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Cobayes Pfizer : la preuve par les “auto” anticorps

“Le temps, seul juge de paix”.

Ah ! Le grand Didier Raoult nous manque…

Le temps sera le juge de paix“, rappelait-il dès le début du cirque, en 2020.

En effet, il suffisait d’attendre…

Les études s’accumulent. Des scientifiques -des vrais- cherchent, font des tests, collectent des données, émettent les hypothèses les plus audacieuses, les confrontent aux données, etc.

Et les signaux d’alerte se multiplient

Voici la dernière bombinette qui pourrait nous péter au nez… enfin surtout au nez des “vaccinés”, ceux qui ont reçu des des thérapies géniques mal maîtrisées et surtout sans aucun recul…

Une équipe italienne s’est amusée à tester 108 personnels de santé (âge médian 46 ans, 83 femmes, 25 hommes) ayant reçu 3 doses de Pfizer.

-avant la 1ère dose
-3 mois après
-12 mois après

… les tests portaient sur la présence/quantité d’anticorps anti-nucléaires (ANA).

Les résultats sont intéressants.

24 % qui n’avaient pas d’ANA… devinrent positifs après l’injection Pfizer (5 à T0, 20 à T2) !

Et pire encore… le nombre de ces “auto” anticorps étaient plus élevé après 12 mois qu’au début (donc corrélé au nombre de doses reçues).

Lien : https://philipmcmillan.substack.com/p/mrna-vaccines-may-trigger-autoimmunity

Alors les ANA, kezako ?

“Les anticorps anti-nucléaires sont des auto-anticorps, c’est-à-dire des anticorps produits par le système immunitaire et dirigés contre une molécule de l’organisme, et non contre une substance étrangère.”

En clair : l’une des clés pour… des maladies auto-immunes.

ATTENTION, des individus en bonne santé ont des ANA. La preuve dans cet échantillon : 34 individus étaient positifs AVANT la première injection.

Il ne s’agit donc pas d’affirmer que les 24 % développeront des pathologies autoimmunes.

D’autre part, il n’y a pas d’échelles, de valeurs absolues en terme de quantité (ça varie selon les individus etc.).

Ce qui est intéressant ici, c’est l’avant/après.

Le produit de Pfizer serait donc capable de provoquer des désordres biologiques prolongés (12 mois dans le cas de cet échantillon).

Et 24 % ce n’est pas rien.

Si on élargit un peu la question… le mot-clé en réalité est inflammation.

Nous savions déjà -cliniquement parlant- que les produits ARNm de Pfizer et de Moderna pouvaient provoquer des inflammations immédiates (du muscle cardiaque par exemple).

Mais les zélotes pouvaient toujours dire que la péricardite de tel ou tel vacciné “couvait” avant l’injection, en clair que le produit n’était pas responsable.

Cette étude italienne ajoute une brique à l’édifice, avec cette fois des marqueurs sanguins avant/après, négatifs/positifs qu’il est difficile de nier.

Si on prend un peu de recul… et si réellement ce produit provoque des désordres chez 24 % des injectés… Sachant que des milliards de doses ont été administrées et sachant que ces désordres pourraient se développer sur plusieurs années (en plus des effets secondaires négatifs qui suivent directement les injections)….

… et même sur une fraction de ces 24 %…

… alors on prend conscience de l’énormité du crime qui a été commis à l’échelle planétaire

Des scientifiques l’ont déjà dit : au vu de telles données (même parcellaires), plus toutes les autres, des chiffres remontés dans les VAERS, des multiples témoignages (de victimes et de professionnels) et des zones d’ombre qui subsistent, etc… les programmes d’injections Pfizer/Moderna devraient être IMMEDIATEMENT SUSPENDUS.

Partout.

Mais nous savons -hélas- qu’il n’en sera rien. L’UE vient de commander quinze millions de doses du produit 2.0 de Moderna…

Et tout l’hémisphère nord (Europe + Amérique du Nord) se prépare pour une dose de rappel durant l’automne/hiver.

