Il faut que rien ne change pour que… rien ne change, comme disait l’autre. 😉
Malgré la vaccination massive (Pfizer), la sortie piteuse de Netanyahu, la constitution laborieuse d’un gouvernement, l’adoption puis l’abandon du “badge vert” (l’étoile jaune 2.0)… rien n’y fait.
La covidémence est toujours aux commandes… et prépare la suite, c’est-à-dire le reconfinement…
Le nouveau directeur général de la Santé :
“Je pense qu’il se pourrait que nous arrivions au point où nous dirons que nous avons besoin d’un confinement”, a déclaré M. Ash à Channel 13 News.
“J’ai peur que nous y arrivions… dans quelques semaines, il est possible que nous y arrivions”, a-t-il confié. (source I24 News)
La veille c’était… le nouveau premier ministre qui battait le rappel… Preuve que nous sommes face à une campagne orchestrée… La préparation du cheptel à l’inévitable…
Réelle mesure ou carotte pour la vaccination ? Mercredi 14 juillet, Naftali Bennett, premier ministre israélien, a émis l’hypothèse d’un possible reconfinement face à une augmentation des cas, causée par le variant Delta du Covid-19. Selon lui, «le plus facile serait de faire ce qui a été fait au cours de l’année et demie passée, c’est-à-dire d’annoncer un confinement. Mais nous préférons une autre approche, peut-être qu’on va devoir en venir à ces moyens durs, mais pour nous c’est la dernière solution», a retranscrit i24NEWS, la chaîne d’information en continu internationale israélienne. (source Le Figaro)
La cause ? L’horrible variant indien. Le nombre de cas qui se met à regrimper…
Sans oublier… euh… l’efficacité largement surestimée du produit de Pfizer (selon le premier ministre).
Les éléments de langage sont identiques, partout. Le même chantage, les mêmes attaques contre les enfants (le rêve humide et ultime des covidéments : tous les vacciner).
“Le vaccin n’est pas suffisant pour lutter contre le variant Delta (… ) nous avons besoin de la coopération des citoyens pour vaincre le coronavirus sans devoir imposer un nouveau confinement”, avait-il ajouté.
Il a également appelé les jeunes âgés de 12 à 16 ans à se faire vacciner.