Alors que les élections présidentielles aux Etats-Unis se tiendront dans 10 mois à peine… un silence de mort règne.
Personne n’ose envisager l’élection de Donald Trump.
Et pourtant… Il vient d’entamer avec brio le cycle des primaires (Iowa et New Hampshire)… Les médias sont tétanisés face au tabou.
Séance médiuminique et colifichets magiques, attachez vos bretelles. Voici pourquoi la victoire de Donald Trump semble assurée. Et par la même… son élimination physique.
INVASION MIGRATOIRE
La frontière au sud était déjà un enjeu en 2016… On se souvient du fameux slogan de Trump : “Build the wall !“.
Mais c’était une préoccupation des seuls militants et sympathisants républicains. Purs et durs.
Huit ans plus tard, tout a changé.
-des millions de crevards débarquent clandestinement. Pas uniquement d’Amérique Latine. Mais d’Afrique, du Moyen-Orient. Des pays shithole. Un festival.
-les Démocrates ont littéralement démantelé la frontière. Après des années de mensonges et de déni… ça se voit désormais, ça se sait (la lutte judiciaire entamée entre le Texas et Washington le prouve).
-certains gouverneurs des états du sud ont mis en place une astucieuse campagne consistant… à envoyer (par bus) des migrants clandestins dans les villes gauchistes autodéclarées “sanctuaires“.
New York, Chicago, Los Angeles par exemple, qui se drapaient dans leur vertu.
-les habitants -dans ces bastions Démocrates- ont ainsi pu goûter aux joies de l’enrichissement migratoire… Et à ses coûts afférents très élevés…
Et ça ne se passe pas bien (on voit des citoyens en colère lors de réunions publiques, à Chicago par exemple, ville noire à 30 %. Et les sondages confirment le ras le bol…).
-l’idée selon laquelle “moi je paye et tout est gratuit pour eux” se répand dans les couches populaires. C’est un véritable acide politique pour Biden et sa clique.
ECONOMIE
Que les choses soient claires. Pour Wall Street, la situation n’a jamais été plus brillante. Les indices boursiers enchaînent les records. Les happy few bénéficient d’un tsunami de pognon.
Mais pour l’écrasante majorité des Américains, la situation est radicalement différente avec l’inflation (ils sont très sensible au prix de l’essence, ou de l’électricité), les difficultés de logement (ce problème devient vertigineux sans même parler des centaines de milliers de sans-abris) et les dettes qui s’empilent…
E.Todd a raison de souligner que les statistiques du PIB n’ont plus aucun rapport avec le Réel (idem pour le chômage, l’inflation etc.).
Selon l’adage, les Américains votent avec leur porte-monnaie. En novembre, ce sera une fois de plus vrai. Contre les Démocrates.
FATIGUE GUERRIERE
Cela fait plus de 20 ans que ça dure (Irak, Afghanistan, Syrie, etc.)…
Ajoutons l’humiliation du retrait d’Afghanistan… puis le délire absolu de l’Ukraine, puis le cirque à Gaza, au Moyen-Orient (Mer Rouge)…
La guerre “ne paye plus” dans l’opinion publique américaine.
Même les crétins au QI dans les chaussettes voient bien que Washington dépense des CENTAINES DE MILLIARDS de dollars… à l’étranger, dans des conflits absurdes, des guerres éternelles… aux antipodes des préoccupations quotidiennes des Américains.
Il y a une fatigue évidente au sein des couches populaires (l’élite -elle- étant hystériquement belliqueuse).
SYNTHESE
Les Démocrates font face à nombreux vents contraires.
Le décalage est aujourd’hui considérable entre l’appareil d’état avec les privilégiés de sa cour et la population.
Cela renforce la position de Trump pour une victoire en novembre.
LES CONTREMESURES
Qu’est-ce qui pourrait sauver l’état profond US ?
Une nouvelle pandémie mise en scène par la Chine ? Une catastrophe naturelle inouïe (tremblement de terre en Californie) ?
Le jeu des probabilités indique que c’est bien l’élimination physique de Trump qui est en tête.
Un quatrième scénario pourrait relancer les chances des Démocrates face à “Orange Man Bad” : la nomination de Michelle Obama.
Femme et noire. Le combo dans l’air du temps (du moins celui des wokes).
Avec un tsunami médiatique ad hoc (son mari était présenté comme le “The Black Jesus“, c’est tout juste s’il ne marchait pas sur l’eau)… elle pourrait éventuellement telle une Madone noire cristaliser un enthousiasme populaire à gauche, au centre et chez les indépendants.
Elle ferait une campagne très courte, avec des grands mots, des vagues promesses, contre le méchant candidat républicain fasciste, raciste, violeur, trop blanc…
Une campagne vide, mais Trump s’y casserait les dents (puisque telle la Madone, elle est vierge de toute action politique… et donc inattaquable).
Seule Michelle Obama parviendrait à escamoter (par la magie de son sexe et la couleur de sa peau) ses liens avec l’administration sortante. Autre atout : sa relative jeunesse (60 ans versus les 77 de Trump).
