Vous le savez, c’est la “quatrième vague” en Thaïlande, ce pays d’Asie du sud-est de quasi 70 millions d’habitants.
1 500 “nouveaux cas” comptabilisés hier en 24h. Croissance exponentielle comme on disait en Europe…
Restrictions de déplacement entre provinces… Fermetures des bars. On parle de confinement partiel dans quelques provinces (dont Bangkok, décision gouvernementale à venir).
Voici une extrait du brief officiel gouvernemental. Avec les chiffres officiels.
- +1 543 cas en 1 jour
- 8 389 personnes sont actuellement “hospitalisées“
- … Et 11 (oui onze) sont actuellement en “réanimation” (ICU).
😉
Alors vous allez me dire -à raison- qu’il y a 2 couilles dans le potage. Et des grosses. Et des bien velues (pardon mesdames, mais quand je suis énervé, je deviens un brin vulgaire).
-le nombre de 11 est ridiculement faible…
-le ratio “hospitalisations/réas” n’a aucun sens
Oui pour le 11.
Et quant au ratio… il y a une explication (la principale) très simple. C’est la méthode thaïe.
Quand vous faites un test PCR dans ce pays… si le résultat est positif, vous êtes immédiatement interné, pardon hospitalisé. De force.
En France, on vous dit “restez chez vous, buvez du bouillon et mangez des cachous, enfin du doliprane“.
En Thaïlande, zou, au gnouf.
Conséquence : il y a des milliers de pauvres mecs, qui n’ont rien, ne sont pas malades… mais qui attendent comme des cons dans un hôpital… Sans traitement, rien. Ils attendent. On leur prend la tension. Certains ont droit à de la vitamine C. 😉
Pendant ce temps, on incrémente les compteurs. Les hostos privés chargent la chambre à la journée. C’est un petit business. 😉
Mais… et c’est l’autre effet mécanique d’une telle politique : les vrais malades… se planquent !
Car faire un test, avec un résultat positif c’est se faire mal voir des voisins, de son patron, de ses collègues
En clair, c’est la perte de face totale. C’est être un pestiféré… Et ça en Asie, ça ne passe pas.
Conséquence : de vrais malades, contagieux… se planquent. C’est une certitude. Et ils attendent.
Voilà ce qui se passe concrètement dans un pays important, en Asie…
La covidémence est totale, mondiale, et très… organisée.
Il y a un an on pouvait mettre cela sur le coup de la panique, du sens de l’organisation parfois très particulier des Thaïs… Mais aujourd’hui ?
C’est une vaste mise en scène qui utilise les mêmes ressorts qu’en Occident.
Le gouvernement local fait tout ce qu’il peut pour :
-provoquer la panique
-et surtout la maintenir
C’est objectif. Parfaitement démontré.
Et les mêmes méthodes sont appliquées par virtuellement tous les gouvernements de la planète.
La bêtise humaine est certes infinie… mais “merde quand même !” comme disait un fameux Catalan… naturalisé français…
Il y a un moment où il faudra bien commencer à se lancer dans le panic sex et se mettre à sérieusement picoler. 😉
Je l’ai souvent écrit : chaque jour qui passe, sous régime covidémentiel, renforce la probabilité d’un truc sinistre, sale.
MISE-A-JOUR
Au 16 avril, nous sommes à 16 personnes en réanimation (respirateurs), et 67 en “état grave”.
Le gouvernement annonce des nouvelles restrictions. 18 provinces en rouges, les autres en orange.
-fermeture écoles, gyms, bar
-restaurants sans alcool, fermeture 21 ou 23h, selon la zone.
-fermeture centres commerciaux…. 21 h (alors que normalement 22h).
-fermeture des “convenient stores” 23h.
-pas de rassemblement de plus de 50 personnes
Le tout pour 2 semaines minimum.
19 replies on “Combien de malades en réanimation en Thaïlande ? Onze”
Les tests PCR sont-ils utilisés en Thaïlande ?