Ces nouvelles injections seront justifiées par la “nouvelle vague” couillonavirale qui est déjà annoncée par tous (encore récemment en France par le machin qui remplace le funeste Conseil Scientifique).

Et certains prennent même de l’avance… Ainsi le Québec va “offrir” la… cinquième dose dès la fin août (source) !

POST-SCRIPTUM

Espérons que les Italiens vont poursuivre cette étude (il faudrait tester les niveaux d’ANA après 12 mois, au long cours, et surtout pister l’apparition d’éventuelles pathologies, là encore sur le temps long).

Et il faudrait bien entendu élargir la population testée. A ce titre, on se pince : c’est Pfizer qui aurait dû faire tous ces tests sanguins “avant/après” durant ses fameux tests cliniques (qui furent bâclés, et même bidonnés).

Cette étude, sans oublier celle menée par les Thaïlandais (sur les adolescents)… même si elles sont étouffées dans les grands médias… vont pousser d’autres scientifiques à se lancer, à refaire les mêmes tests, ou de nouveaux.

Leur curiosité va être piquée -c’est le cas de le dire- au vif. D’autres le feront éventuellement par défiance (“non ce n’est pas possible“).

Peu importe.

Les données s’accumulent, et par effet boule de neige, elles seront de plus en plus nombreuses.

Voilà pourquoi, Raoult avait -encore une fois- raison.

Les données, il n’y a que cela qui compte.

Les données contre l’idéologie

POST-SCRIPTUM BIS

L’étude n’est pas encore publiée.

L’un des auteurs, Maria Cristina Sacchi, a présenté ses résultats préliminaires début juillet.

Vidéo ici : https://youtu.be/ZWsZtw17sME?t=160

Il y a eu des échos dans la presse italienne (lire ici ou ).

Enfin, signalons que Maria Cristina Sacchi et son équipe avaient étudié en 2021 la présence d’ANA chez des malades du Covid.

29 replies on “Cobayes Pfizer : la preuve par les “auto” anticorps”

… Et dans la continuation des données décrites ci-dessus (la forte proportion des séropositifs chez les covipoxés)… ça y est ça commence à faire “clic”.

Des scientifiques commencent à se dire qu’il faudrait peut-être, éventuellement (mais sans stigmatiser hein !) entamer un début d’étude sur les coinfections par ces 2 virus :
-VIH
-Covipox

… et voir leurs éventuelles interactions.

“More Data Needed on Monkeypox, HIV Co-Infection
— Experts say early signals suggest burden of infection in those living with HIV is high”

https://www.medpagetoday.com/special-reports/exclusives/100279

Bravo les gars !
😉

Ajoutons au sujet des données françaises que parmi les covipoxés qui sont séronégatifs… une large partie est sous traitement PrEP, en clair en prévention du VIH !

Pas besoin d’avoir fait médecine 1ère langue pendant 10 ans, pour constater qu’il y a un schmilblick entre HIV et covipox….

https://www.santepubliquefrance.fr/les-actualites/2022/cas-de-variole-du-singe-point-de-situation-au-16-aout-2022

Enfin ! Enfin un médecin français ose mettre popaul sur la table !

Pardon, mettre les pieds dans le plat.

Ce qui est drôle (non) au sujet du #MonkeyPox c’est qu’en fait je n’ai lu/entendu aucun conseil le plus basique qui soit: abstinence sexuelle de 3 semaines pour les groupes à risque identifiés

Ce qui serait évidemment bcp plus efficace qu’une vaccination à accès encore restreinte

https://twitter.com/barriere_dr/status/1560505537804079105

Il sera bien entendu dénoncé en ligne par la “presse”, villipendé par les “associations”, et sans doute aussi harcelé par le Conseil de l’ordre…

Car sa position est odieusement homophobe et transophobe même !

Et tout le monde sait qu’entre l’homophobie et le racisme, l’antisémitisme et l’islamophobie… il n’y a qu’un tout petit pas ! Que nous nous empresserons de franchir.

