En tant qu’ex-lecteur de Hara Kiri (il y a fort longtemps, dans une galaxie fort lointaine), j’avais envie de paraphraser la fameuse une :
Bal tragique à Pékin, un mort.
Pardon… la boulette : deux morts ! 😉
S’il fallait un titre de presse pour démontrer le foutage de gueule complet, total, obscène, brûlant de la terrible pandémie… le voici :
La Chine continentale a enregistré ses deux premiers morts du Covid-19 depuis plus d’un an, a annoncé samedi la Commission nationale de la Santé, au moment où le pays subit sa plus grande recrudescence de coronavirus depuis le début de la pandémie. (source Le Figaro)
Hein ?
Vous pouvez répéter la question ?
Et ce n’est pas tonton Chang Wu, médecin de campagne retraité à Zhouzhuang qui nous balance l’info, non, c’est la très officielle Commission nationale de santé.
Deux covimorts… dans un pays de 1 400 000 000 individus (comprendre pour les littéraires : 1,4 milliard)… en une année complète (comprendre : 365 jours et des brouettes).
Un pays qui compte des mégalopoles de millions d’habitants, serrés comme des sardines des vermicelles de riz. Un pays qui compte une chiée… de vieux de personnes très âgées et donc terriblement vulnérables aux attaques couillonavirales.
Alors que le couillonavirus, nous dit-on, a tué des gazillons de mecs dans le mooooooooooonder entier, et même au-delà, dans d’autres galaxies (si ! Marcel Castex les a vus ! Qui ? Les envahisseurs) !
Et chaque jour que Dieu fait !
Tiens pouf au hasard, rien que pour la France, le Figaro nous apprend :
Covid-19 : 108 morts en 24 heures, 97 579 nouveaux cas
En un jour…
Y’a pas à dire… le communisme version canard laqué, ça préserve.
Trois conclusions s’imposent donc à l’honnête homme, ayant son certificat d’études et équipé d’au moins 3 neurones interconnectés :
- la Chine se moque de nous
- nous nous moquons de nous-mêmes
- et le virus se moque de nous tous !