Vous vous souvenez ? Le passe sanitaire devait officiellement “protéger“. Qui on ne sait pas vraiment et de quoi, non plus.
Ensuite, les uns et les autres ont avoué qu’il s’agissait simplement de mettre la pression sur le cheptel pour qu’il accepte le dosage.
C’est devenu incontestable avec sa nouvelle mouture, le fameux “passe vaccinal”.
A ce stade, plus personne ne tente de le nier : il s’agit d'”emmerder” les réticents, selon l’expression de l’ado psychotique de l’Elysée, de leur rendre la vie impossible afin de les contraindre à accepter l’hostie couillonavirale.
Nous sommes bien d’accord ?
Sauf qu’il y a un loup. Forcément.
Olivier Lavarié a une fois de plus lâché le morceau, devant des sénateurs, lundi 10 janvier.
Tous ces outils, passe sanitaire, vaccinal le jour où on n’en a plus besoin, le jour où nous ne serons plus sous la menace permanente d’un nouveau variant, nous nous en passerons avec beaucoup de plaisir.
Cette déclaration pose un gros problème… Car il aurait dû logiquement dire : le jour où tous les Français seront vaccinés… non ? 😉
En réalité, il a révélé la face caché de ces outils : durer.
En “permanence“, car… par définition… nous serons toujours à la merci de l’apparition d’un nouveau variant… !
Enfin, on peut admirer le culot de cet homme… Il ne cherche même plus à tenir un discours à peu près logique et cohérent… Car en quoi un passe vaccinal… pourrait-il protéger de l’apparition d’un futur variant ?
Olivier Véran sur le pass vaccinal: "Le jour où nous ne serons plus sous la menace d'un nouveau variant, nous nous en passerons" pic.twitter.com/zp6ubueTk7
— BFMTV (@BFMTV) January 10, 2022