Où irait le monde si on ne pouvait plus casser 15 culs inconnus chaque samedi soir, complètement défoncé aux drogues synthèse ? Hum, je vous le demande ?

Pour le Covid on a martyrisé des gazillons d’hommes, de femmes et d’enfants pendant 2 ans… mais les LGBT++, qui sont supérieurs à la plèbe, ne rentrent pas dans le régime commun.

Les partouzes, le chemsex, les sodomies façon chevauchée fantastique, les défilés “pride”, les pronoms spéciaux, les vaccins spéciaux, les traitements médicamenteux spéciaux PrEP pour pouvoir baiser avec des séropositifs… tout cela relève des droits… de… euh… de l’homme bien entendu. 😉

Imprescriptibles et zuniversels.

On résume.

Pour le Covid : “2 ans pour applatir la courbe“.

Pour le Covipox : “2 semaines pour applatir l’érection et éviter de choper des boutons“.

Clairement, il y a asymétrie.

😉

Mais voyons Docteur les LGBT++ sont des personnes nécessaires et indispensables : ce sont les futurs explorateurs de l’Univers et les seuls qui feront encore confiance aux gens de santé.
Car c’est bien de cela qu’il s’agit : la volonté de faire perdre confiance à la multitude en la Médecine et ses serviteurs, dépopulation oblige.

Je ne veux pas me faire l’avocat du diable, mais l’échantillon est réduit, et on aurait aimé un groupé témoin non vacciné pour comparer l’évolution de la présence d’ANA au cours du temps.

Je suis non vacciné, et très méfiant vis à vis de ces produits, voire de la vaccination en générale vue l’obsession vaccinale générale (covid, HPV, méningite, monkeypox etc) que je trouve quand même très suspecte, mais je crains, qu’en plus du vaccin, le virus du covid soit lui même une saloperie (il contient lui aussi de la spike !), et que vacciné ou non vacciné, on est exposé à un nouveau virus qui détraque bien notre organisme, comme la maladie de Lyme.

Sans compter l’exposition généralisée à la pollution environnementale (composés per-fluorés, micro-plastiques, rayonnement électromagnétiques, stress….)
Voir https://www.ondes-expertise.com/antennes-relais/puissance-reelle-emission-5g/ pour se rendre compte de l’augmentation des puissances rayonnées pour la couverture cellulaire au fur et à mesure des générations.

Il me semble désormais vital de veiller au maximum à sa bonne santé pour résister à ces agressions permanentes.

Je l’ai écrit, oui.

Nous aimerions tous des groupes plus importants, des moyens, de la péchitude, des équipes multidisciplinaires mobilisées…

Mais il faut reconnaître que le mur de propagande et de pressions dressé par le Système est stupéfiant.

Et -c’est fou- mais il semble que la simple idée de faire des analyses de sang, avant/après, relève aujourd’hui d’une forme aiguë de complotisme scientifique et de terrorisme anti-vax ! 😉

On peut émettre des doutes quant à l’avenir professionnel de cette équipe italienne (même si, ironie, elle ne peut pas être accusée de parti-pris puisque ils ont commencé par étudier l’effet du Covid sur les ANA…).

Toutefois, on avance. Pas à pas.

Inévitablement, d’autres équipes vont s’en mêler.

Quant à votre point concernant la Spike. Oui manifestement elle est nocive, en elle-même. Donc AUSSI dans sa forme naturelle.

Mais vous êtes d’accord que cette nocivité est liée, forcément, à la quantité que vous vous prenez dans la gueule.

En clair : si votre organisme, costaud, en ordre de marche, parvient à démolir le virus (dès son entrée) pour éviter un emballement, alors :
-pas de symptômes
-ou des symptômes très légers

Et vous êtes d’accord que la forme artificielle pourrait démultiplier cette nocivité :
-via la production “auto” de Spike… combien, pendant combien de temps ? Personne n’en sait foutre rien, à commencer par Pfizer

-et aussi via la méthode d'”insertion” dans l’organisme (le virus naturel pénètre par exemple via le nez, là vos défenses peuvent le stopper, alors qu’avec la forme artificielle… les Spikes sont générées à l’intérieur, directement dans les cellules, et peuvent se balader dans le corps).

