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Israël : “Pfizer est significativement moins efficace contre le variant indien”

“Eh merde, ça va encore me retomber dessus”

Enfin. Après des semaines de salamalecs, de données biaisées, de coupage de cheveux en 18… le pays phare, que dis-je, le Salon de l’Agriculture du produit Pfizer… avale la grosse couleuvre et vient à Canossa, comme un étron fraîchement démoulé devant un pape.

Déclaration du premier ministre Naftali Bennett (pas un obscur fonctionnaire du sous-département de la Santé, sous-sol, 8ème porte à gauche) :

‘Pfizer COVID vaccine significantly less effective against Delta variant’

“We do not know exactly to what degree the vaccine helps, but it is significantly less,” Bennett said. (source Jerusalem Post)

Toute traduction est superflue.

Une pensée émue pour le clown Olivier Variant qui continue de pérorer sur l'”efficacité ” des produits géniques, et qui continue de mentir (ce n’est pas nouveau avec lui).

C’est d’autant plus significatif qu’Israël est le pays qui a la plus longue et la plus massive expérience avec le produit de la firme américaine (campagne de vaccination nationale lancée mi-décembre en mode turbo grâce à un deal signé entre l’état et la société).

Mais comme d’habitude une fois la satisfaction passée de voir des covidéments se casser les dents contre le Réel… il s’agit d’une très mauvaise nouvelle.

Car cela sert objectivement la covidémence en permettant de :

  • relancer la terreur (le vaccin marche moins bien, zut, on va de nouveau tous mourir)
  • perpétuer ou réimposer de nombreuses restrictions (confinement, voyages, masques etc.)
  • promouvoir la fameuse 3ème dose, comprendre les “boosters”, “rappels” et autres “vaccins de 2ème génération”… Rappel : l’UE par exemple en a commandé 1,8 milliard de doses (!!!)… pour livraison en 2022 et même 2023. Et ces commandes ont été faites avant le début du cirque indien.

En clair : ce n’est pas un bug, mais une feature. C’était parfaitement prévu et annoncé.

Et seuls les gogos ont cru aux communiqués de presse du fabricant claironnant les fameux “95 % d’efficacité “.

On ne peut que constater -une fois de plus- que le plan se déroule sans coup férir…

Le spectacle commence non seulement à devenir long… mais hélas va continuer.

De nombreux mois encore.

9 replies on “Israël : “Pfizer est significativement moins efficace contre le variant indien””

En corollaire on a donc bien la confirmation que c’est l’ivermectine qui est efficace en Inde, et pas le vaccin efficace à 95% sur ceux qui ne risquent rien et à quasi 0 sur les cibles prioritaires…

Effectivement, à certains aspects c’est une mauvaise nouvelle, toutefois le réel ne peut pas être trafiqué éternellement, surtout aujourd’hui où l’information circule extrêmement vite. Se faire injecter un vaccin d’une efficacité douteuse tous les 6 mois contre un truc qui, finalement, ne semble plus si dangereux pourrait faire monter le doute, et renverser la vapeur. Les médias qui jouent généralement et jusqu’ici pour les états, donc souvent contre les populations, devraient ainsi gentiment infléchir leur discours. Faut bien garder un vernis de crédibilité quand même. Avec la petite déclaration de Pasteur sur l’ivermectine c’est d’ailleurs ce qu’il me semble avoir commencé. D’ici à ce que l’on arrive en Inde, chez ces «sous-développés», il y aura du temps car il ne faudrait pas se désavouer trop vite (cf le decodex du 15/07 du torchon libé), mais ça arrivera.
Le problème est que le fond occidental de l’affaire sera toujours présent : un mélange de la trouille de manquer d’énergie, de pétrole surtout – qui est pourtant loin d’avoir disparu – des populations en perte de grandeur et quelques immenses fortunes dont les propriétaires se détachent de l’humanité et veulent en être les nouveaux gouvernants. Liste non exhaustive.

L’argument de l’efficacité dans les chaussettes, face un virus bénin pour la grande majorité, donc c’est inutile, donc je refuserai la 3ème dose… ceci est un raisonnement rationnel. Or l’ostie couillonavirale ne l’est pas.

Mettez vous dans la tête des vaccinés. Biais de confirmation. Biais du joueur de casino. Ils se dépêcheront de “remettre au pot”.