Bien sûr ! Mais… en très petites quantités…
Donc décès par fracture du crane = décès par COVID!
Enfin la seule chose que je peux inférer de tout ce ramdam, avec un très haut degré de certitude, c’est que les humains sont devenus très bêtes et obéissants. Ou alors ils l’ont toujours été, et je me réveille d’une longue ignorance.
L’histoire de nos civilisations modernes, c’est l’histoire de Lassie chien sans collier:
– le chien, au pied !
– ouaf !
Rien de neuf sous le soleil. Esclaves et maîtres. Ca dure depuis des millénaires.
Mais le twist en ce 21ème siècle est : pourquoi les maîtres se mettent à détruire… les esclaves ? Pourquoi ?
C’est ce point précis qui ne fait pas sens.
Et c’est ce point précis qui est inquiétant…
Si c’est comme ça qu’il faut voir les choses, alors la réponse est simple: quand les esclaves sont en surnombre, leur valeur approche de zéro, et on peut alors s’en débarrasser. Voire on *doit* s’en débarrasser.
Oui, c’est en effet une hypothèse valide.
Surnombre par rapport aux ressources.
L’idée paraît folle… Mais ce que nous vivons depuis 15 mois est fou.
“Si j’étais… multi gazillonaire”.
“Le cheptel pollue mon air, mon eau, mes terres”
“Le cheptel pue. N’a aucune éducation. Est dangereux”
“le cheptel consomme mes ressources, énergétiques, minières”
“Comment résoudre ce problème ? Simple ! Il suffit de supprimer le cheptel”.
“Comment ? Une guerre ? Trop long ! Même si les Africains au Rwanda par exemple ont démontré une réelle productivité à coups… de machette”.
“En fait, un virus serait la solution idéale”.
C’est fou… et parfaitement rationnel à la fois.
Le fantasme de Elysium, la station spatiale pour riches est… un fantasme justement.
Nous n’avons que cette bonne vieille planète.
8 milliards de gueux, qui braillent et qui m’emmerdent ?
Tous les supprimer.
Oui, c’est parfaitement logique.
C’est aussi l’explication à laquelle j’arrive quand je me dis : “et si j’étais Bill Gates, qu’est-ce que je ferai aujourd’hui (pour le futur de l’humanité…) ?”
Eh bien oui, je chercherai à réduire le cheptel, et sans doute en sélectionnant les 5 ou 10 % que je conserverai dans un premier temps. Ou à défaut de le réduire, je chercherai à le mettre hors d’état de nuire : régime alimentaire strict, mobilité limitée, habitat réduit et sobre….
La solution virale a pleins d’avantage : il est très difficile de savoir d’où vient le virus (mère nature…) ; on peut dans une certaine mesure cibler les victimes, ça n’a pas de conséquences environnementales délétères contrairement aux guerres traditionnelles… avec les variants, on fait monter ou descendre la pression selon les besoins du moment….
Maintenant, j’aimerais bien que les critères de sélection pour le monde d’après soient : l’attachement à la liberté, la sensibilité, la spiritualité, les capacités intellectuelles…. et non le goût de la facilité, la consommation déraisonnée, la violence… Et là dessus, je ne sais pas ce qu’il y a dans la tête de ces messieurs (parce que je crois que ça reste un univers très masculin, à quelques exceptions près).
Bon, là il s’agit peut-être de seulement les stériliser. Le caractère délicat de cette hypothèse réside dans le “seulement”. Et puis s’il en meurt une partie au passage, c’est tout bénéf ^^
Il y a la stérilité….. ou bien les cancers…
C’est au choix 🙂
En tout cas, je trouve l’acharnement pro-vaccinal (au sens de “traitement imposé à des personnes en bonne santé”) vraiment suspect.
Le problème, c’est que le sujet de la vaccination est devenu une religion, et parmi la population, il y a beaucoup de croyants… (qui crèvent d’envie que l’on contraigne les non croyants à rejoindre leur paroisse, par la force s’il le faut).