-et enfin, via d’éventuels effets non prévus, non repérés, en lien avec la technologie ARNm ainsi que ses composants (produits chimiques, nanoparticules machin truc, lipides etc.)

Bref… en raison de ces différents facteurs, le danger ne paraît pas symétrique.

Deux ans et demi après, on n’a toujours pas réellement pris conscience du fonctionnement (extravagant) de ces produits.
-je m’injecte un produit chimique
-qui va donner à mon corps l’ordre et le mode d’emploi pour fabriquer une protéïne (a priori toxique)
-afin que mon système immunitaire puisse “faire connaissance”

Mais… concrètement ? Physiquement ? Biologiquement ?

-quelles sont les cellules, leur nombre, qui vont produire cette protéïne ?
-on injecte dans le bras… Et ? a t-on vérifié où va le produit ?
-ensuite la production des Spike… dure pendant combien de temps ? Et en quelle quantité ? Et où dans le corps ?

PERSONNE N’EN SAIT RIEN, répétons-le.

Et c’est sans doute très variable (cela dépend aussi de facteurs individuels, mais également extérieurs, la manière d’injecter, la quantité de produit actif dans chaque injection, des méthodes et temps de conservation du produit avant injection, des différences de fabrication industrielle entre les lots, etc.).

Il est donc évident que cette technologie n’est ABSOLUMENT pas maîtrisée… ce qui pourrait expliquer que souvent ça se passe bien, et parfois ça se passe mal voire très mal.

On sait que ça marche, mais on ne connaît pas les effets long terme, et surtout on est incapable de QUANTIFIER à la molécule près ces phénomènes.

Répétons cette évidence (que les chimistes connaissent bien) : les effets de seuil, et de potentialisation !

-si votre corps fabrique X spike avec la 1ère injection : pas de soucis

-mais si il en fabrique X+1, alors, boum vous avez un effet négatif, et à X+2 l’effet est très négatif.

Sans compter les CONSIDERABLES différence individuelles et les interactions !

Un individu encaissera X sans broncher, un autre plus fragile sera totalement démoli avec la même quantité.

Ce sont des lapalissades… et pourtant on continue obstinément à vouloir voir :

Pfizer et Moderna comme la Statue du Commandeur (des sociétés qui fabriquent des produits parfaits et totalement identiques à la molécule près, d’un lot à l’autre… FAUX, totalement FAUX, c’est impossible)

-et la technologie ARNm comme un miracle (oui, mais un miracle qui n’est pas quantifié, ni maîtrisé, dans sa totalité…. VRAI).

Tous ces pseudos scientifiques et médecins qui célèbrent béatement ces produits sont… de simples enfants (et même des enfants simples) devant un nouveau jouet le jour de Noël.

Ca bouge !

Un quotidien anglais majeur (Telegraph) publie un article qui décoiffe… mais indirectement.

“Lockdown effects feared to be killing more people than Covid

Unexplained excess deaths outstrip those from virus as medics call figures ‘terrifying’”

Pour comprendre le problème : il y a depuis début 2022 (dans plusieurs pays) une surmortalité INEXPLIQUEE (en tout cas… NON LIEE AU COVID).

Et des médecins, en Grande-Bretagne, la qualifie même de “terrifiante” !

Figures for excess deaths from the Office for National Statistics (ONS) show that around 1,000 more people than usual are currently dying each week from conditions other than the virus.

The Telegraph understands that the Department of Health has ordered an investigation into the figures amid concern that the deaths are linked to delays to and deferment of treatment for conditions such as cancer, diabetes and heart disease.