Un nouveau variant, toujours effrayant puisque “potentiellement dangereux” selon la doxa, et surtout… les boucs émissaires des non vaccinés… Tous les ingrédients sont là pour une intensification de la covidémence.

Je tente de parler avec de nombreux covidéments en ce moment (je suis en France)… je suis sidéré par leur entêtement, leur violence, les arguments psychotiques qu’ils assènent. C’est comme parler avec des alcooliques, des toxicomanes.

Dans tous les cas, la pandémie se poursuivra et ce sera bien entendu la faute des “non vaccinés”… Car il y aura toujours des non vaccinés. La mise en abîme de l’opposition sera de plus en plus forte, opposition mise en scène littéralement, et exploitée par les gouvernements (car j’insiste toujours, ceci n’est absolument pas franco-français).

Boucle à rétroaction poussant les membres de la secte… à en prendre toujours plus, et à s’enfoncer dans leurs délires, sans oublier l’acceptation de mesures liberticides de plus en plus folles.

Rien de tout cela ne sent bon. Rien de tout cela n’est “penser printemps”.

Relire Paul Watzlawick, “Comment réussir à échouer – la recherche de l’ultrasolution”.

Le principe qui régit le chercheur d’ultrasolutions, c’est “plus de la même chose”.

Si ça n’a pas marché, c’est parce qu’on n’est pas allé assez loin, qu’on n’en pas assez fait.

Si le communisme n’a pas marché, c’est parce qu’on n’est pas allé assez loin dans la collectivisation, qu’on n’a pas assez lutté contre l’esprit bourgeois, contres les idées anciennes (les “vieilleries”, disaient les Gardes Rouges).

Si l’écologie n’arrête pas le réchauffement climatique, c’est parce qu’on n’a pas encore assez éliminé de moteurs thermiques, assez réduit la vitesses, etc. Il faut aller plus loin. Toujours plus loin

Si le covid continue de “tuer” des milliards des millions des milliers des centaines quelques personnes chaque jour, c’est parce qu’on n’a pas assez vacciné. Il faut aller à 100%, puis 200%, 300%, 10000%, 3e, 4e, 100e dose, autant que “nécessaire”.

Puis vient la recherche des boucs émissaires, des ennemis de la solution, qui font tout pour l’empêcher : contre-révolutionnaires, koulaks, intellectuels petit-bourgeois ; salauds qui roulent en SUV, en diesel, bref en voiture. Et non-vaccinés et antivax.

Car c’est le non-vacciné, ce pelé, ce galeux, qui va répandre la maladie – et cela quelque soit le cas de figure, malade ou pas. Pas besoin d’avoir fait des études pour comprendre ça. (et visiblement d’en avoir fait ne l’empêche pas non plus, vu que j’entends ça sur tous les plateaux télé)

A l’inverse l’adepte de la secte le vacciné, lui est la victime, il peut l’attraper – mais attention, uniquement par un non-vacciné – et pas le transmettre – qu’il soit malade ou pas, porteur ou pas.

Oui, on a quitté la rationalité. 60 ans de bourrage de crâne gauchiste, d’habituation aux raisonnements de sophistes de la théologie scolastique de gauche ont rendu cette catastrophe possible.

Byzance s’effondre (les Turcs, déjà), et l’on discute du sexe des anges.

Le ” fameux variant delta” …mon fils habite une petite île en Indonésie entre Bali et Lombok. Il m’a dit via whats que tout Bali Jakarta et meme Mataram ( principale ville de Lombok) sont en lockdown because variant. Et ça ne plaisante pas : contrôles de police soit vous êtes vaccinés soit un test pcr sinon c’est quarantaine directe dans un hôtel choisi par le gouvernement ( en général pas les moins chers…). Je croyais qu’ils allaient produire de l’ivermectine pour se soigner. Quelle naïve 😣

Les chiffres des labos sont tous bidonnés, en tout cas biaisés pour faire croire autre chose que ce qu’ils veulent vraiment dire au vulgum pecus.

Déjà, 99,99% des gens ne savent pas ce que signifie ces 95% “d’efficacité”, et comment ce chiffre est fabriqué.

Personnellement, je trouve la méthodologie curieuse et douteuse.

