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Saloperie et sida mental

Etats-Unis : pourquoi l’invasion migratoire au sud ?

Futurs électeurs américains… démocrates.

“J’ai besoin de davantage de gens dans mon district uniquement pour le redécoupage”.

Voici ce que vient de déclarer au sujet des migrants, une député noire américaine (de gauche) élue dans l’état de New York (Brooklyn).

Elle ajoute qu’avec la “diaspora” déjà présente, ils peuvent “absorber” ces nouveaux arrivants (source et analyse en anglais).

Le sujet est peu connu des Européens, car tabou.

On se souvient -vaguement- du fameux “mur” que Donald Trump voulait ériger à la frontière avec le Mexique.

Un mur pour nous, européens encore blancs et encore conscients, c’est le mur de Berlin ; c’est le Mal.

Mais nous ne comprenons pas réellement ce qui se passe depuis 2020, avec l’administration Joe Biden (et avant avec Obama).

La frontière au sud est littéralement démantelée.

Conséquence : plus de 4 millions d’étrangers sont arrivés clandestinement aux Etats-Unis depuis 2020 (source).

Et non, pas uniquement des latinos (Afrique, Moyen-orient et même Chine).

La question est “pourquoi ?” Car il s’agit bien d’une politique délibérée (la Maison Blanche a d’abord nié l’existence du problème, avant de le minimiser).

La député new yorkaise vient de donner l’explication, avec une remarquable ingénuité.

La Chambre des représentants (Assemblée nationale chez nous) compte des centaines d’élus, venant de tous les états. Mais comment s’effectue la répartition ?

Par la population.

Cette dernière est évaluée tous les dix ans grâce au recensement (census).

Ainsi la Californie, l’état le plus peuplé de l’Union, dispose de 52 sièges.

Dans un état fédéral comme les Etats-Unis… le pouvoir commence D’ABORD par le nombre de représentants dont chaque état dispose… Avant même la capacité de les faire élire en manipulant les électeurs…

Or les états démocrates (les états bleus) souffrent d’un phénomène… troublant : des habitants fuient. Littéralement.

Ils votent avec leurs pieds, ils en ont assez de la fiscalité, de l’insécurité, des politiques wokes, du fanatisme LGBT+, de l’impossibilité de se loger, etc.

Alors ils s’installent au Texas ou en Floride (états rouges, tenus par les républicains).

Suite au recensement de 2020… la Californie a ainsi perdu 1 siège (de 53 à 52). Une première dans son histoire !

Faire venir massivement des migrants permet de boucher les trous et de s’assurer de futures victoires électorales (les migrants ayant souvent un atavisme de “gauche” et il est facile de les contrôler par des politiques d’assistanat, de discrimination positive).

Ils finiront par être naturalisés, voire ils pourront voter illégalement (de nombreux états ne contrôlent pas l’identité des votants), ou bien ils feront des enfants… tous citoyens américains.

En 2008, le nombre total d’enfants nés de parents clandestins aux Etats-Unis s’élevaient… à 4 millions (340 000 rien que pour l’année 2008, soit 8 % du total des naissances).

POST SCRIPTUM

Pas besoin d’avoir fait l’Ena option Cuisine pour constater que le même phénomène se déroule en Europe.

En pire.

D’abord parce que les populations concernées sont principalement musulmanes donc difficilement assimilables.

Et elles le seront encore moins à mesure que les bantoustans se multiplient et grossissent sur le territoire national.

Et enfin, parce que cette invasion a commencé bien avant.

Concrètement, ça signifie quoi ?

Faisons abstraction des élections locales et même du découpage des circonscriptions…

Il est désormais évident qu’aucun candidat à l’élection présidentielle (scrutin national) ne pourra être élu sur un programme de “droite”, a fortiori en faveur du contrôle des frontières et de l’immigration.

Je reformule : stop aux fantasmes (la spécialité des droitards) !

Un candidat comme Zemmour ne sera JAMAIS ELU.

Jamais.

