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Phuket Sandbox : première sortie de route vaccinale

Durant votre quarantaine, seul(e), personne ne vous entendra hurler.

L’île de Phuket (sud-ouest) de la Thaïlande a été choisie par le gouvernement pour un programme expérimental de “réouverture” au tourisme.

Rappelons que les frontières aériennes sont fermées hermétiquement depuis le 3 avril 2020… De 42 millions de visites en 2019, nous sommes joyeusement passés à… pas loin de zéro.

Depuis, seuls des expatriés et des Thaïlandais pouvaient revenir, via un programme de quarantaine obligatoire (15 jours) très lourd (administrativement parlant) et fastidieux : 4 tests PCR au total, montagne de papiers à fournir (assurance santé spéciale, etc.).

Le Phuket Sandbox a donc démarré officiellement le 1er juillet avec l’arrivée de quelques dizaines de “touristes” (on ne rit pas, SVP).

Le concept ?

Ils doivent être totalement vaccinés (2 doses), loger dans des hôtels sélectionnés (avec un label particulier), subir 3 tests PCR durant leur séjour (à leurs frais) etc. En échange, ils sont confinés… sur l’île. Pas dans les hôtels. Et à l’issue, ils ont droit de poursuivre leur voyage (?) dans le reste du pays…

Rappelons également que la plupart des commerces et restaurants sont fermés. Les bars également… Bref, à part la plage, il n’y a rien d’autres à faire. L’économie de l’île a été dévastée.

Peu de véritables touristes accepteront de suivre un tel parcours du combattant.

Il aura fallu moins d’une semaine pour que l’inévitable… se produisit. Un “touriste” a débarqué le 6 juillet, via un vol Emirates (venant de Dubai) avec 13 autres (!) passagers… et il a été contrôlé positif au terrible couillonavirus… malgré ses 2 doses de vaccin chinois (Sinopharm) (source Phuket News).

Oh zut, quel dommage.

😉

Il a donc été envoyé direct dans une quarantaine “classique” (donc interdiction de sortir pendant 15 jours), mais surtout les autorités locales ont appliqué le même traitement aux 13 autres pauvres types à bord du même vol ! Principe de précaution, tout ça…

Pas de bol. Super les vacances.

Bref, la covidémence associée au culte du Zéro Covid, poussée à son paroxysme…

Et surtout, une nouvelle preuve que les vaccins et les tests PCR… tout cela est foireux.

Le touriste en question a dû fournir un test PCR avant d’embarquer, il était négatif. Un nouveau test, réalisé sans doute avec d’autres réglages (CT) une fois arrivé a donné un autre résultat…

Eh oui, aucune standardisation. Un test peut être négatif à Dubai, positif à Paris, négatif à Berlin, et repositif à Tombouctou, et renégatif à Charleville-Mézières.

Il suffira de quelques cas supplémentaires et les rares candidats au “Phuket Sandbox” comprendront enfin que tout ce bordel n’est en réalité qu’une loterie

Et que les “vacances” de rêve au bord de la plage, sur une île tropicale… peuvent vite se transformer en cauchemar avec une incarcération d’office…

La Thaïlande, sur ordre de la Chine, poursuit ainsi son suicide économique et social.

Tranquillement.

MISE-A-JOUR

Boum. Les emmerdements en escadrille. Douze des 13 pauvres “touristes” que les autorités thaïes ont enfermés en quarantaine car ils étaient à bord du même vol que le testé positif… se rebellent.

Ils veulent… retourner chez eux (source) ! Finies les vraies-fausses vacances. L’arnaque est totale.

La presse continuera d’en parler, et dans leur pays respectif, ce qui fera une formidable contre-publicité pour le Phuket Sandbox…

MISE-A-JOUR 2

Et ça continue.. Phuket annonce la fermeture des écoles… pour 2 semaines. La raison ? La 1ère semaine de la réouverture, ils ont enregistré 25 cas sur toute l’île. La seconde semaine… 17 cas en 2 jours. 😉

Et un malheur n’arrivant jamais seul, un cas a été confirmé… porteur du terrible variant indien.

