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Saloperie et sida mental

Le Lancet au service de la Chine

Une sale gueule. Le regard torve. Richard Horton, patron du Lancet, a politisé la science.

Le 21 octobre 2020, j’écrivais au sujet du patron du Lancet, la fameuse revue médicale :

Retenez bien ce visage, celui de Richard Horton. Cet homme est dangereux.

C’est confirmé.

Le type est un agent pro chinois.

Il bloque tous les articles qui critiquent la Chine, qu’ils soient relatifs au couillonavirus, à sa possible origine humaine (fuite labo Wuhan) ou même… dénonçant le traitement des Ouigurs (source) !

L’argument est toujours le même : il ne faut pas désespérer Pékin sinon ça pourrait rendre la vie du correspondant local… délicate.

Ben voyons.

C’est d’abord une affaire de pognon. La société qui édite le Lancet a en effet de gros intérêts financiers en Chine.

Et Richard Horton n’a pas attendu le couillonavirus pour faire l’éloge du modèle chinois.

La presse anglaise révèle le pot aux roses….

On rappellera que c’est le Lancet qui publia l’étude grotesque en mai 2020 qui affirmait que l’hydroxychloroquine était dangereuse et tuait de nombreux patients atteints du couillonavirus.

Article commandité, monté de toute pièce par une bande de pieds nicklés dont… une actrice porno (si, si), pseudo directrice commerciale de la société Surgisphere qui avait fourni (soit disant) les données.

Deux jours après la publication, la crapule Olivier Véran utilisa ce prétexte pour tuer l’HCQ en France (source Le Monde).

L’article fut rétracté peu de temps après…

Pire encore, dans sa philosophie politique, Horton a prouvé que ce n’était pas que pour l’argent : le type est un croyant.

Il croit et vénère le modèle chinois. D’où sa sortie hallucinante sur l’interprétation politique et sociale du couillonavirus : la pandémie vue comme “syndémie” (lire mon article).

Richard Horton est aux commandes du Lancet depuis… 1995.

7 replies on “Le Lancet au service de la Chine”

Hors sujet:
les taux de vaccination dans le monde commencent à ressembler de plus en plus aux taux de décimation des populations mondiales tels qu’envisagés par le “forecast 2025 du site Deagle (données encore accessibles sur des sites d’archives)”…coïncidence (troublante cela dit).
Pour mémoire prévision = USA (-66 à -75%), GB (-75%), France (-50%). La décimation prévue concernerait quasi exclusivement les pays occidentaux.
https://www.profession-gendarme.com/lorganisme-deagel-prevoit-la-depopulation-mondiale-massive-de-50-a-80-dici-2025/

Ce côté Pythie, oracle grec, m’a toujours dérangé. En outre, ce ne sont que des modèles… et on sait à quel point ces modèles sont foireux (voir le couillonavirus).

Comment voulez-vous modéliser des choses aussi complexes qu’une pandémie (une vraie), un effondrement économique ou plutôt des effondrements économiques (comment modéliser les différences entre Londres, Paris et la campagne russe ?), une guerre, voire même la chute de cailloux spatiaux.

Bref, c’est un exercice assez futile. Une distraction.

A propos de croyance et de syndémie sociale (on ne dit plus pandémie c’est bien ça ?), hier par curiosité j’ai feuilleté le magazine municipal de la bonne ville de Lyon (où je ne souhaite pas m’établir durablement). Vous savez ces beaux magazines de news que les métropoles font imprimer sur papier 80 g pour vous expliquer dans des articles ébouriffants à quel point le maire et son équipe font un travail fan-tas-tique? C’est bon vous voyez?
Bref, le dossier principal traitait de… santé, rapport à la pandémie bien sûr. Et le titre, je vous le donne en mille: “un monde, une seule santé… “. Ca vous rappelle quelque chose? Pour moi il ne manque plus que ” … un guide sanitaire” et c’est bon le programme est complet.
Un monde, une santé, une SS ! Heil Pfizer !

L’errance du Lancet est bien intéressante. 🙂

Il existe un enjeu civilisationnel car la science occidentale est fondée par la Grèce antique sur des principes immuables et importants. Tandis que la science Chinoise a connu une autre expérience scientifique basée sur des principes forts différents (les mandarins au service de la Vérité et de la gloire de l’empereur). Les deux visions sont en concurrence et irréconciliables.

Cela commence à faire pas mal de monde qui fait allégeance à Xi. On retourne au temps de McCarthy ?

Cette phrase résume tout : l’URSS a commis l’erreur de vouloir lutter contre, faire la guerre contre l’empire occidental.
La Chine… l’achète tout simplement.

C’est beaucoup plus efficace… et ça coûte au final bien moins cher !

Les réseaux chinois sont partout, à tous les échelons. C’est ahurissant. Et peu de gens sont choqués. Espions, agents d’influence, idiots utiles achetés… Industrie, science, médias… Pékin fait feu de tout bois. En silence. Dans le calme.

La covidémence est un symptôme… une opération qui n’aurait jamais été possible sans plusieurs décennies de décadence occidentale.

Une petite pichenette supplémentaire suffisait. Un virus.

Je l’ai souvent écrit : demain la covidémence s’arrête totalement.

Vous croyez que cela changerait quelque chose au problème de fond ? 😉

Le vrai virus, la véritable pandémie c’est… le sida mental qui ronge l’Occident depuis longtemps.

Je n’écarte pas le fait que la chute de Matt Hancock en GB est une opération destinée à affaiblir le camp covidiste et son narratif.

Fait 1 : lui et sa maîtresse… ça faisait longtemps. Ils fricottaient au ministère. Tout le monde était au courant.

Fait 2 : le type est une bille. Un neuneu avec son sourire béat et sa covidémence carabinée. Même Boris le prenait pour un con sans parler de Cummings (l’ex éminence grise de Boris, et l’homme-génie du Brexit).

Fait 3 : il a fait son temps.

Fait 4 : la vidéo vient à point nommé, avec la réouverture du UK.

Ergo : c’est un fusible. Un mouchoir sale que l’on jette après usage. Même logique pour Fauci… Et la même chose se produira en France. Olivier Véran est un véritable boulet. Les covidéments en chef le pousseront sous un bus dès qu’ils le jugeront nécessaire.
Et pour se réinventer et se perpétuer, il faut renouveller de temps en temps… les acteurs.

Pour moi, la chute de Matt n’est pas une atteinte au narratif covidémentiel. Mais sa nécessaire évolution. En préparation des prochains actes.

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