La raison est bien entendu le vote des Français d’origine immigrée. Et même s’ils votent moins que les bons vieux boomers blancs… leur masse suffit (déjà) à faire barrage au second tour.

Cette évidence arithmétique (ethnomathématique) est apparue au grand jour en 2012 quand dans les banlieues parisiennes tiers-mondisées… le piteux candidat Hollande fit plus de 70 % au second tour !

Des scores quasi soviétiques… pardon… africains.

Sur le département de la Seine-Saint-Denis 65,32 % contre 51,64 % au niveau national (1,13 million de votes de plus que Sarkozy, réfléchissez… ce n’est pas grand chose).

Dans le détail :

  • Villetaneuse = 78,22 % (2017 = Macron à 83,77 % ! 2022 = Macron à 77,47 %)
  • Saint-Denis = 77,78 %
  • Bobigny = 76,74 %
  • La Courneuve = 75,30 %
  • Montreuil = 74,84 %
  • Saint-Ouen = 73,63 %
  • Pierrefite-sur-Seine = 73,92 %
  • Stains = 73,50 %
  • Bagnolet = 72,37 %
  • Clichy Sous Bois = 72,07 %
  • Pantin = 71,38 %

La crème de la crème… !

En 2012, au second tour, les électeurs d’origine immigrée n’ont pas déclaré leur amour à Hollande (qu’ils méprisaient sans doute, et à raison).

Mais ils ont fait barrage à Sarkozy, perçu comme de “droite” et lesté de son fameux “kärcher”.

Et c’était il y a plus de dix ans !

Dans l’intervalle, combien de ces chères têtes blondes nées en Seine Saint Denis (ou ailleurs) sont devenues majeures, et donc équipées de leurs droits civiques ?

Dans l’intervalle, combien d’étrangers se sont installés légalement et illégalement ?

Dans l’intervalle, combien d’enfants ont-ils eu (bénéficiant automatiquement de la nationalité française et qui deviendront majeurs dans quelques années…) ?

Sans compter que le deuxième facteur de l’équation échappe à la plupart des veaux…

Car, autre “en même temps“… de nombreux électeurs français traditionnels (Robert et Christine, un coup à droite, un coup à gauche)… décèdent (du Covid, of course). 😉

La génération nombreuse du baby boom, après avoir tout salopé, a le bon goût de passer l’arme à gauche.

Ca va faire des gros trous dans les listes électorales… augmentant encore mécaniquement l’influence du vote ethnique (arabo-africain principalement, mais disons non-occidental).

Il est impardonnable de ne pas comprendre que tout changement qui affecte une population (sa pyramide des âges, son nombre et sa composition ethnique) entraîne forcément des conséquences sociales, économiques et politiques…

Et il n’y a finalement rien de plus raciste, et rien de plus sot, que de faire semblant de croire que les hommes sont tous SEMBLABLES et parfaitement INTERCHANGEABLES.

Les hommes sont différents, et ce sont les hommes qui font société.

Si on change une population… on change sa société.

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Chiffres Vaccinocide

France, naissances : après l’automne… l’hiver

“Dis bonjour à la dame.”

Les mois se suivent… Une saison chasse l’autre (il paraît qu’il fait froid maintenant)… et 2023 demeure une année de chute –anormale– de la natalité en France (et dans une foultitude d’autres pays).

L’Insee en guise de cadeau de Noël a mis à jour les chiffres de janvier à novembre 2023.

Le nombre des naissances chute de 6,78 % (par rapport à la même période 2022) (en septembre, sur neuf mois donc, nous étions à -7,3 %).

Autant dire que l’année est pliée

Il n’y aura pas de miracle… de Noël (même en priant très fort et même en multipliant les petits Jésus…).

Voici le graphique qui me sert d’illustration chaque mois, et qui est le seul permettant de contextualiser ces chiffres (sur 20 ans !).

