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Tests PCR

Tests PCR : plongée dans la fondue suisse

[Merci à une lectrice]

Le professeur Greub est chef du service de Microbiologie médicale à l’hôpital universitaire de Lausanne (CHUV). Il dirige un labo de diagnostic. Il en connaît un rayon au sujet des tests PCR.

Il répond avec une extraordinaire ingénuité à une interview (en octobre dernier). On sent l’hubris, la fascination du technicien devant ses belles machines.

Points forts :

-aucune norme quant au CT, ni en Suisse ni ailleurs

-ils utilisent 3 machines, avec des CT de 45 voire 50 (!!!!)

-il confirme qu’au-delà de 35 la charge virtale est très faible. Mais pour lui l’essentiel est ailleurs : c’est bien un test positif.

-il n’a pas peur des contradictions.

La contagiosité est probablement faible voire négligeable au-delà d’un Ct de 36, correspondant à environ 1000 copies/ml

Cependant, la contagiosité ne dépend pas que de la charge virale, mais également d’autres paramètres tel que la toux ou/et la présence d’un écoulement nasal.

Si la présence du virus est si faible avec des CT au-delà de 35… alors il n’y a pas d’infection active, donc le patient ne tousse pas, donc il n’est pas contagieux… 😉

Il répète à l’envie le mantra des prêtres PCR :

 le laboratoire ne rend qu’un résultat quantitatif et ne donne pas d’informations additionnelles sur la contagiosité potentielle

Tout est là.

Le quantitatif (“monsieur, vous avez 2 fragments de virus, nous les avons détectés, c’est quantitatif, donc vous êtes positif”) versus le Réel (le patient ne souffre pas d’infection active, il n’est pas malade, il ne tousse pas, et encore plus zut, il n’est pas mort du covid).

Voilà comment on produit scientifiquement des millions de “cas positifs“… mais qui sont faux dans le sens où les individus n’ont pas de virus actif en eux…

Ces “cas positifs” sont ensuite orchestrés par les médias et les autorités, dans le monde entier pour terroriser les populations… Le virus semblant partout, la terrible pandémie étant ainsi prouvée…

Et voilà comment des scientiques ultra formés, la tête bien faite, en arrivent à être les instruments neuneus de la plus grande psyop de tous les temps. Au final, leur technicité les rend cons comme des enclumes.

Ils sont aveuglés par la technique.

Je reformule : ce type n’est pas payé par les Chinois ou les autorités fédérales suisses pour chier du “cas positif”… il le fait tout seul, de son propre chef, car… il le peut, c’est la technique.

Et le fait qu’il n’y ait aucune norme, nulle part… ne lui pose aucun problème. Il ne comprend même pas l’énormité de la chose.

Car il ne regarde que son propre nombril.

Son laboratoire. Ses 3 machines.

2 replies on “Tests PCR : plongée dans la fondue suisse”

Le comportement de ce type est celui d’une dance chamanique pour continuer à faire pleuvoir sur son business une pluie de pognon. Vous l’avez montré, la covidemence est fractale, elle a plusieurs niveaux dans différents domaines : géopolitique, corruption, médiatique, etc. Ici, c’est la corruption indirecte d’un patron de labo, ailleurs c’est une infirmière qui racolle les passants dans la rue pour qu’ils aillent se faire vacciner (domaine de l’effondrement intellectuel, de l’esprit critique – j’obéis donc j’existe).

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