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UK, nombre de morts du Covid : 23 % sont bidonnés

Je m’appelle Insee et j’approuve ce message.

Encore et toujours. Les fameuses “révisions” et autres admissions de bidonnage (surtout en Angleterre)… Qui arrivent des mois après la bataille.

Dernière en date, et explosive : près du quart des “covidécès” enregistrés au Royaume-Uni sont… bidonnés.

Faux.

Une paille !

Nearly a quarter of registered Covid deaths are NOT caused by the virus, new statistics show amid calls to speed up route out of lockdown

Nearly a quarter of people registered as Covid-19 deaths are not killed by the virus, new ONS figures show
Some 23 per cent of deaths are people who have died ‘with’ not ‘from’ the virus in new tranches of statistics (source DailyMail)

L’ONS c’est l’Insee anglaise…

Mais le plus drôle est que… ce nombre est lui-même bidonné !

Il est évident que les bilans sont encore “lestés” par des morts qui n’ont rien à voir avec le Covid, de près ou de loin.

L’ONS n’a pas pu faire une enquête et une autopsie sur les dizaines de milliers de morts labellisés “Covid” depuis mars 2020. Son travail demeure “statistique“.

On attend à présent la révision officielle de tous les bilans (sur les sites Internet, à la télé etc.).

Ce qui n’arrivera jamais, bien entendu.

4 replies on “UK, nombre de morts du Covid : 23 % sont bidonnés”

C’est la réaction que j’ai eue tout de suite : seulement 23% ? C’est à mourir de rire. Rien que l’examen des données de mortalité INSEE pour la France montre que c’est facilement 50% (et peut-être encore plus depuis cette année).

Serait-ce un contre-feu, pour éviter que des pourcentages plus importants encore ne soient révélés ?

Nos épidémiologistes de plateau tv semblent avoir oublié les techniques de leur spécialité. Par exemple qu’est ce qui empêche de faire des études comparatives (cas témoin). Parmi toutes les entrées en rea, il n’est pas difficile de constituer un ensemble de cas témoins ayant les mêmes caractéristiques (ages, comorbidités…) que ceux entrés en rea avec un test positif. Il suffit ensuite de comparer le taux de mortalité des deux ensembles. On peut faire la même chose pour les pensionnaires d’ehpad : faire une cohorte témoin de même caractéristiques que les positifs et voir s’il y a une grosse différence de taux de mortalité. Même si les données sont de piètre qualité et en partie bidonnées, on peut en faire quelque chose (y compris trouver des anomalies) si l’on s’en donne la peine. Mais le veut on ou le peut on sans risquer sa carrière ?

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