Inutile de se répéter : 2023 est ANORMALE (même dans le cadre d’une baisse tendancielle de la natalité, sur le long terme qui se constate dans de nombreux pays, oui, oui nous sommes au courant, prout).

Tant il est vrai qu’avec une population qui vieillit à vitesse grand V, des Occidentaux qui s’empoisonnent et qui haïssent le futur, des mecs qui s’enculent à qui mieux-mieux, des lesbiennes aux cheveux bleus en lutte contre le patriarcat.. il est difficile de maintenir une population à la fois équilibrée mentalement et surtout un nombre d’enfants par femme au-dessus du seuil de renouvellement…

C’est bête, hein ?

Il y a clairement un décrochage que personne ne veut ou ne peut expliquer (le Méchant Poutine, la Fée Clochette, le RichoffementKlimatik, le prix des fruits et légumes, les impôts, la sale gueule de Elizabeth Borne, oui, oui, toutes ces raisons et bien d’autres sont valables !).

Zoom à présent par région (domicile de la mère).

On voit bien que les “DOM” résistent mieux. Je rappelle qu’ils furent le plus “rebelles” aux injections.

On constate également que la première maternité tricolore, l’Ile-de-France, résiste mieux… Grâce au bantoustan plus connu sous le nom de “Seine-Saint-Denis”, ou le “9-3” si vous préférez.

Le nombre d’habitants ne cesse d’y augmenter sous l’effet non pas d’une migration interne (genre les mecs du Gers qui déménageraient), mais sous l’effet d’une invasion arrivant d’Afrique du Nord et d’Afrique Noire (où les injections ARNm furent inexistantes).

Ces phénomènes permettent de “gommer” un peu la situation (la migration “d’accouchement” est une réalité). Sans oublier le fait qu’une naissance sur le territoire garantit… la nationalité qui va avec, comme un cadeau bonus.

Un môme c’est mieux que l’asile politique. Ca rapporte de la thune et ça rend inexpulsable (bon d’accord, dans tous les cas, on n’expulse plus réellement, donc mon argument tombe à l’eau 😉 ).

Je prenais le Gers comme exemple car au niveau du département (domicile de la mère)… la chute du nombre des naissances sur 11 mois y est vertigineuse : -17 % (record, les Landes arrivent juste après avec -14 %, on compte ensuite plusieurs départements avec des -11 %) !

Pas besoin d’avoir fait un DESS en Démographie option Couture pour voir que certains départements sont en train de mourir, littéralement.

La pyramide des âges de la population du Gers ou des Landes doit être fascinante. 😉

Allez, tous ensemble, tous ensemble, avec l’import de quelques millions de “mineurs non accompagnés” il n’y paraîtra plus (et les oies continueront d’être gavées. Ah ? Non ? Vraiment ?).

Méfiance avec les données par département d’enregistrement des naissances… Car dans ce cas, l’Ardèche tient le haut du pavé avec -19 % ! Alors que par le domicile, ce département est à -8,4 %.

Dans ce cas, il y a clairement des fermetures de lits, des fermetures de maternités qui jouent.

Ah la bonne vieille désertification à la française !

Ca doit plaire à Macron (quand on épouse sa maman… difficile d’envisager de procréer, donc les femmes enceintes on s’en tape).

Bientôt les futures mères devront prendre l’avion (ou le TGV) pour aller accoucher…

Ou alors, on fera un 360 ° historique, avec l’accouchement dans l’étable, pardon chez soi, dans son lit, avec les dents (pour couper le cordon), une Bible sur la table de nuit (pardon le Coran ! Je m’excuse), avec le père (pardon le parent numéro 2 ! Je m’excuse) en train de regarder la scène, les yeux exorbités et recouvert de sang, de pisse et de merde…

Mais d’ici là…

Vive la France !

Et vive 2024 !

“Dis donc Roger ça te dirait de faire un enfant ? Oh oui Albert, j’en rêve ! Mais il faudrait plutôt le commander sur Amazon, non ? Y’a des soldes en janvier.”
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Saloperie et sida mental

Quand l’empire US se perd dans une vallée en Afghanistan

Un Marine qui s’entraîne dans son Colorado natal ? Non… Il crapahute à 12 000 km de là… dans les montagnes afghanes. Isolé. Pire encore : perdu.

