Epidémie de cancers : ça percole dans les médias

Ils ne peuvent pas exclure définitivement le rôle des vaccins Covid, mais estiment que les preuves soutenant la théorie du virus sont beaucoup plus solides.

C’est extrait d’un article publié le 6 juin par le DailyMail, premier quotidien britannique.

L’article décrit… l’épidémie de cancers aux Etats-Unis… depuis 2021.

Et met l’accent sur des cancers rares, des cas “inhabituels“, des cas “étranges“… et surtout… les observations faites par les médecins sur le terrain, autant de preuves, certes circonstantielles, mais qui se muliplient et qui sont fondamentales.

Partout aux États-Unis, les médecins font état d’une tendance alarmante en matière de santé à la suite de la pandémie de Covid.

Depuis 2021 environ, ils ont remarqué des cancers rares et inhabituels chez des patients qui ne devraient pas correspondre à cette norme – dont beaucoup sont jeunes et sans antécédents familiaux de maladie.

Et ils sont confrontés à des formes obscures de la maladie qui touchent généralement les personnes âgées entre 70 et 80 ans, y compris des formes difficiles à prononcer comme le cholangiocarcinome, un cancer rare et mortel des voies biliaires.

Il se passe d’autres choses étranges, comme des patients atteints de plusieurs cancers en même temps.

Alors bien sûr, ils font le lien avec le terrible virus Sars-Cov2 en expliquant que les virus peuvent “réveiller” des cellules cancéreuses, ou encore favoriser leur développement en raison de l’inflammation.

Mais à ma connaissance, c’est la première fois qu’un grand média parle EN PLUS de… l’autre éléphant dans la pièce, à savoir un lien avec les poisons ARNm…

Ce que les odieux complotistes homophobes (voire russophiles) affirment… depuis 2 ans !

Car, et c’est fondamental, toutes ces “étrangetés“, ces cas de cancer chez des jeunes… ont été repérés dès la fin 2021.

Certains praticiens ont même forgé l’expression “turbo cancers“.

C’est le cas du docteur Ute Kruger, pathologiste suédoise. Depuis 18 ans, elle étudie des milliers d’autopsies de cancéreux et de biopsies de cancers du sein. Elle est donc parfaitement placée pour détecter des anomalies.

Au printemps 2022, elle lançait l’alerte, et parlait de “turbo cancers“… provoqués selon elle par les injections.

D’autres témoignages suivirent (et furent tous niés, “débunkés” par des pseudos “fact checkers” comme Reuters).

Bref, ça n’a rien de neuf.

Ce qui change… est le fait d’en parler -même si de manière incomplète- dans un grand média.

Une hausse des cancers niée fin 2021 et en 2022… mais reconnue en 2024 !

On connaît la sinistre musique.

L’article affirme que les chiffres pour 2023 (nombre de cancers) seront pire que ceux de 2022.

Que va t-il se passer maintenant ? Les données officielles 2023 seront bientôt moulinées… et rapidement des vrais médecins, des vrais scientifiques… lanceront des études sur ces nouveaux cancéreux… en croisant avec le nombre d’injections reçues…

Rien de plus simple (questionnaires et/ou dossiers médicaux).

Et alors, la vérité ne pourra plus être cachée.

Oui, c’est vrai… le premier facteur du cancer est l’âge. La population vieillit et même rapidement dans les pays occidentaux. Donc mécaniquement, cela gonfle et continuera de gonfler les chiffres.

Il en va de même pour le nombre des décès (rappelons que la covidémence a mis à jour ce fait scientifique extraordinaire : quand on est vieux, on a tendance à… mourir davantage 😉 ).

Mais… les individus jeunes ? Voilà le juge de paix.

Rappelons également (il y en a encore certains qui n’ont toujours pas compris) qu’aucune étude relative au risque cancérogène ne fut menée à l’époque par Pfizer/Moderna concernant leurs produits.

Rappelons également que ces poisons affectent -par définition- directement le système immunitaire… Et que ce dernier a des liens évidents avec le cancer.

Bref, il n’est pas nécessaire d’avoir fait première année de médecine option Couture… pour comprendre que nous ne sommes peut-être pas au bout de nos surprises…