Je signale un entretien très percutant donné par le professeur Christian Perronne.
Inutile de présenter ce grand covirésistant.
Il publia très tôt (juin 2020) un bouquin fameux : Y a-t-il une erreur qu’ils n’ont pas commise ? Covid-19 : l’union sacrée de l’incompétence et l’arrogance.
Un an et demi après, il a approfondi sa réflexion et n’hésite pas à plonger au fond du terrier du lapin d’Alice aux Pays des Merveilles.
Et il sort l’artillerie lourde.
Son cheminement on le partage. Car il est parfaitement rationnel.
Les “erreurs” furent si nombreuses, si systématiques, si absurdes, la mauvaise foi si continue… l’évidence alors s’impose au fil des mois, des trimestres : ce ne sont pas des “erreurs“.
Les “erreurs” pouvaient être compréhensibles au début ; peu de données, le souk, l’inconnu, la désorganisation, la panique.
Tout ceci est parfaitement acceptable car humain.
Mais deux ans après, il est nécessaire de réviser son jugement et de faire face à l’indicible.
Dans les premiers temps, je refusais d’admettre que tout cela puisse être prémédité, mais petit à petit, j’ai découvert, tout d’abord sans y croire, que le scénario était écrit depuis des années, qu’il s’applique jour après jour à la lettre et se déroule comme prévu ou presque. Je n’invente rien.
Plus fort encore au sujet de l’origine… artificielle du couillonavirus :
[…] une polémique s’est déclenchée sur le fait que le virus était fabriqué en laboratoire. Je pensais alors qu’il s’agissait de bêtises, je n’y croyais pas du tout. Mais aujourd’hui, plus un seul virologue digne de ce nom, y compris des prix Nobel et d’éminents scientifiques ne soutiennent une thèse contraire. Les journalistes eux-mêmes n’osent plus dire que le virus est naturel.
Le pangolin n’est plus qu’un vieux souvenir… qui fait rire les enfants. Mieux même que le panda.
Enfin la punchline :
le but de toute cette mise en scène est de prendre le contrôle mondial de la population.
Il passe en revue les tests PCR bidons, la diabolisation des traitements, les masques grotesques dans la rue, les pseudo vaccins, etc.
A lire absolument pour avoir une vision 360 °.
POST-SCRIPTUM
La chape de plomb sur l’origine du couillonavirus est sidérante. Le silence des Chinois, leurs manoeuvres mondiales, la piste des crapules américaines (Fauci etc.) qui vient s’ajouter… la censure de la part des Gafam, le Pangolin’s Folie, la partouze des Chauves-Souris…
Tout est ahurissant dans cette affaire..
Et cela dure depuis 2 ans.
Et on fait semblant de continuer à évacuer cette question pourtant essentielle :
- ce virus est-il naturel ?
- ou alors a t-il été fabriqué en laboratoire ?
Le tabou est total.
Pourquoi ?
On comprend pourquoi… Dans le premier cas, c’est la faute de Mère Nature, autrement dit… personne. Pas de bol. Case closed.
Dans la seconde hypothèse, alors le sol se dérobe sous nos pieds…
Qui ? Et surtout pourquoi ? Et comment ce virus conçu en labo s’est-il retrouvé dehors ?
Bref voilà pourquoi les sorties de Christian Perronne (et de bien d’autres scientifiques) sont primordiales.
Il ne faut pas lâcher les Chinois (ni les Américains) !
Le coup du “on oublie“, “on ne pourra jamais savoir“… n’est pas une option.
Il faut résoudre ce mystère car de lui découle tout le reste.
POST-SCRIPTUM BIS
Ce faisant, il faut conserver une idée très conspi dans un coin de l’esprit…
L’origine artificielle du virus qui deviendrait vérité après 2 ans de censure pourrait elle-même constituer une… psyop !
Car un virus conçu en laboratoire mais accidentellement fuité… cela exonèrerait -en partie- les Chinois et cela renforcerait la covidémence (un virus artificiel, optimisé pour infecter les humains… on va de nouveau tous mourir, voilà pourquoi les gouvernements insistent pour vacciner la planète entière, etc.).
Cela donnerait une sorte d’alibi à Pékin… qui aurait finalement dissimulé une attaque biologique (le virus délibérement lâché dans la nature)… à l’intérieur de l’hypothèse de la fuite accidentelle et de l’hypothèse d’un projet de vaccin.