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Espagne : forte amende si refus du vaccin

“Alors les gueux ! Vous pensiez vraiment que vous pourriez y échapper ?”

Voilà, c’est fait.

Un premier pays européen, plus précisément une région, a franchi le Rubicon.

En Espagne, la Galice va punir ceux qui refusent de se faire vacciner contre le Covid-19.

La droite à la tête de la cinquième région d’Espagne a instauré, mercredi 24 février, une amende allant de 1000 à 60 000 € pour les personnes qui refusent de se faire vacciner contre le coronavirus. (source Ouest-France)

Galice = 2,7 millions d’habitants.

L’affaire est gravissime.

Car si le plan covidémentiel est évident depuis de nombreux mois (vaccination, passeport vaccinal, coercition etc.)… voir les étapes franchies les unes après les autres, c’est toujours un choc.

A ce jour, seuls Israël et l’Indonésie sont en train de mettre en place des mesures coercitives (lire ici et ).

Que les choses soient claires : cette décision espagnole ne tiendra pas. Elle sera retoquée par la justice.

Mais le problème n’est pas là. Ce n’est pas une erreur (les politiciens espagnols sont une race de crevards à part, mais quand même)… c’est en réalité une psyop, une stratégie délibérée, classique mais toujours très efficace.

On met d’abord la barre très haut (“chérie, tu as vu 60 000 euros d’amende !!!”), pour ensuite parvenir au même objectif mais avec un moyen plus doux (“ah ouf, ce n’est qu’un passeport vaccinal”).

A ce sujet, l’adolescent perturbée de l’Elysée… en parle désormais ouvertement, mais de préférence avec ses complices européens.

Il veut lancer le “débat “, bien entendu.

Passeport vaccinal ça fait trop frontières. Trop à droite. Il suffit de changer les mots, autre grande spécialité macronesque : “pass sanitaire“…

La covidémence se poursuit. Jour après jour.

Quoi qu’il en coûte.

6 replies on “Espagne : forte amende si refus du vaccin”

Il faut qu’ils se dépêchent : les “cas” baissent. +300.000/jour aux Zuèsses en janvier, à peine 60.000 ces jours-ci, et ça commence à se voir et à se lire, même dans la presse covimaboule qui guette le reflux, ce moment délicieux où ils vont commencer à pointer du doigt quelques coupables. (insérer ici une référence à La Peste de Camus, ou à un livre plus obscur mais qui sera déterré pour les besoins de la cause et jeté en pâture au public béat)

… Bien sûr. Pour l’instant, on a les mutants… Mais on a bien compris qu’ils étaient tous aussi ridicules les uns que les autres…
Non. Pour durer, au-delà de 2021, la covidémence va devoir trouver un mutant… méchant.

Et… nous avons peut-être un candidat… Le mutant californien. “Onze fois plus léthal“.

Si, si, ce n’est pas une blague. Article demain. 😉

J-D Michel commence à se dérider. 😉

Je me souviens très bien : au début, comme de nombreux esprits cartésiens, il ne croyait pas à tout cela. Il constatait les incohérences et disait : “c’est incompréhensible, cela sort des pratiques habituelles”.

Et puis l’évolution, mois après mois, est notable 😉

Le temps, c’est un des juges de paix de la covidémence.

Plus ça dure, plus mécaniquement les gens comprennent que tout cloche, que rien ne fait sens, et que la probabilité de simples “erreurs” se réduit de plus en plus.

J.-D. Michel a eu, d’après ses dires, le “covid-19″…
À mon avis, c’était une de ces maladies respiratoires infectieuses, comme il y en a chaque hiver, et rebaptisées pour l’occasion. On comprend qu’il ait eu du mal à croire à la plandémie.

Il reste un héros.

Car il a immédiatement (très tôt)… pris de l’HCQ, achetée au black sur un parking.

Je dis chapeau (les mecs qui font ce qu’ils disent…).

En outre, je n’oublie pas qu’il fut un des premiers à démonter la covidémence. Son témoignage était précieux à l’époque (car tous les pseudos médecins se taisaient)… ayant étudié la pratique médicale, sur le temps… il fut capable de dire “euh… les gars… tout cloche par rapport aux bonnes pratiques avant. Ce n’est ABSOLUMENT PAS NORMAL”.

Et cette validation (de nos propres intuitions) était précieuse à l’époque (mars 2020).

Très tôt, rien ne faisait sens avec la covidémence.

J-D Michel fut capable de le voir, instantanément.

En revanche, il est clair qu’il a mis du temps à franchir le Rubicon, c’est-à-dire passer du constat que rien ne fait sens (“je ne comprends pas”)… à celui qu’il ne s’agit pas d'”erreurs”, mais bien d’un plan concerté, global, et sur la durée.

Un an après, tous ces esprits brillants (et si divers, c’est ce qui fait leur force) sont obligés de passer ce cap.

Raoult l’a souvent répété : le temps, seul juge de paix.

En ce qui concerne la covidémence, c’est encore plus vrai et brûlant !

Les premiers mois, l’incompétence, les erreurs, la simple bêtise humaine… tout cela est parfaitement crédible.

Mais au bout d’un certain temps… ça ne tient plus…

C’est bien entendu valable aussi bien pour les scientifiques que pour vous, simples citoyens, éclairés.

Il suffit de quelques neurones, de connaissance historiques, politiques, géographiques, statistiques de bon sens… et à un moment ça fait “clic” : “on se fout de notre gueule“.

Nous y sommes.

Certains sont plus rapides que d’autres 😉 mais l’essentiel est qu’on se retrouve à marcher dans le même sens, et sur le même chemin…

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