Je signale un remarquable documentaire datant de 2010 : Restrepo (lien ici pour le torrent).

L’enjeu ? Prendre conscience de l’effondrement occidental par le petit bout de la lorgnette militaire.

En avril 2006, l’armée américaine installe “Kop”, une “firebase” (concept datant de la guerre du Vietnam) dans la vallée de Korengal (à l’est du pays, près du Pakistan).

Littéralement, dans le trou culier de l’Afghanistan

Pourquoi ? Il y a des “infiltrations” de Talibans et des trafics avec le Pakistan.

Contresens crétin puisque le pays est taliban, toute la vallée est talibane.

On voit un paysage montagneux vertigineux et boisé, pas un désert. Un soldat fera ainsi la comparaison avec Denver dans le Colorado !

Sauf que là, dans cette vallée, les Afghans vivent au moyen-âge… des siècles dans le passé.

Très vite, ce poste devint le plus dangereux du monde pour les soldats américains… Plus de 40 d’entre-eux y laissèrent la vie…

Des attaques quotidiennes… Des patrouilles prises dans des embuscades… Des tirs plusieurs fois par jour (durant une séquence on voit même l’impact des balles aux pieds d’un soldat !)…

Le documentaire commence très fort. Un convoi progresse sur la route montagneuse pour rejoindre “Kop” avec deux journalistes à bord… boum… une IED explose près d’un des véhicules ! Le tout filmé de l’intérieur.

Quel est l’objectif de cette “firebase” ?

Le capitaine l’avoue dans sa candeur de joueur de football nourri au beurre de cacahouète :

“Nous ne sommes pas là pour chasser l’ennemi… On est là pour que l’ennemi vienne à nous et qu’on puisse le tuer”.

C’est le vieux fantasme de Dien Bien Phu ou encore de Khe Sanh (le Vietnam, toujours) : attirer, fixer puis détruire dans une bataille classique des forces ennemies qui vous échappent par ailleurs…

Une section (une trentaine d’hommes) va ensuite installer un poste-avancé… à 800 mètres de la base principale

Avec des murs de terre, des planches, des tôles…

Comme ils le disent : “un autre monde“… suivi par “a shitty place“.

Ils y resteront 15 mois.

Ils baptisent le poste “Restrepo” en hommage au médecin de leur compagnie qui fut tué… dès leur arrivée. Deux balles dans la gorge.

Dans les montagnes, on t’entendra décharger ta mitrailleuse calibre .50. Mais personne ne t’entendra hurler.

Toute l’absurdité de la guerre “à l’occidentale” est là… ainsi que toute l’obscénité de la présence américaine dans ces montagnes médiévales, à des milliers de kilomètres de Washington.

On cherche (comme au Vietnam un demi siècle en arrière ou en Irak plus récemment)… le moindre sens.

Il n’y en a en réalité aucun.

Aucun sens militaire (ce fut une défaite cuisante), aucun sens politique.

Le néant de la pensée, la bêtise de l’action ; c’est Shadock.

La guerre qui doit impérativement se poursuivre car… on l’a commencée !

Le capitaine, well spoken, les dents blanches, barraqué, mâchoire carrée, la quintessence de l’officier de l’US Army… participe chaque semaine à la “shura“, c’est-à-dire la réunion des “anciens” des hameaux voisins (avec un interprète bien entendu)… C’est surréaliste.

Car, comme au Vietnam ou en Irak… le mot d’ordre -orwélien- n’a jamais varié : “hearts and minds“…

Il faut ainsi discuter avec… les indigènes, les convaincre de dénoncer les méchants Talibans (leur propre famille… quelle farce) et sécuriser l’environnement pour construire… une route.

