Le docteur Maudrux a écrit sur son blog un petit bijou de pédagogie.
La première chose qui frappe depuis le début de la terrible pandémie est l’extrême méconnaissance… La vaste majorité des covidéments, enthousiastes ou/et influencés… ne cherche absolument pas à comprendre les mécanismes à l’oeuvre.
Faites ce test autour de vous : “bon Roger, assieds-toi, et explique moi la différence entre le vaccin BCG que ta fille a reçu et le produit de Pfizer que tu viens de prendre avec l’apéro ?”
Grand silence… parsemé au milieu des flatulences façon sphincters serrés de “euh”, “alors, “ouais”, okay je vois”, “donc c’est génétique tu vois”, “haute-technologie”, “désolé je dois y aller, j’ai piscine”.
Voici donc un copié-collé de ce vademecum raisonnable permettant en outre de désamorcer l’infâmante catégorisation de “antivax” (la version 2.0 de “fasciste”, “nazi”, voire même “populiste” au temps du Brexit et de Trump).
Injecter une protéine atténuée, c’est-à-dire un vaccin classique, on se défend en produisant des anticorps, OK.
Mais ici, on ne vous injecte pas la protéine, mais le mode d’emploi pour la fabriquer, vous la fabriquez, et après vous la rejetez avec vos anticorps.
Ce mode d’emploi, va rester gravé dans la mémoire de nos cellules, on peut continuer à en fabriquer ? Si un jour nos défense diminuent, on en refabrique trop ?
Et que devient ce mode d’emploi ?
Tant qu’à faire, je trouve qu’il est moins dangereux d’injecter directement la protéine, à petite doses, sans le mode d’emploi pour la fabriquer.
La pression psychologique et sociale est très intense. Et ne vous faites aucune illusion, elle va encore augmenter…
La solution est donc de pratiquer la taqîya de nos amis musulmans…
Du style :
Je suis 100 % pour les vaccins, y compris contre le Covid. Mais je préfère prendre un vaccin traditionnel, à virus atténué.
De quoi désamorcer, neutraliser (un peu) la violence exercée contre vous, au quotidien.