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Israël : la 4ème dose dure… 2 mois

Le Corniaud a pris sa 4ème dose… “Ca marche beaucoup moins bien”.

Vous connaissez la formule… quand ça veut pas, ça veut pas. 😉

Et manifestement, Pfizer transforme en merde tout ce qu’il touche (je reviendrai prochainement sur leur pilule… le Paxlovid…).

Figurez-vous que l’efficacité de la 4ème dose en Israël… est désormais évaluée… à 2 mois seulement.

Deux mois. 😉

Ou si vous préférez 60 jours.

Allez 61, ne chipotons pas.

Tu parles d’un “rappel vaccinal ” ou d’un “booster” !

Et n’oublions pas… Israël c’est… Pfizerland.

A population-wide study from Israel published in the New England Journal of Medicine has found that a fourth dose of the Pfizer Covid vaccine ceases to have any efficacy against infection within just eight weeks (source)

Il devient urgent de trouver autre chose. N’importe quoi.

La 36ème guerre mondiale, une invasion extraterrestre, la peste 3.0, le retour de Jésus… Car le bide est total et devient carrément burlesque en plus d’être tragique.

Comment le système covidémentiel va t-il négocier cette passe difficile ?

Une question brûlante.

Le silence de Pfizer en dit long.

Ils tenteront sans doute un coup marketing en septembre avec l’arrivée de l’automne et la version 2.0 “toutes souches” de leur produit.

Avec un peu de chance, beaucoup de malentendus et la mobilisation du système covidémentiel, ça pourrait marcher, sous l’angle “okay, la version 1 ne fonctionnait plus très bien, mais promis juré, la version 2 est enrichie aux enzymes très gloutons, vous serez to-ta-le-ment pro-té-gés” (comprendre, totalement morts 😉 )

On a demandé à Marsault de dessiner le vaccin de Pifzer… C’est assez bien vu comme d’habiterude. Comme quoi le talent ne s’injecte pas. Il se boit ou se fume.

9 replies on “Israël : la 4ème dose dure… 2 mois”

Je serai tenté de dire… comme chaque année.

Mais j’avoue ne pas avoir encore mené un comparatif entre 2022 et avant.
😉

Si vous regardez les archives sur Youtube, le défilé a toujours été “lourd”.

En tout cas, nous sommes bien d’accord… plutôt russe rouge-blanc-poutinien que taffiole-rose-macroniste.

Psychologiquement, je parviens à résoudre la difficulté en me rappelant que le grand Napoléon avait marché sur Moscou, et que la Cour impériale russe parlait français bien sûr.
😉

Bref, Poutine est une crapule formée au KGB ?

Oui mille fois oui.

Mais il porte encore ses couilles et surtout son cerveau…

Donc, oui, je vote Russie. Avec fierté même.

A côté, Bruxelles, l’Elysée, Matignon sont des repoussoirs absolus.

Fin de la parenthèse géopolitique. 😉

A mon humble avis, le so-called vaxin ne marche tout simplement pas. Son effet est juste nul. Enfin, contre le covid, parce que pour les effets secondaires, il marche du feu de Dieu.

Parce qu’un “vaxin” qui a une “efficacité” de… 2 mois sur une maladie qui tue 25 personnes sur 100000 atteintes, excusez-moi, mais à ce niveau ce n’est même pas mesurable statistiquement. Ça n’a juste aucun sens scientifique, médical, ou simplement commun.

[pour le calcul, j’ai pris les 5000 environs vrais morts du covid en GB, divisé par les 22 millions de contaminés recensés. Sachant que c’est probablement beaucoup plus de contaminés, au moins le double, peut-être 90% de la population]

Le mensonge est évident pour qui se donne 2 minutes pour réfléchir à tout ce qui s’est passé depuis 30 mois. C’est ahurissant que 10 à 20% seulement de gens se posent des questions et émettent des doutes devant les accumulations d’incohérences, d’invraisemblances, de contradictions, sans parler des manipulations grossières…

La dernière en date celle des “chercheurs” canadiens selon lesquels les méchants non-vaxinés mettraient en grave danger (lequel, d’ailleurs? de faire un rhume? allez, une grippette?) les pauvres vaxinés, apparemment rendus extrêmement vulnérables par le vaxin archi-protecteur (merci Orwell).