Religion, oui, mais alors au sens XIIIème siècle. Avec la Sainte Inquisition.
Il conviendrait plutôt de parler de fanatisme.
Les gens sont non seulement cons comme des enclumes, mais en plus, ils sont fanatisés.
Toute la covidémence s’effondrerait si la population avait encore quelques neurones en état de fonctionner. C’est ça le drame.
Ca marche.
La covidémence marche du feu de dieu.
Précision : je ne remets pas systématiquement en cause l’efficacité de certains vaccins ; par exemple, je veux bien croire que les campagnes de vaccination des renards contre la rage ont permis de faire reculer cette maladie ; idem pour la variole.
En revanche, je suis dubitatif sur l’intérêt de vaccins contre le HPV, l’hépatite B, le covid….
Inutile de vous justifier.
Il ne faut pas craindre les insultes des covidéments (“antivax”).
La question n’est pas d’être pour ou contre les vaccins.
L’idée est d’être contre les vaccins… INUTILES. 😉
Et le Covid a ceci d’incroyable qu’il est parfaitement bénin (voire carrément virtuel) pour l’écrasante majorité de la population !
Des millions de personnes, jeunes, saines, se précipitent pour se faire vacciner contre… rien.
😉
Si cette merde zigouillait 1 infecté sur 2, je serais le premier à vouloir m’injecter les produits chimiques les plus stupéfiants (surtout stupéfiants).
😉
Mais nous sommes face au mieux à rien du tout (asymptomatiques)… voire un rhume. Au pire, à une grippe qui donne une pichenette finale à des gens de 80 ans et plus… quasiment tous perclus de pathologies médiévales.
Il faut toujours recadrer le débat sur cette essence.
Le Covid, en tant que maladie infectieuse… relève du rien.
Pour créer un monstre, fastoche. Vous mélangez les virus potentiellement dangereux dans les boites de Pétri. Quelques souris, voir chauves-souris.
Vous en relâchez régulièrement. La nature faisant toujours bien les choses, ces virus échangent du matériel.
Ainsi, ni vu ni connu, vous créez le monstre du Gévaudan.
Nul besoin de matériel très sophistiqué. Juste quelques séquenceurs pour contrôler ce que vous relâchez.
Comme le fait la vaccination par exemple 😉
Détruire les esclaves ? Pas sûr…
Je vois plutôt une conversion de masse, une augmentation numérique de la secte, donc de sa puissance.
En parallèle, un néo-malthusianisme frappant les improductifs (vieux, malades) et les faibles qui s’ignorent (maladies silencieuses) ou pas.
Et surtout, l’isolement des factieux, des séditieux, bref de ceux qui n’auront pas validé l’ingénierie covid 19.
Economiquement, l’effondrement étant très ciblé et dans ce dernier, beaucoup de futurs déjà convertis à la secte, mais ils ne le savent pas encore, je parle de ceux qui obéissent aux injonctions et qui sont sous perfusion de l’Etat, tout en étant confiné chez eux.
Le basculement anthropologique c’est que la secte, hier minoritaire, va devenir majoritaire sur le plan numérique et que les factieux, hier majoritaires, vont devenir minoritaires.
Exprimé autrement, la secte d”hier sera le peuple de demain et le peuple d’hier deviendra la nouvelle secte.
Un renversement de paradigme absolument prodigieux.
Hum, si vous n’avez pas de ronces en Thaïlande, il va falloir vous en envoyer, histoire de dire que vous n’avez pas le cul sorti des ronces 😉
C’est quoi, le délire?
Le parti communiste chinois se serait mis d’accord avec Joe Biden, Bill Gates, Jacques Attali, la famille Rockefeller, les concepteurs des compteurs Linky, les installateurs de 5G, les dictateurs asiatiques, et une poignée d’autres pour ramener la population mondiale à 500 millions. Pardonnez-moi, mais j’ai un peu de mal à suivre…
Bref, je comprends de moins en moins ce qu’il se passe.