Seule Michelle Obama remplit toutes les cases de la pathologie mentale des élites américaines qui ne s’aiment pas.
Quoi d’autre ? Un conflit militaire élargi avec des pertes américaines importantes ?
Sur le papier, cela servirait les Démocrates (réflexe légitimiste)… En réalité, Trump avec son extraordinaire talent… chevaucherait rapidement la carte de la paix (comme pour le conflit en Ukraine qu’il pourrait régler en 24 heures, affirme t-il).
Devant le choc et l’horreur, Trump -figure paternelle- parviendrait sans difficulté à rassurer et à fédérer.
Quoi d’autre ? Un attentat géant à la mode 9/11 ? Là encore, l’émotion jouerait en faveur de Trump… qui cette fois jurerait de traquer et de châtier les coupables (un rôle une fois de plus à sa mesure).
LA FIN JUSTIFIE LES MOYENS
(je renvoie à mon précédent article, à ce sujet…)
Vous devez vous remémorer le premier mandat de Trump puis les 4 années qui suivirent…
Tout l’appareil d’état mobilisé contre lui, avec en plus les médias et Big Tech, en permanence…
Huit ans ! 24h sur 24.
Une guerre insensée. D’une intensité jamais vue.
Ils ont tout imaginé contre lui.
Ils ont tout essayé, sous tous les angles.
Même encore aujourd’hui.
RIEN N’A FONCTIONNE (si l’on met de côté l’opération lancée par le PCC en 2020 avec la fausse pandémie, et relayée par les élites occidentales -pour diverses raisons, dont celle bien entendu d’éliminer électoralement Trump).
(Le 8 février, la Cour Suprême stoppera net le délire de l’état du Colarado qui prétend exclure Trump de l’élection en décrétant simplement qu’il est… coupable d’insurrection, alors qu’aucune cour de justice ne l’a condamné).
Cette folie furieuse est fondamentale… car elle renforce mécaniquement la probabilité de l’élimination physique de Donald Trump.
Mieux : elle lui donne corps… avant d’en faire un cadavre.
On connaît bien entendu le précédent historique de J-F Kennedy… mais aussi son frère, Bobby (que l’on oublie souvent alors qu’il était favori pour la nomination à la présidentielle de 1968, et en passe de reprendre flambeau de son aîné… Signant ainsi sa condamnation à mort).
Facteur aggravant : le Trump de retour à Washington en 2024 serait très différent de celui de 2016… Beaucoup plus retors, aguerri. Bien mieux entouré…
Et surtout plein de ressentiment, donc plus dangereux…
Allons même encore plus loin : les enjeux sont tels, l’énergie et les moyens déployés sont si hallucinants (depuis 8 ans)… que la solution cathartique qui doit respecter la mystique américaine… est bel et bien l’assassinat de Donald Trump.
C’est parce qu’il s’agit des Etats-Unis d’Amérique que l’élimination de Trump doit avoir lieu.
C’est la conclusion logique, tautologique et eschatologique (dans l’esprit malade des conspirateurs).
LES MOYENS DE LA FIN
Et quelle meilleure opportunité que la campagne avec de nombreux déplacements et réunions publiques ? La sécurité est forcément moins élevée qu’autour du président en exercice (même si le Secret Service protège tous les anciens présidents).
Un simple “déséquilibré” ne ferait pas l’affaire. Un militant domestique non plus (anti gun, gauchiste, écolo ou trans… trop signé, risque de retour de flamme).
En réalité, le meilleur golem, le meilleur Lee Harvey Oswald 2.0… serait un ou plusieurs terroristes étrangers… islamistes, cela va de soi.
Ca tombe bien, il y a en beaucoup, ils ont la motivation (“death to America“, vengeance pour la mort du général iranien Soleimani), ils sont impopulaires, et en faisant rentrer des dizaines de milliers de musulmans, par la frontière grande ouverte, on a créé l’eau et les poissons dont parlait Mao…
Parmi eux, c’est une évidence, il y a des cellules dormantes, de futurs “terroristes”.
Eux seuls offriraient la plausible deniability nécessaire…
Eux seuls provoqueraient un casus-belli dont l’état profond raffole (“pour venger le martyr de Trump… nous allons bombarder Téhéran“), cadeau-bonux O combien ironique.
Eux seuls permettraient de justifier les moyens techniques utilisés (on pense à un attentat forcément suicide au moyen d’une veste explosive, à la mode syrienne/Isis, pourquoi pas combiné à un véhicule piégé)…
Seule une grosse explosion pourrait venir à bout de Trump, de manière certaine (une arme à feu à distance ou rapprochée… trop d’aléas, trop de risques… un attentat manqué pourrait au contraire le servir).
Autre avantage, cette solution finale réactiverait la doctrine Kennedy…
En clair, les politiciens élus se tiendraient désormais… à carreau et feraient tous sagement ce qu’on leur dirait de faire… “Ou sinon…“.
“Ou sinon…”
PS : Si vous voulez connaître les règles en cas de décès d’un candidat, je vous conseille cet article (très complet).