C’est bon de rire parfois.
Le Jerusalem Post nous apprend qu’Israël… est un mauvais payeur !
Le pays n’a pas réglé la facture des dernières 2,5 millions de doses de produit Pfizer reçues…
En représailles, le labo américain vient de bloquer la dernière livraison de 700 000 doses… Allant même jusqu’à utiliser l’expression de… “république bananière” !
Oh ! Cela frise l’antisémitisme…
La banane oui. Par contre pour la république (à coup d’étoile jaune 2.0 et de fanatisme covidémentiel) on repassera.
Vous l’aurez compris… voir les vautours se bouffer entre-eux… est un grand motif de satisfaction. 😉
On rappelle que Pfizer et Israël ont signé un accord faustien du type “tes doses contre mes données“. Voilà pourquoi le pays a été arrosé de suffisamment de doses pour lui permettre une campagne d’injection massive (lancée le 19 décembre 2020).
Le labo se payant ainsi un essai clinique (phase 3, si, si)… à l’échelle d’un pays.
Et le premier ministre espérant se refaire une virginité électorale sur le dos de la santé de ses concitoyens (les résultats des élections fin mars… ne sont, à cet égard… pas très clairs).
Pour rire, voici le graphique long, 1er mars 2020 au 10 avril 2021, des cas et des décès, par jour, moyenne mobile 7 jours.
10 replies on “Gag : la “république bananière” d’Israël ne paye pas Pfizer”
Les vaccins,juste une manipulation mentale de plus.
Ils sont probablement inéfficaces et peu dangereux.
Nouvelle manip mentale avec les autotests vendus en pharmacie:ils seront règlés pour etre très positifs et flanquer la trouille.
Pendant ce temps la en Suède,la vie semble normale,le pays n’est pas rayé de la carte.
En Israel,le pays a été ouvert dès que 50% de la population a été vaccinée,pas parce que la maladie avait régressé.Les courbes ont suivi.
On ne peut blamer les israeliens de ne pas payer pour un produit probablement peu efficace contre quoi que ce soit!
Drôle effectivement ! Peut-être un frémissement de réflexion de la part des Israéliens ?
Que ces vaccins ne soient pas efficaces contre le Covid et ses variants, cela me paraît évident mais inoffensifs, c’est moins sur.
Vous connaissez l’adage : il faut laisser sa chance au produit.
Du temps.
Dans quelques années, on verra si les Israéliens (et tous les autres) sont toujours en train de faire les cacos sur les plages de Tel Aviv, en maillot moulant. 😉
Pour se faire une idée, il suffit déjà de regarder l’efficacité moyenne des vaccins annuels contre la grippe… ça n’évite pas les gros épisodes, et je ne suis pas sûr qu’il y ait vraiment de différence entre les pays qui vaccinent à tout va et les autres.
Il y a sans doute une certaine efficacité ponctuelle (si le vaccin a été fait sur le bon mutant, si les conditions sont réunies, etc), mais en pratique, il y a tellement d’autres facteurs qui jouent sur une épidémie qu’au final ça ne fait pas une grosse différence.
C’est comme mon gamin de 4 ans qui croit qu’il contrôle le jeu vidéo alors que c’est son grand frère qui est en train de jouer…
Comme en informatique : ce n’est pas un bug, mais une feature. 😉
Le scénario est cousu de fil blanc.
Quand les neuneus israéliens et britanniques se payeront une nouvelle “épidémie” à l’automne/hiver prochain, malgré leur campagne de vaccination massive… ils nous expliqueront que c’est la faute du variant ZOB2233 (venant de Somalie, d’Haïti, enfin un shithole trumpien quelconque).
Après tout, les covidéments sont constants… Cette idée de vaccin rechargeable fut annoncée dès… le printemps 2020.
Ils avaient annoncé le programme.
Et les labos disent : “immunité… 6 mois minimum”… En clair, 6 mois + 2 jours, pouf ça pourrait ne plus fonctionner.
L’échec des vaccins conduira à l’idée -naturelle- qu’il faut…. davantage de vaccins.
On a déjà vu cela avec le communisme en URSS ou l’UE.
Ca foire car y’en a pas assez. Il en faut davantage. 😉
Oui les israeliens et anglais auront bientot une nouvelle épidémie,mais je suis plus réservé sur l’acceptabilité d’un nouveau vaccin.
Et puis la crise économique commence a ronger les gens.
Toute notre difficulté à comprendre cette crise est que nous nous acharnons -pensée binaire occidentale- à ne lui voir qu’une seule source, toute puissante et planétairement homogène, alors que cette anecdote montre bien que ce d’aucuns appellent le NOM n’est que le couvercle d’un panier de crabes.
Autrement dit, il y a eu un an auparavant en occident convergence conjoncturelle d’intérêts DES états profonds (militaro-industriels et leurs piétailles politiques), DES oligarchies (financières et leurs cléricatures judiciaires et médiatiques) pour enrayer un axe en pleine montée de puissance formé par la Russie, la Chine et l’Iran.