Si on part du constat que l’occident est dans un état de délabrement moral et mental, que cette partie du monde est dirigée par des dégénérés sans scrupules, voire des psychopathes, je peux le concevoir.
Mais pourquoi l’Asie, b… de m… ? J’ai entendu dire que même aux Philippines, c’est le désastre.
Pourquoi l’Asie ?
Relisez mes nombreux articles. Quelques exemples :
-Thaïlande : gouvernement militaire depuis… 2014. Nouveau roi depuis 2019 (couronnement). Manifestations d’opposants.
Pourquoi le Covid ? Plus de soucis avec les opposants.
-Cambodge. Premier ministre dictateur depuis 25 ans. Il assume. Le Covid ça le sert.
-Birmanie. Les milis ont attendu le Covid et le feu vert de la Chine. Pouf. coup d’état contre le gvt élu. No soucis. Du velours. Ils tirent dans le tas. Ils sont protégés (pipelines stratégiques pour la Chine).
-Hong-Kong : coup de force de la Chine en juin 2020, grâce au Covid. C’est passé comme une lettre à la poste.
-Chine enfin : est il besoin de s’étendre ? Le Covid sert Xi Jinping, à l’intérieur et à l’extérieur.
Voilà des exemples concrets.
Tout ça ce sont les utilisations politiques de la fausse pandémie.
J’ajoute : l’Asie ne vaccine pas. Très peu.
On ne peut faire que des hypothèses quant au pourquoi profond… en attendant, on ne peut que constater que rien ne fait sens, que le covid est surtout exploité politiquement, que l’occident oui se suicide (on l’aide, la Chine l’aide), etc.
Mais à ce jour, la covidémence virtuellement TOUS les pays. Occident, Asie, Amerique nord et sud (l’afrique ne compte pas, comme d’habitude, et encore les pays africains qui veulent “imiter” l’occident sont pris dans les filets, exemple Afrique du sud ou d’autres plus petits).
Mon hypothèse depuis le début : un grand basculement géopolitique dans un monde qui rapetisse (ressources sous tension) : Chine qui monte et qui doit mécaniquement accélérer la baisse des USA.
Une multitude d’objectifs secondaires viennent ensuite se greffer, comme on parle de maladies “opportunistes”.
Inutile de donner des exemples : les labos pharmaceutiques se font un fric fou, les sectaires écolos jouissent de l’arrêt du transport aérien, les dictateurs asiatiques ou autres voient leurs rêves les plus fous exaucés (confinement, couvre feu éternel), les cinglés constructivistes européistes pensent que leur heure est venue (UE camp de concentration), etc.
La liste est infinie.
Mais à ce stade, je reste ouvert d’esprit. On ne peut pas exclure un objectif, encore derrière, et plus sinistre : dépopulation “naturelle”. “Ah ben c’est le Covid, le méchant virus, tu perds ton boulot, et ensuite tu vas crever. Désolé”.
Guerre/attentat bactériologique qui… a foiré. Le Covid aurait dû tuer. Pas de bol. Ils préparent la version 2.
Action non pas d’un service, mais d’un gang de cinglés (théorie “Armée des 12 singes”).
Ou encore, préparation au “disclosure” : les Aliens existent et ils ne sont pas gentils, va falloir serrer les fesses.
Préparation à la “catastrophe climatique” : pas créée par l’homme (ça c’est la version conte pour enfants), mais cycles solaires par exemple… On va déguster. Nécessité de corseter la société.
Préparation à la fin des ressources. Idem.
Tout est possible.
Car rien ne fait sens. Quelque chose cloche et quelque de gros.
Je réfute, aujourd’hui 15 mois après, toute explication reposant sur la “bêtise humaine”, l’hallucination collective etc.
Ce sont des facteurs bien entendu aggravants, exploités par la covidémence, en aucun cas le “pourquoi”.
“Car rien ne fait sens. Quelque chose cloche et quelque de gros.”