Falsification démontée à peine 2 jours après par de vrais chercheurs, qui ont noté l’absurdité mathématique et scientifique du paramètre ad hoc élaboré pour l’étude, tout juste bon à tromper les journalistes incultes et incompétents.

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La seule choses que tout cela démontre, c’est qu’on peut aujourd’hui, en y mettant la force de frappe du système de “l’information” journalistique, faire croire absolument n’importe quoi au plus grand nombre, les trucs les plus idiots.

On leur raconterait que pour être protégés du terrible virus, il faut se faire enc… par Emmanuel et Jean-Michel qu’il se précipiteraient pour se faire “inoculer”.

Marche aussi pour l’Ukraine. Suffit de voir le résultat de l’Eurovision.

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Aujourd’hui j’ai l’impression d’être un juif en 1944 dans un train en partance pour la Pologne. Un des rares à se douter de ce qu’il y aura vraiment au terme du voyage, au milieu d’une masse d’autres qui eux croient qu’on les emmène vraiment pour travailler, ou dans un pays réservé pour eux.

Je suis tout à fait en phase avec votre analogie du juif dans le train… c’est une idée que j’ai développée à plusieurs reprises.

Il suffit de remonter le temps.

1953 mort de Staline. Que pensaient les gens câblés face aux staliniens en pleurs qui leur assuraient que c’était un grand homme, bienfaiteur de l’humanité, que les massacres n’avaient jamais eu lieu, et que les procès de Moscou étaient des modèles de justice ?

Eté 1939 : Des juifs sont déjà partis car ils sentaient que ça clochait. D’autres, étaient persuadés que ça s’arrangerait. Quels étaient alors les sentiments des premiers face aux seconds ?

A chaque fois, c’est comme si nous avions des couples d’évidencesinversées. Totalement inversées.

La position des uns et des autres est irréconciliable, malgré raisonnements, preuves etc.

La Covidémence est bien entendu l’apothéose de ce phénomène.

J’ai des amis, d’une intelligence très fine, pas du tout les gros beaufs télé/popcorn propagande. Et qui pourtant ont totalement plongé. Me soutenant que le “vaccin” avait été testé comme JAMAIS des vaccins le furent… et qu’ils étaient totaement sûrs, et que c’était absolument nécessaire pour venir à bout de la terrible pandémie.

Alors que dès novembre 2021, et les autorisations, tout sonnait bidonné (les fameux “95 % d’efficacité”). Une lecture rapide des documents d’autorisations, même pour des non scientifiques, montraient qu’aucun tests n’avaient été faits sur cancers, lait maternel, effets mutagènes etc.

Doc de la FDA, page 17 !

Et on savait déjà que le passé de Pfizer avait de quoi faire rougir une bonne soeur dans son couvent etc.

Les données étaient accessibles, objectives, compréhensibles par tous, même des débiles légers.

Un enfant aurait pu faire l’inférence : ben oui les tests cancers ça prend des années, là on a fait des tests pendant 6 mois donc forcément ON NE SAIT PAS.

ON NE PEUT PAS SAVOIR.

Donc ON NE PEUT PAS AFFIRMER QUE CE PRODUIT EST PARFAITEMENT SUR.

Sans même parler de la très faible dangerosité de ce virus pour l’écrasante majorité de la population mondiale. Là encore, des données simples, et même observationnelles (jamais un enfant en bonne santé n’est “mort du covid”), démolissant au canon de marine la fameuse “balance risques/bénéfices”.

Et pourtant : le grand plongeon.

Nous laissant totalement désemparés.

C’est ce sentiment de perte et d’impuissance que l’on retrouve au fil de l’histoire, lors des grands événements, lors des grandes controverses.

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