Over the past two months, the number of excess deaths not from Covid dwarfs the number linked to the virus. It comes amid renewed calls for Covid measures such as compulsory face masks in the winter

But the figures suggest the country is facing a new silent health crisis linked to the pandemic response rather than to the virus itself.

Les autorités commencent à être emmerdées… Les données font tache.

Et il est impossible de dissimuler des morts (dans les décès toutes causes confondues).

Et ce qui est fascinant c’est que l’article… évoque les effets des “confinements“, avec par exemple des diagnostics et des traitements retardés… ! Mais à aucun moment ne parle… des effets nocifs des “vaccins” !

Bref : le Telegraph garde bien entendu ses oeillères… mais révèle que les données commencent à gêner les autorités.

C’est ça le point saillant.

https://dailysceptic.org/2022/08/19/lockdown-effects-may-be-killing-more-people-than-the-virus/

https://www.telegraph.co.uk/news/2022/08/18/lockdown-effects-feared-killing-people-covid/

Oui, pour beaucoup de gens, supposer un effet délétère de la vaccination constitue une sorte de blasphème. La réalité n’a plus beaucoup d’importance, c’est l’histoire que l’on raconte qui prévaut.

Et pour répondre à l’autre commentaire, effectivement, même si la spike est présente à l’état “naturel” sur le virus, il est très probable qu’étant donné les modes d’inoculations différents, et le fait que dans un cas, la molécule soit libre, dans l’autre cas, accrochée à un virus complet, les effets ne soient pas forcément identiques.

En tout cas, après avoir potentiellement chopé un covid (ou autre rhume) début juillet, qui s’éternisait un peu dans le temps (3-4 semaines), j’ai fait une petite cure de Juvamine – première fois de ma vie que je prenais un complément alimentaire -, et en quelques jours, éternuements et écoulement nasal ont stoppés nets, comme ça ne m’était jamais arrivé !

A propos de surmortalité, je signale les travaux de Denis Rancourt et Marine Baudin.

“Analyse et explications sur l’extraordinaire mortalité aux États-Unis depuis 2020”

https://odysee.com/@jeremiemercier:0/Analyse-et-explications-sur-l'extraordinaire-mortalit%C3%A9-aux-%C3%89tats-Unis-depuis-2020:f

Beaucoup de choses à dire. Je focalise sur un point.

A la 47ème minute, il y a un graphique surmortalité, et % de pauvreté, par état.

Il y a une corrélation très forte (et une proportionnalité).

En clair : oui le délires des confinements, l’arrêt de l’économie, le stress, les refus de soins, SANS OUBLIER les “vaccins” (ils en parlent aussi)… tout cela A TUE aux Etats-Unis.

Mais pas n’importe qui…

Les gens les plus fragiles, les plus vulnérables (au sens large, financier, mais aussi handicapés, santé endommagée, marginaux etc.).

Corrélation aussi avec le taux d’obésité (mais l’obésité est elle-même corrélée à la pauvreté) ainsi que le taux d’invalidité (souvent mentale d’ailleurs, pas que physique).

Et ce sont les mêmes personnes qui sont davantage sujettes… aux infections bactériennes type pneumonies… alors que pendant des mois la “science” a commandé l’arrêt des antibiotiques…

Enfin, il faut se souvenir… qu’il y a davantage en proportion de personnes vulnérables Outre-Atlantique qu’en Europe ou au Canada.

Ce qui expliquerait pourquoi la surmortalité (toutes causes confondues) est plus forte aux Etats-Unis.

Bref, par petites touches statistiques… un tableau horrifique se dévoile.

Autre point : la “science” a répété qu’il fallait absolument injecter les… personnes immunodéprimées en “prévention” face au terrible virus.

En réalité, ces chercheurs démontrent qu’on a tout inversé ! En injectant ces personnes fragiles “en priorité”… on en a poussé un certain nombre dans la tombe…

Bref, longue interview, mais passionnante.