Rien ne fait sens si l’on s’en tient au “graphique”, à savoir la future représentation économico-politique vendue par Davos et portée à notre connaissance par les médias…
Vous listez, à juste titre, un certain nombre d’effets d’aubaines (enrichissement de big pharma, etc…), mais intuitivement, vous “sentez” que l’objectif principal de cette psy-op covidienne est autre et je pense que vous avez raison.
Lorsque j’évoque une secte, vous l’avez compris, c’est plus conceptuellement qu’autre chose.
Une secte utilise la croyance, qui est le sentiment le plus partagé chez l’humain afin de controler ses adeptes par leur consentement à un projet commun.
Et pour obtenir ce consentement, il faut posséder une puissance de persuasion, des outils manipulatoires tels, que les adeptes ne puissent pas formaliser l’emprise psychologique.
Une fois ceci formalisé, on peut poser que l’ingénierie covid 19 sert aux mondialistes quant à imposer un sens et une direction nouveaux dans la croyance du troupeau.
Ca c’est peu ou prou le “comment”, reste le “pourquoi”.
Qu’est ce qui pose problème à une secte ?
D’abord, des comportements “déviants”, conséquences d’une altérité issue de l’extérieur, d’ou l’isolement volontaire des adeptes, un classique sectaire.
Ensuite, l’augmentation numérique de ses adeptes avec une taille critique telle qu’il devient quasi impossible de contrôler le cheptel, se pose ici non pas la remise en cause du dogme, mais de l’autorité de ses prêtres.
Enfin et c’est consubstantiel à la taille critique, des ressources insuffisantes quant à garantir la paix au sein de la secte, comprendre l’assurance des besoins primaires de ses adeptes est remise en cause avec comme conséquence, une révolte de la faim, des demandes pour plus de sécurité etc…
Si l’on se met à la place des maitres de la secte en mode survie, alors on cherche à éliminer les comportements déviants, donc soit on renforce l’isolement, soit on cherche à convertir l’altérité.
Mais si on cherche à convertir l’altérité, alors on augmente le nombre d’adeptes et on accentue le problème démographique.
Cette antinomie est donc résolue, partiellement, en éliminant les faibles (vieux, pathologies avérées ou silencieuses, ciblés par le virus).
Donc on renforce le contrôle et l’isolement, grâce à la technologie et on ne garde que les productifs, en demande de la becquée et on élimine les improductifs, ce qui permet de redescendre le cheptel à une taille plus compatible avec les ressources.
Maintenant que l’on devine le “comment” et le “pourquoi” reste à définir “qui” sont les maitres de la secte ?
Car les mondialistes, c’est aussi du graphique.
Leur projet dit “oligarchique”, ce n’est pas d’être toujours plus riche que leurs adeptes, ca n’a pas de sens sur la durée, mais bien de continuer à faire vivre la secte selon le dogme qui a fonctionné depuis des siècles.
Et là se pose la question de qui a intérêt à ce que l’humanité continue de survivre ?
Vous évoquez les Aliens, avec beaucoup d’humour, alors basculons dans la science fiction, début de la digression, donc.
Imaginez qu’il y a 50 millions d’années, une forme de vie a été obligée de quitter son écosystème et a exploré l’espace afin de trouver un biotope compatible à sa propre biologie.
Bingo ! c’est la terre alors débarassée des dinosaures…
cette intelligence ou vitalisme E.T (pas forcément incarnée) découvre que certaines altérités terrestre (mammifères) sont compatibles génétiquement avec elle, elle tente donc ce que ferait tout parasite colonisateur, elle cherche un hôte, son alter ego, et assure sa survie en se duplicant en lui.
Les premiers specimens sont les pères fondateurs de la future humanité et leur savoir ne sera transmis qu’à des individus aptes à sauvegarder la survie de l’espèce avant toute autre considération.
Cette règle restera immuable de générations en générations, si la population humaine augmente, c’est cet entrisme minoritaire qui dominera la majorité, par sa connaissance de ses origines et sa supériorité quant à contrôler les cerveaux de ses adeptes.
Fin de la digression.