L’ enjeu étant en premier lieu le sort de l’agneau sacrificiel appelé Union Européenne et ses petits roitelets fainéants à la Macron, le cheveux américain sur la soupe Trump ayant été extirpé manu militari.
Ce ne serait donc pas la Chine la clé du problème, elle qui n’a fait que renvoyer la balle piégée avec une habileté sidérante (d’où notre sidération de jugement vis à vis d’elle), mais bien Israël.
Non pas que j’accorde à l’état profond hébreux plus que son importance réelle (considérable mais non pas hégémonique comme beaucoup en ont franchi le pas et fait leur fond de commerce) mais eux semblent bien avoir anticipé le coup à venir avant tout le monde et cela plus dans la panique que dans l’urgence, ce qui nous déroute là aussi complètement.
On en arrive à la question que tout le monde a peur de regarder en face : l’option militaire dure.
L’axe Russie, Chine, Iran, est invincible d’abord parce que la Russie a acquis une puissance de feu incomparable et surtout imparable, face à une force technologique américaine qui en est restée à la seconde guerre d’Irak, c’est-à-dire à la seconde guerre mondiale sur une échelle d’efficacité (des experts militaires américains sont les premiers à le reconnaître).
Question : pourquoi pas moins de 16 laboratoires de recherche bactériologique ont été créés par les américains sur le territoire ukrainien ?
Corollaire : oui, le Covid19 est une affection banale servant de prétexte à une mise en condition générale des populations. Mais justement, est-ce que le grand barnum de la dictature sanitaire oligarchique -indéniable réussite avec le concours bénévole de nos psychologues dissidents- ne dissimulerait pas en fait une reprise en main des états profonds militaires occidentaux en vue d’une manœuvre beaucoup plus classique.
Schwab un idiot utile ? Il suffit de jeter un œil à son bouquin pour trouver l’hypothèse plausible. L’erreur de Schwab étant sans doute -en bon financier- qu’il croit pouvoir échanger sans accroc l’occident réel contre la Chine.
Autrement dit, est-ce que la guerre bactériologique, la vraie, ne serait pas devant nous ? (ah non, LG, inconcevable !).
Il est possible que nous ayons la réponse avant la fin de l’année, les bruits de botte et plus se précisant justement en Ukraine.
Une chose met à mal votre scénario.
Le silence de la Chine et de la Russie.
Après tout, si la covidémence était dirigée contre eux… pourquoi ne réagissent-ils pas ? Et même mieux : pourquoi semblent-ils jouer le jeu ? Avec tant d’empressement ?
Quant à Israël, là encore c’est le caillou dans la chaussure.
Ce pays si intelligent, et si reckless, par nécessité géographique et historique… se précipiter dans les bras de… Pfizer, une vulgaire boîte privée américaine (même si dirigée par un juif) pour injecter des merdes à tous ses citoyens, pour un virus qui tue quelques vieillards ?
Ca ne cadre pas dans le grand ordre des choses.
Ou alors, de nombreuses pièces du puzzle nous échappent.
L’Ukraine apparaissant au fond… comme simplement une resucée des obsessions… de la famille Biden (le vieux et son fils l’amateur de putes et de came). Et donc juste un moyen d’emmerder Poutine. Fair enough.
Mais j’insiste : le silence de Poutine est incompréhensible… Encerclé par les cinglés ricains, monsieur développe des armes hypersoniques, et montre ses muscles en Syrie, en Crimée… à raison… Et pourtant face au couillonavirus il se tait ?
Et aux dernières nouvelles, il développe… un vaccin anticouillonaviral pour… les animaux ??? !!! 😉
Désolé, mais ça ne tient pas debout… Rien ne fait sens dans cette affaire.
Et si on n’avait pas injecté de Pfizer aux israeliens?Ma nièce de 30ans y habite et a été se faire vite vacciner.Donc les gens ont bien reçu des injections.Mais rien ne prouve que ce soient les terribles vaccins traitement ARN qui font si peur.
Au point de mensonge et de désinformation ou on en est…
N’est ce pas faire preuve de suivisme moutonnier de croire tout ce qu’on nous raconte sur les vaccins?
Nous ne sommes pas de vulgaires journalistes quand meme!
Toute donnée “officielle” doit être prise avec des pincettes.
Et ensuite passée au travers de plusieurs tamis, ou sas de désinfection mentale.
C’est une démarche de bon sens. Donc oui, nous n’avons aucune preuve que ce qui a été injecté aux Israéliens est la même chose que d’autres lots du Pfizer.
Aux grincheux ou faibles d’esprit, je rappelle qu’en 2020, voilà comment un grand laboratoire occidental, AstraZeneca… maîtrisait (ne riez pas) les tests, et le process de fabrication…
https://covidemence.com/2021/01/04/vaccin-astrazeneca-les-italiens-ont-force-sur-la-grappa/
Dès lors… le doute est non seulement autorisé, mais aussi une preuve d’un certain équilibre mental… 😉