La junte en Thaïlande ne lâche pas l’affaire…

The government plans to buy 2.9 million doses of Covid-19 vaccine from Pfizer for children aged from six months to four years. Meanwhile, approval for the use of Sinovac vaccine for young children is expected next month.

Achat de doses Pfizer “pédiatriques” (pour les bébés de 6 mois à 4 ans).

Et cerise sur le cake, autorisation probable du Sinovac pour les enfants de moins de 6 ans (il y a encore 3,3 millions de doses en stock, faut écouler !)

C’est du fanatisme… Alors que (comme dans de nombreux autres pays) ils pouvaient simplement lâcher l’affaire, discrètement (une spécialité dans le pays).

Tous ces vieux généraux en réalité sont terrifiés par… les enfants (grosses pressions encore sur les écoles, via mesures “sanitaires” délirantes).

L’idée commune ici c’est que les enfants transmettent le virus… aux personnes âgées.

Je rappelle pour appuyer le contexte : des millions d’enfants ont été privés d’école.. PENDANT DEUX ANS (il y avait à la place des pseudos “cours en ligne”… dans les campagnes et dans les familles pauvres on pouffe).

https://www.bangkokpost.com/thailand/general/2372446/covid-vaccine-plan-for-the-very-young

Comme prévu, les clébards européens de l’EMA (le régulateur) suivent la FDA dans la clownerie.

Donc le vaccin antivariolique Imvanex que l’on injecte à des gays ayant peur de mourir de boutons sur la bite… vaccin jamais testé contre la “variole du singe”… eh bien nous allons désormais diviser les doses en… 5.
😉

Au lieu de recevoir 2 fois 1 dose… les homos paniqués recevront donc 1 fois 0,2 dose (ou 2 fois ?).

Là il sera temps de réellement paniquer ! 😉

Bref, il est évident que les autorités françaises (confrontées comme tous les pays à la “pénurie” de ce produit miracle jamais testé)… vont suivre, une fois de plus en bons toutous.

Le Covipox, c’est une farce quotidienne.

https://www.ema.europa.eu/en/news/emas-emergency-task-force-advises-intradermal-use-imvanex-jynneos-against-monkeypox

Les lobbies LGBT++ vont-ils protester ? La panique va t-elle gagner le Marais ? Act UP prépare t-elle des manifs ? Des “happenings” ? Va t-on se suicider de terreur rue des Archives (Paris 4ème, pour les incultes) ?

Ne ratez pas la suite de Santa Vaccinemoi, à la rentrée en septembre.

Ca me fait penser à l’hostie à la messe : quand le curé montre une grande hostie et puis en fait des morceaux. Ensuite il prend un morceau pour lui, distribue les autres et puis enfin distribue les petites hosties standards, achetées dans un sac en plastique … Vous parliez d’hostie couillonavirale : nous y voilà. C’est l’acte de foi qui compte, n’est-ce pas ?

Pour la rentrée, une agence interim en Wallonie recrute déjà pour les centres de vaccination 😉

Le NC Department of Health and Human Services américain… y va de son petit slogan à la con.

“LEARN the facts
LOOK for a rash
LOCATE testing or vaccine near you”

“LEARN LOOK LOCATE”

On dirait le “DUCK AND COVER” durant les années 50 et la psychose de l’apocalypse nucléaire…

Ces agences publiques dépensent une énergie folle (et de gros moyens) pour façonner ces slogans, pour forger la propagande.

Il serait tellement plus simple et efficace de dire :

“Arrêtez de vous enculer pendant 3 semaines afin d’aplatir la courbe”.

https://www.ncdhhs.gov/media/17606/download?attachment

Il faudrait ANALyser ce qui se passe quand on vaxxine un patient selon le titre en ANA.
Mais il ne faut pas trop leur en demander, on est dans la science de bidet 😉
Quand c’est settled, c’est settled 🙁

Allez, changeons de sujet.

Un peu de baisse de natalité, histoire de se remonter le moral. 😉

Je signale une formidable étude statistique menée en Suisse (par cantons).

