Soit Christine Lagarde. Ancienne avocate. Ancienne ministre de l’Economie (eh oui, le temps file !).
Puis, lorsque Dominique-nique Strauss-Kahn a été pris la bite à la main à New-York… pouf, mamie fut propulsée directrice du FMI !
Chapeau.
La bite ça paye bien.
Enfin, ça eut payé, comme disait Raynaud.
Et ensuite, l’apothéose de cette carrière robotique : présidente de la BCE, après le départ de l’ignoble et fourbe Mario Draghi (qui est retourné en Italie pour terroriser et torturer viralement ses compatriotes).
Bref, on peut difficilement faire plus “raccord” et petit doigt sur la couture que Christine.
Ce n’est pas son talent, voire sa seule inspiration qui ont été ainsi récompensés, mais plutôt son obéissance absolument parfaite.
Exemple : Christine est une grande épidémiologiste, doublée d’une virologue d’exception. Elle a un avis sur tout, et surtout sur les coronavirus.
Démonstration avec ce message :
Si, si. On appréciera le tag “KlausSchwab”…
Vous vous rendez compte ? Le virus va revenir ! Nous hanter !
Après Delfraissy et le virus diabolique, voici le virus… fantôme (remarquez… c’est pas loin de la vérité).
Mais on touche au sublime quand elle rappelle que les gouvernements neuneus de la planète ont dépensé 6 000 milliard de dollahs pour faire face soit disant au couillonavirus (ce qu’elle appelle le “fiscal support “, de quoi faire mouiller une consultante débutante chez McKinsey, ou un Quant asiatique fraîchement embauché chez Goldman Sachs).
Alors qu’un modeste pourcent de la même somme suffirait à vacciner la planète entière (les pauvres petits nafricains qui n’ont rien à bouffer, sans oublier les animaux domestiques, chats, chien, rats, belettes, pangolins, c’est important aussi).
Christine, elle aime les pauvres. Elle veut leur bien… Donc elle veut les covivacciner.
CQFD.
Bien sûr, il ne faut surtout pas demander au petit nafricain pauvre ce qu’il préfèrerait entre :
- un boulot
- une maison
- à bouffer
- une femme
- 2 doses du produit génique couillonavirant de Pfizer ou de Moderna
Non. Il est vraiment préférable de ne pas lui demander. C’est un gentil petit nafricain, il est tout noir, il est bébète, il ne sait pas.
Christine -elle- elle sait.
On pourrait ajouter que 1 % suffirait à ouvrir en Europe… des hôpitaux pour faire face aux vieillards qui viennent encombrer nos services de réanimation quand ils prennent froid en hiver (ah les salopards).
Bref, Christine est une poète. Aussi chiffrée que covidémente.
Un mec sur Twitter a répondu une chose très juste :
Christine, concentrez-vous sur votre boulot qui est de déprécier l’Euro.
Quant à moi j’ai aussi un truc à dire à Christine, mais moins gentil :
Ferme ta gueule.