France, T1 : la chute des naissances est confirmée

Aïe. Ca pique.

Je vous renvoie à mon article : https://covidemence.com/2023/04/18/baisse-de-la-natalite-la-deuxieme-lame-du-rasoir/

Le total des naissances en France sur janvier et février 2023 affichait une très mauvaise tendance : -6,6 % par rapport à la même période 2022.

L’Insee vient de publier les données pour mars 2023… Et la chute se confirme : -6,3 % (sur le 1er trimestre donc par rapport au T1 2022).

Je notais également les disparités entre les régions (un élément sans doute clé, à remettre dans le contexte de l’invasion migratoire, pour toute analyse relative à la natalité…).

Elles sont toujours là.

La Normandie et la Nouvelle-Aquitaine sont toujours à presque – 10 %. Les Pays de la Loire à -8 %.

L’Ile-de-France (la première maternité du pays) parvient à mieux résister (-3 %)… effet évident de l’invasion migratoire (eh oui les femmes étrangères, Afrique nord et Afrique sub-saharienne, qui débarquent et accouchent en Ile-de-France… n’ont pas reçu leurs “doses” réglementaires… Pas de bol. Enfin, je veux dire elles ont de la chance, elles !) 😉

Guyanne et Guadeloupe font quasi du surplace.

L’Insee par ailleurs continue sa petite propagande… Ainsi, elle compare les naissances 2023… à celles de 2020 !

Lien : https://www.insee.fr/fr/statistiques/7613652?sommaire=5348638#tableau-figure2

Pourquoi 2020 ? Car cela permet de montrer que la baisse est continue sans oublier le message subliminal “c’est à cause du Covid“… voire bien sûr “la pandémie rode toujours“…

Sauf que non, il faut prendre comme point de référence 2022… afin de pouvoir juger du début 2023.

Si on compare les naissances de 2022 avec l’année 1992 par exemple, alors c’est une lapalissade, la baisse en pourcentage sera très importante !

Ce genre de manipulation est systématique avec l’Insee.

On se souvient du formidable coup de Jarnac en 2020 : ces crapules comparaient les décès 2020 sur plusieurs années… MAIS EN COMMENCANT AU 1ER MARS !

Eh oui, en régime sino-covidémentiel, les années débutent toujours le 1er mars.

Ce qui permettait opportunément de DISSIMULER le pic de mortalité hivernal (classique !) en janvier et février… surtout en 2019 et 2018 (forte grippe, alors qu’elle fut faible en janvier et février… 2020).

Et donc mécaniquement, cela rehaussait -en trompe l’oeil- la mortalité à partir de mars 2020 (et sur les mois suivants).

Eh oui, c’était le début du couillonavirus, de la pseudo “terrible pandémie”.

Alors il fallait terroriser la population, pardon le troupeau.

Les petits fonctionnaires de l’Insee reçurent leur feuille de route. Et ils se donnèrent beaucoup de mal pour obliger leurs maîtres…

Ne retenez qu’une règle : seuls les tableaux (données brutes) de l’Insee ont… de la valeur.

Tous les éditoriaux, les articles, les synthèses et les graphiques que l’Insee produits en plus sur son site (à partir des données brutes) sont souvent affublés de biais grossiers, pour servir des objectifs idéologiques.

Revenons au débat :

-oui la natalité baisse depuis de nombreuses années.. C’est une tendance de fond et dans de nombreux pays. Personne ne le niera.

-en revanche, il est anormal d’avoir du -6 % (et jusqu’à -10 % dans certaines régions) d’UNE ANNEE SUR L’AUTRE !

-la conclusion s’impose (car elle est validée dans de nombreux autres pays occidentaux) : quelque chose a changé… Brutalement.

-s’il ne s’agissait que de la France… On pourrait penser à un phénomène exceptionnel. Imprévisible. Une sorte de  cygne noir des ventres… Pourquoi pas ?

Mais ce phénomène est totalement différent… car de NOMBREUX PAYS… occidentaux… sont affectés (avec des chutes parfois plus fortes, et ayant commencé plus tôt en 2022).

-Mais alors ? Qu’est-ce qui a changé ? Pas besoin d’avoir fait Médecine option Couture ou Brevet des collèges Statistiques option Sports pour comprendre que les campagnes hystériques de “vaccination” avec des produits ARNm aberrants et non maîtrisés à partir de 2021 sont responsables.

Et ce ne sont pas les nombreuses femmes ayant souffert de troubles menstruels majeurs suite aux injections qui nous contrediront… (lisez “on n’a jamais vu ça, des femmes qui saignent pendant des mois sans polype ni cancer” !!!).

Vous savez les menstruations ? Ce machin rouge vaguement lié à la fertilité, tout ça…

Vous vous souvenez de vos cours de biologie au lycée, n’est-ce pas ?

Alors certes… on pourra toujours miser sur un babyboom les prochains trimestres en mode “couilles rabattues et croupes tendues, olé !“.

Ou sur un formidable “apport migratoire”, avec des bataillons de femmes africaines qui viennent jusque dans nos bras, épouser nos fils et repeupler nos campagnes… (Oups ! Je m’emballe là ! Pardon c’est l’émotion). 😉

Ou continuer d’invoquer, tel un totem ou un Moloch voire une… lanterne chinoise, le… “Covid Long” (rappel de l’adage : plus c’est long, plus c’est bon !)

Ou encore le climat. Voire la violence du Méchant Poutine (marque déposée). Le racisme. Le chômage et son cortège de misères. Le prix de l’essence. La dette publique. La sale gueule de madame Borne, ou encore le suprémacisme blanc (qui empêche les Noirs de faire des enfants, comme chacun le sait).

On pourra même accuser… l’obsession transgenre ! 😉

Quelle ironie.

Après tout, un homme moustachu qui s’identifie comme un grille-pain, un lave-linge ou bien femme… ne pourra JAMAIS porter un enfant et le mettre au monde.

JAMAIS.

Oui je sais, le Réel est cruel.