On s’attendrait qu’on fasse une expérience où l’on inoculerait le virus après vaccination à une population, et on regarde le nombre de personnes qui tombent malades, dans l’idéal comparé à une population non vaccinée à qui on ferait subir le même traitement

Problème : c’est “éthiquement”, en réalité psychologiquement impossible d’inoculer ainsi le virus. Alors on laisse faire la nature ou plutôt le hasard, ce qui décharge de la culpabilité, en “plongeant” les deux groupes dans une population globale où le virus circule et on attend que certains le choppent.
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Mais il y a un truc : car on fixe un terme temporel à l’étude, ce qui change tout. On organise une sorte de course, avec un nombre cible de contamination total. Le premier arrivé a gagné! euh , non, perdu.

En fait cela signifie que sur un échantillon sélectionné d’une population, avec moitié vaccinée et l’autre non, au bout d’un certain temps [quand on atteint le nombre de contaminés total cible, 170 par exemple pour Pfizer contre 196 pour Moderna] 95% (19/20) des contaminés sont des non-vaccinés, et 5% (1/20) des vaccinés. Autrement dit l’épidémie circule en apparence 20 fois moins vite chez les vaccinés

Remarquons incidemment qu’un taux “d’efficacité” de 50%, avec cette méthode de calcul, signifie en réalité… une protection nulle, égale à 0, puisqu’il ne fait pas mieux que rien, ou de l’eau sucrée! Il y a en effet autant de contaminés dans les deux “camps”!

[Après une double injection sur un intervalle de 6 semaines, “l’efficacité” de AstraZeneca est de 54,2%… Ça, c’est se moquer du monde!]
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Une telle procédure, un peu étrange, est très facile à “influencer” : le nombre cible est en effet arbitraire, et d’ailleurs il diffère d’un produit à l’autre, d’un fabricant à l’autre… et même éventuellement entre deux groupes d’études du même fabricant, cf AstraZeneca et ses résultats différents en GB et Italie (à vérifier, une autre raison est invoquée)

Surtout, elle est douteuse dans son interprétation, ce qui est sans doute l’effet recherché.

En effet, cela ne prouve nullement une protection absolue des individus, mais juste une protection relative, qui peut être due à un simple ralentissement de la propagation du fait que les individus attrapent moins facilement la maladie. Mais ils peuvent quand même tous l’attraper et tomber malades dans une situation défavorable.
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On peut en effet expliquer le résultat par un effet sur la vitesse de propagation, en augmentant le temps d’incubation par exemple, ou le temps d’exposition nécessaire, ou la quantité de virus nécessaire pour être contaminé, une élévation du seuil de résistance du système immunitaire au virus…bref on résiste un peu plus, et/ou plus longtemps, on élève la barrière de protection ce qui suffit à changer la vitesse de contamination entre les deux groupes. En fait ça va démarrer

Sur un temps plus long, on pourrait très bien voir les courbes de contamination des deux populations se rejoindre, avec un simple effet retard. On peut aussi avoir une protection réelle, avec une courbe plus basse, mais néanmoins plus faible au final qu’annoncée.

Différence qui peut être due non à une protection individuelle, mais à un effet collectif sur la propagation elle-même (la simple augmentation du seuil quantitatif peut diminuer le R°, les contaminateurs pouvant être contaminants sur une période plus courte, donc avec moins de contacts effectifs, etc.)
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Mais s’il s’agit bien d’un simple effet de seuil, alors Il suffit d’un variant plus virulent (qui pénètre et ou se reproduit un peu plus vite) pour qu’il franchisse la nouvelle barrière plus haute : un variant patagon, sondonésien, ou plus bizarre encore, un truc indien, δ….

Qui peut potentiellement être sélectionné darwiniennement par la vaccination (et voilà pourquoi on ne vaccine pas en période d’épidémie, quand le virus circule à donf et pullule en trilliards d’exemplaires).

Ce variant ira encore naturellement encore plus vite chez les non-vaccinés. On aura toujours une “protection” apparente au sens vu plus haut, mais complètement illusoire sur le moyen terme.

Le variant en question touchera aussi une plus grande part de la population (effet de seuil à l’envers : certains de ceux qui étaient naturellement épargnés par le variant α ne le sont plus), ce qui entretiendra l’illusion.

Néanmoins, on observera quasi certainement une diminution nette du taux d’efficacité, qui tombera à 80%, ou 66%…

Tiens, c’est un peu ce qu’on voit avec le variant indien (R° à 7,5 selon l’inénarrable Dr Delfraissy)

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