler un projet Manhattan. Ils prennent leurs temps !
L’Iran ayant même plongé des deux mains dans le remdesivir… du labo américain Gilead !
Bref, l’épisode de l’OMS prouve une nouvelle fois que nous avons affaire à quelque chose de beaucoup plus profond, vaste et inquiétant… que la seule bêtise -réelle, avérée- de messieurs Véran, Castex, Macron, Salomon…
Résister, se battre, c’est d’abord savoir identifier l’ennemi.
POST-SCRIPTUM
Pour les retardataires : je rappelle que le spécialiste de l’ivermectine, en tout cas celui qui secoue le cocottier le plus à ce sujet en France, est le docteur Maudrux.
Son blog (cité dans mes sources depuis le début) : https://blog-gerard.maudrux.fr
Nombreux articles de fond sur cette molécule, les études, les polémiques, etc.
POST-SCRIPTUM 2
Chine et Russie… Il y aurait bien une autre explication à leur inaction, mais qui n’est pas plus réjouissante…
Pékin et Moscou ont très vite compris que l’Occident était prêt et heureux de se suicider avec cette pseudo terrible pandémie…
Alors ils ont tout simplement décidé de laisser faire (dans le cas de la Chine, d’encourager même…)
Et de surtout ne rien faire qui puisse mettre un coup d’arrêt au sketch couillonaviral.
D’un point de vue historique, ce ne serait pas critiquable, tant l’Occident est mûr pour disparaître, tant sa dégénérescence est manifeste.
Le problème est que nous sommes au milieu de cette guerre, de ce bouleversement géopolitique et historique.
Et que forcément nous allons… en souffrir.
5 replies on “Ivermectine : l’OMS rejoint la meute covidémentielle”
J’ai vécu longtemps au Japon et essaie de lire les informations sur NHK en ligne plusieurs fois par semaine. En ce moment presque tous les articles à la “une” ne parlent que du nombre de cas covid. Pas du nombre de morts, vraiment très peu impressionant, 73 par million d’habitants à ce jour, mais du nombre de cas. Ce qui m’interpelle, c’est la démission en septembre dernier du premier ministre Shinzo Abé. Il me semble que jusque-là le Japon, d’après les gros titres d’NHK du moins, était beaucoup moins porté à attiser la panique à tout prix; au contraire c’est depuis l’accession au pouvoir du premier ministre Suga que le nombre de cas devient une idée fixe. Suga est-il plus proche de la Chine qu’Abé? Je n’en sais rien. Je me demande, pourtant, si la démission inattendue d’Abé serait liée au covid et aux pressions extérieures.
Très intéressant. Suga a peut-être compris le bénéfice domestique qu’il pouvait tirer de la covidémence politique…
Surtout pour un premier ministre qui débute… et qui vient après une personnalité forte comme celle d’Abé.
La covidémence permet à peu de frais d’assoir son pouvoir (en foutant la pétoche à tout le monde et en mobilisant l’espace médiatique).
Je pense que c’est l’explication la plus valide.
Pour la sortie d’Abé, je ne sais pas. En revanche, avouez qu’il était essoré (exceptionnelle longévité). Et malade aussi. Ca doit jouer.
Plus largement je pense qu’il est difficile d’accuser les Japonais d’être des collabos pro-Chine…
Il y a encore 2 semaines, ils s’engueulaient au sujet d’ilôts…
https://asiatimes.com/2021/03/japan-china-on-a-razors-edge-over-senkakus/
Je suis très perplexe sur la Russie : si l’on regarde leur chiffres, ont peut penser qu’ils ont géré mieux que nous : fermeture rapide des frontières, traitement des malades (HCQ+AZi), pas de folie restrictives de longue durée…
Cependant la surmortalité (officielle) a été très forte entre mars et novembre 2020 environ 170000 morts en excès à ce moment). Dans la ville de Kazan (1,3 million hab.) où j’ai passé les fêtes de fin d’année il y avait environ 150 morts annoncés mais plus de 4500 en surmortalité. La seule chose notable est que contrairement à ici, il n’y avait aucune surréaction et donc aucune panique dans la population, qui par exemple portait le masque uniquement en intérieur fort nonchalamment voir pas du tout, sans que personne ne s’en scandalise. Les russes ne se précipitent pas sur le vaccin même s’il peuvent le faire sans limite.
Que les Russes haussent les épaules devant un papy qui passe l’arme à gauche… je crois que personne ne peut en douter ! Les Russes en ont vu d’autres et des beaucoup plus sévères… alors le Covid… pour eux c’est une aimable et plaisante damoiselle qui fait sa mijorée !
En clair : ils n’en ont rien à foutre. Ca doit les faire franchement rigoler. Et ils ont bien raison.
Ce qui est plus troublant est l’absence de la direction russe… Ils se taisent. Alors qu’ils avaient un boulevard devant eux. Ils font le minimum syndical avec 1 vaccin. C’est tout.
Voilà un pays qui développe des armes stupéfiantes (hypersoniques) pour se défendre contre les cinglés américains qui veulent leur peau depuis des décennies… et qui par rapport au Covid pouvait clouer au pilori les mêmes Américains… et qui ne fait rien, et qui se tait.
Ce n’est pas très poutinien ça comme attitude… ou alors c’est parfaitement voulu : ils savent que l’Occident se suicide… Alors le mieux est de laisser faire.
C’est toute ma thèse : pourquoi s’emmerder à siffler la fin de la récréation avec l’ivermectine ? Jouons le jeu jusqu’au bout… Dans cette affaire c’est l’Occident qui souffre le plus… qui s’autodétruit avec obstination, pas la Russie ni encore moins la Chine…
Moi, je trouve la réaction des russes somme toute normale et ma perplexité va plutôt à ce que je vois de mes compatriotes.
Il faut dire que l’hiver 1968/1969, j’allais voir ma mère à l’hôpital du coin (grande banlieue parisienne) qui avait choppé la grippe de Hong-Kong.
Les arcades en plein air du bâtiment avaient été transformées en salle de soin avec des grandes bâches bouchant les ouvertures, les plumards séparés par des paravents en drap blanc, et le tout chauffé par des radians à gaz fournis par l’armée.
Il y eut 30 000 morts au moins en 7 semaines et il fallut bien faire du camping sauvage…
A part ça, tout le monde s’en foutait de la grippe (y compris les soignants qui assuraient leur job loin des transistors) et la première préoccupation du moribond du lit d’à côté, comme tout un chacun, était le futur référendum du général et si “ça” allait repartir (mai 68).
Le type est mort trois jours après et ma mère est sortie dans les dix jours.
Je me souviens encore des trains chambre à gaz (on avait encore le droit d’y cloper) dans lesquels la moitié des voyageurs éructaient comme des tubards.
Bon, tout ceci pour dire que Poutine pouvait d’emblée prendre le problème du virus comme il devait être pris, c’est à dire un problème non pas sanitaire mais bien militaire.
L’heureux homme…