Et puis s’excuser quand on on provoque… des “dommages colatéraux”… Femmes, enfants… civils… réduits en morceaux.

Un intrus s’est glissé dans cette photo. Sauras-tu le reconnaître ?

Le capitaine parle dans le vide.

Comment concevoir une quelconque compréhension entre lui et ces vieillards du bout du monde et d’une culture si radicalement différente de la sienne ?

Qui est ce soldat rasé de près pour ces vieux Afghans barbus ?

Un occupant. Un intrus. Un squatteur. Un étranger. Et donc un ennemi.

Un jour, quelques “anciens” débarquent à l’avant-poste…

L’objet de cette rencontre impromptue ? La veille, les Américains ont tué… une de leurs vaches (qui avait pénétré le périmètre de sécurité, avec les barbelés et qui fut donc prestement exterminée par les soldats nerveux… pour lui éviter de souffrir [“put her out of her misery“])…

Dérision…

Dérision encore… quand le gradé leur demande “combien ça coûte une vache ?“… Il communiqué au QG la somme réclamée (“400 à 500 dollars“). Compensation refusée. Ce sera finalement le poids de la vache… en sucre et haricots.

Les Américains abandonneront la vallée de Korengal en avril 2010… après la mort de 42 des leurs, des centaines de blessés, et après avoir balancé des gazillons de tonnes de bombes et autres munitions sur les flancs et les crêtes de ces montagnes (artillerie, hélicoptères d’attaque, A-10 Warthog, gunships AC-130… tout le who’s who de la quincaillerie mortelle).

En vain. Evidemment.

Il ne s’agit pas ici de critiquer le comportement de ces (très jeunes) soldats.

Ils apparaissent irréprochables. Ils avouent leur peur. Ils cachent la vérité à leur mère au téléphone. Ils s’entraident. Ils bizutent leur cuisto (noir). Ils pleurent leurs morts. Ils sont marqués. Et osent même déclarer : “il faut respecter l’ennemi… sinon à quoi bon ?“.

Pour des ptits gars qui arrivent du fin fond des Etats-Unis, c’est remarquable.

Ce documentaire à la limite ne les concerne pas vraiment. Ils semblent être le sujet. Mais en fait non.

Le véritable sujet est cette obscénité… Cette occupation absurde pendant 20 ans (!!!!)… sans aucun objectif réel… avec des mensonges énormes comme justification (“Ben Laden !“) et condamnée à se perpétuer de manière autonome… dans un délire technocratique déjà décrit lors de la guerre du Vietnam (les parallèles sont nombreux).

C’est terrible mais rien n’a réellement changé dans l’armée de l’Oncle Sam (à part… les femmes et les transsexuels, bien entendu !).

Qui sommes-nous pour imposer notre présence, je ne parle même pas de nos idées -par la force !- à des hommes et des femmes qui vivent dans ces montagnes… depuis des temps immémoriaux ?

Le même constat s’applique bien entendu à l’Afrique et au Moyen-Orient.

Je suis le premier à défendre l’histoire du “colonialisme” européen à la grande époque, quand nous avions encore des idées, allez osons le mot, des principes.

Quand nous avions encore quelque chose à proposer (imposer, d’accord), et que l’Occident pouvait se prévaloir du bien, du bon, du beau.

Mais aujourd’hui ?

C’est quoi le projet ?

Plume dans le cul pour tous ? Changer de sexe ? Injections ARNm pour tous ? Biden, Macron, Trudeau, Scholtz über alles ? Voitures électriques ? Un Reich avec le drapeau LGBTQ++ ? Le rire de dinde de Kamala Harris ? La corruption ?

Cette folie doit cesser.

Cet hubris au rabais doit cesser.

Nous sommes complètement à côté de nos pompes.

POST-SCRIPTUM

L’équipe de Restrepo a eu l’excellente idée de réaliser un second documentaire, quelques années plus tard (en 2014), pour suivre les protagonistes et utiliser d’autres séquences filmées en 2007/2008 : Korengal (dispo ici en torrent).