Baisse prononcée de la natalité depuis janvier 2022 (données jusqu’à mai).

Corrélation très forte avec le taux de vaccination (1ère injection, 9 mois avant).

Et proportionnalité : plus le taux de vaccination est haut (dans le canton), plus la baisse de natalité est forte.

https://odysee.com/@vcuendet:1/Recul-des-naissances-Suisse:a

Rappel : cette baisse tout à fait “inexplicable” (la 5G ? le réchauffement climatique ? Le méchant Poutine ?) se produit dans plusieurs pays européens.

non la vraie raison évoquée est le stress provoqué par le covid. c’est vrai que leur histoire ça fait pas bander 🙂

Le stress ? Pourquoi pas.

Mais la Suède qui n’a pas subi les délires covidémentiels en 2020 et 2021… enregistre AUSSI une chute des naissances, sur la même période…

Une chute qualifiée de : “surprisingly sharp drop in the statistics“.

https://ummid.com/news/2022/august/08.08.2022/sweden-birth-rate-hits-lowest-in-two-decades.html

Là aussi, le juge de paix sera le temps… Dans quelques mois, début 2023, on saura si cette tendance funeste se poursuit, ou si on revient dans les clous statistiques…

Car enfin en 2022, le niveau de “stress” covidesque est largement redescendu… Donc les couples devraient -en théorie- se remettre au “travail”…

Le vaccin, oui. En même temps, tout couple un peu éveillé sur ce qui se passe doit réfléchir à deux fois avant de faire un bébé en ce moment.

Après le Telegraph, le reste de la presse anglaise embraye sur les “anomalies” de surmortalité…

Exemple : DailyMail.

Effects of lockdown could be causing more deaths than Covid: Fears rise over silent health crisis as ONS records nearly 10,000 more deaths than the five-year average – none of which are linked to the virus – in the last two months

https://www.dailymail.co.uk/news/article-11125573/Effects-lockdown-causing-deaths-Covid.html

Dans le détail :

Office for National Statistics found over 1,000 more people are dying than usual

This makes the rate for excess deaths 14.4 per cent higher than five-year average

Voilà. Ce sont des chiffres officiels (et on ne peut pas “tricher” avec les décès toutes causes confondues, pas comme les “morts du Covid”, bidonnés jusqu’au dernier degrés).

Ce qui est fascinant c’est l’explication automatiquement donnée : les confinements !

Bien sûr, ils ont été néfastes et ont tué (diagnostics retardés, traitements médicaux retardés, les gens avaient peur d’aller à l’hôpital etc.).

Mais la surmortalité, significative, c’est maintenant.

Et aucun grand média n’ose bien sûr faire un lien avec… les “vaccins”.

On n’en sortira jamais, en effet. Les “morts DU Covid” continueront à être bidonnés, comme ils le sont depuis le début.

Ce qui permet de créer de toute pièce des titres accrocheurs dans les médias, afin d’entretenir la terreur (“15 000 morts par semaiiiiiiiiiiine !”).

Ce bidonnage SYSTEMATIQUE, ONTOLOGIQUE, ORGANISE est l’élément fondateur de la covidémence.

On rappelle l’évidence : papy 80 ans, diabétique, cancéreux et à moitié alzheimérisé ne meurt pas “du” Covid… Au mieux il a un test “positif”.

Mais il fut, est, et continuera à être systématiquement classé en “mort DU Covid”, de Londres, à Washington, en passant par Pékin (ah non pardon, la Chine c’est différent), Bangkok, Madrid, Buenos Aires, Jouy-en-Josas ou Jarnac.

Le 2ème étant le “nombre de cas” (carrément de la science fiction avec des gazillons de fameux “cas asymptomatiques”).

Bref, 2 ans et demi après… en gros… rien n’a changé.

Et comme il est évident que le nombre de décès (toutes causes) augmentera… cet hiver… Alors ils pourront refaire une nouvelle série de titres accrocheurs dans les médias… Et on repartira pour un tour.

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