C’est samedi, c’est raviolis.
Petit moment de divertissement. Vous ne regarderez plus votre garagiste comme avant. 😉
C’est samedi, c’est raviolis.
Petit moment de divertissement. Vous ne regarderez plus votre garagiste comme avant. 😉
Même viré, l’ancien premier ministre israélien Benyamin Netanyahou assure le service après-vente de la covidémence.
L’ancien Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou a demandé au ministre de la Santé Nitzan Horowitz de commencer à injecter une troisième dose de vaccin contre le coronavirus aux Israéliens en août, alors que les cas continuent d’augmenter.
“Après m’être entretenu avec certains des meilleurs experts au monde, je pense que le troisième vaccin devrait être administré à la population de plus de 50 ans à partir d’août, afin d’avoir inoculé toutes ces personnes d’ici la fin septembre“, a déclaré Benyamin Netanyahou. (source I24 News)
A ce niveau, c’est du fanatisme. Le pays a massivement injecté sa population avec le produit de Pfizer… Mais ce n’est pas suffisant ! Jamais suffisant.
Le prix du retard… pourrait être mortel et coûter de nombreuses vies,” a-t-il ajouté.
En cause, comme toujours, le terrible variant indien…
Parmi les “3ème doseurs”, on trouve également la Grande-Bretagne, la Belgique, ou encore des pays du Golfe persique.
Et même la Thaïlande, alors que la vaccination est poussive, passe en mode perroquet et commence aussi à parler de la “troisième dose”.
Il s’agit d’un péché par omission, alors que paradoxalement c’est lui qui l’avait révélé.
Je veux parler de la clé de voûte de la covidémence : les faux tests PCR positifs.
Raoult fut le premier à dévoiler le pot aux roses.
Août 2020 : “20 % des personnes ayant un test PCR positif ” qui étaient envoyées à l’IHU de Marseille… étaient en réalité négatives (lire article ici) !
Début septembre, cette proportion passa à… 40 % !!!
Cela aurait dû être un coup de tonnerre…
Il fut ainsi le premier à parler du fameux “CT” (cycle threshold, nombre de cycle d’amplification), le réglage qui permet à un caillou, une table de chevet ou une chaussure d’être déclarés “Sars CoV2 positifs“… 😉
Au-delà de 35… ces tests ne veulent plus rien dire, car le virus n’est tout simplement pas là en quantité suffisante… la personne n’est pas malade, pas contagieuse, rien. Il s’agit bel et bien d’une fiction.
Août 2020, c’est également le moment ou le non moins fameux New York Times publia un article dénonçant la fiablité de ces tests et titré opportunément : Your Coronavirus Test Is Positive. Maybe It Shouldn’t Be.
Most tests set the limit at 40, a few at 37
Or depuis, Raoult n’est jamais revenu durant ses vidéos hebdos sur ce problème pourtant fondamental.
Car le Covid est d’abord et avant tout une pandémie de faux cas.
Ce sont ces centaines de milliers, ces millions de “cas asymptomatiques” (en bon français, des faux cas) rabâchés quotidiennement dans les médias et par les gouvernements, qui ont alimenté et continuent d’alimenter la covidémence.
Ce fut et c’est toujours le carburant principal de la psyop.
Quand on voit que l’Australie confine 10 millions de personnes... en trouvant “27 nouveaux cas” en une journée… on mesure l’enjeu stratégique.
Ce problème est bien entendu mondial.
J’avais par exemple repéré le laboratoire du département de la Santé dans l’état du Kansas aux Etats-Unis… qui annonçait fièrement un CT réglé à 42 !
Et il est d’ailleurs croustillant de constater que le 7 janvier 2021… Le même labo modifia discrètement le paramétrage… à 35…
Il n’y a aucune standardisation, aucune harmonisation, aucune volonté d’établir des règles précises. Les laboratoires font ce qu’il veulent, y compris dans un même pays, une même ville, et vont même jusqu’à modifier le CT au cours du temps.
La corruption est aussi passive que massive : ces gazillons de tests PCR effectués en permanence représentent un pognon de dingue (en France plusieurs milliards d’euros en 2020), captés par un petit nombre de sociétés financières (lire ici).
Pire encore, le CT n’est jamais communiqué aux testés. La Floride, état américain anti covidémence avait décidé de rendre la mention du CT obligatoire.
L’explication est évidente : ce flou technique bénéficie aux autorités qui peuvent ainsi gonfler la réalité de la menace couillonavirale.
Bref. Il s’agit du plus grand scandale de toute cette pseudo crise.
Didier Raoult aurait dû concentrer sa force de frappe sur ce sujet, et cogner comme un sourd.
Il en avait les moyens à l’IHU puisque cet établissement effectue de très nombreux tests et a vu passer de très nombreux patients et qu’il a forcément des informations provenant de terrain (quel est le CT utilisé par certains labos, chez les confrères, etc.).
Du 1er mars au 31/12/2020… 36 millions de tests ont été réalisés en France (33,7 millions de tests RT-PCR et 2,8 millions de tests antigéniques) (source FranceInter).
Montant total ?
2,7 milliards d’euros !!!
Pas de méprise. Je suis un grand admirateur de Raoult car il fut le premier en France, avec Perronne, à résister et à remettre en perspective la covidémence.
En outre, sa position unique, ses connaissances, les données acquises par l’IHU et bien entendu son style… tout cela renforce le poids de ses prises de parole, sa visibilité.
Ma critique est donc un simple aiguillon.
Une étude passionnante signée par des membres de l’IHU (dont Raoult) a été publiée dans Clinical Infectious Diseases, début juin 2021 (mais elle est datée sauf erreur de septembre 2020).
Ils ont tout simplement mis en culture les virus trouvés par des tests PCR positifs.
A la rédaction de l’article, l’IHU avait réalisé 250 560 tests pour 179 150 patients, dont seulement 13 160 furent “positifs” (7,3 %). (pour les données actuelles, cliquez ici)
3 790 de ces tests PCR positifs furent mis en culture. Les résultats sont ahurissants.
Avec un CT à 25, les prélèvements de 70 % des patients “positifs” le sont également en culture. En clair : le virus est là, actif, dans 70 % des cas.
Avec un CT à 30, cette proportion chute à 20 %.
Et avec un CT à 35… on tombe à moins de 3 %... !
Alors quand vous voyez par exemple le labo officiel de l’état du Kansas qui travaillait avec un CT de 42… l’arnaque est évidente. C’est un bidonnage délibéré.
On déclare des gens “positif” pour la présence d’un virus… qui en réalité n’existe tout simplement pas, du moins n’est pas capable de se reproduire… Il est inerte.
Au fait, plongeant dans mes archives j’ai retouvé cet article :
Une extraordinaire confession de l’Allemand… qui a participé à la création du test PCR pour le couillonavirus (janvier 2020).