J’avais prédit que le Phuket Sandbox serait un bide biblique… Je crois qu’on va battre tous les records…

9 replies on “Phuket Sandbox : première sortie de route vaccinale”

Un peu hors propos par rapport à cet article, mais selon l’un de vos articles hier, l’age moyen de personnes en réanimation à Barcelone diminue chaque jour et est de 26 ans. En Ecosse aussi, de plus en plus d’enfants se retrouveraient en réa. Sans doute c’est la même chose ailleurs. Que veut dire tout ça? Qui sont ces jeunes en réa? Ne sont-ils malades que du covid ou souffrent-ils d’autre chose? Ou les chiffres sont-ils tout simplement des mensonges?
D’après Lockdown Sceptics “New Zealand and Australia are currently seeing a large number of children in hospital with respiratory illness, which doctors are blaming on the lockdowns for keeping them away from bugs.”
Des jeunes atteints par des maladies respiratoires (labellées covid peut-être) à l’hôpital, donc.
Sommes-nous face à une situation où une maladie au départ bénigne pour la plupart des gens notamment les jeunes, serait en train de devenir plus méchante, parce que maintenant nous avons des récombinaisons, provoqués en partie par des vaccins, contre lesquels le système immunitaire d’un jeune, affaibli par les confinements, a du mal à lutter?

Comme vous le soulignez… c’est flou. Nous sommes en plein dans le “Fog of war”.

D’un côté, le variant indien “brûle” dans de nombreux pays, y compris hémisphère sud (exemple Zimbabwe, Afrique du sud, qui connaissent un nouveau pic)… de l’autre des chiffres contradictoires (au UK, les hospitalisations demeurent peu nombreuses, idem en France), et des “jeunes” ailleurs (Australie, Thaïlande) qui tombent malades.

Le problème est que tout est mélangé à présent, et chaque situation peut ainsi être particulière (UK, France, les pics précédents ayant été forts, le stock de vieux bien ratiboisés, immunité collective… donc le variant indien a moins d’effets, et Thaïlande totalement épargnée en 2020 et qui se paye maintenant un pic, un vrai).

Sans parler des vaccinations, très différentes d’un pays à l’autre, à la fois en nombre et en nature (aucun Pifzer/Moderna en Thaïlande par exemple).

Bref, c’est le bordel.

Et cette confusion sert de manière objective la covidémence.

Une seule constante : le refus de tout traitement, la guerre à mort contre l’ivermectine par exemple, virtuellement dans tous les pays.

Synthèse : le tableau s’assombrit, hélas.

Sauf erreur de ma part l’age moyen en catalogne de 26 ans concerne les testés positif et non pas les reanimations, ceci n’a rien de choquant du fait de la saison estivale. Quand à la NZ je reste très circonspect sur les infos…

Le problème est que les chiffres sont manipulables à souhait, en Belgique les médias ont fait choux gras d’un enfant de 3 ans mort du covid.
Le père a obtenu un droit de réponse déclarant que son enfant avait des graves problèmes de santé antérieurs, que son espérance de vie était très courte et que bien que testé positif il n’était pas dcd directement du covid.
Mais l’info était imprimée dans l’esprit des gens, les enfants meurent du covid !

Merci pour votre réponse. En effet, le refus de tout traitement est clé.
Je consulte régulièrement les chiffres pour l’Ecosse sur les National Records of Scotland, l’équivalent de l’Insée, qui donnent des détails sur le lieu et la cause de chaque décès. Je me rappelle vous vous y êtes déjà intéressé. A l’hôpital en Ecosse, le nombre total de décès toutes causes confondues est en baisse par rapport aux cinq dernières années (aux années 2014 – 2019). Les gens meurent encore à l’hôpital du covid mail ils meurent moins d’autre chose (morts du cancer etc. en baisse). Je vous laisse tirer vos propres conclusions.
Premier point, comme j’ai dit, les écossais meurent beaucoup moins à l’hôpital en général cette année. Alors, même si le nombre de jeunes à l’hôpital est en hausse, les hôpitaux, d’après les chiffres, sont loins d’être débordés et pourraient bien faire face. Deuxième point: il y a une augmentation importante du nombre de décès toutes causes confondues à la maison (je veux dire chez soi, pas en maison de retraite). C’est ça le vrai scandale, mais il faut aller chercher les chiffres vous-mêmes, personne dans les médias n’en parle.

La Thaïlande comme beaucoup de pays vivant du tourisme, se suicide activement. Incompréhensible si on oublie l’action Chinoise en sous-marin. Cette redéfinition des rôles dans le monde est d’ailleurs confusante. La Hongrie à la fois s’est rangée dans le camp des vaccins et des restrictions à la Chinoise. Et en même temps, vote une loi contre la propagande LGBT et défie l’UE. C’est peut être ca notre choix à venir : mondialisme ricain woke LGBT avec dictature sanitaire molle. Ou mondialisme russo-chinois avec dictature sanitaire dure, mais des valeurs morales. Aie aie aie !
Intermède musical pour ne pas déprimer : “Woke up in Bangkok”. https://www.youtube.com/watch?v=LKLU5k78IMA

Je me suis renseigné auprès d’un médecin exerçant actuellement en Thailande. Le CT utilisé pour les tests PCR est de 36 en Thailande, alors que le plus utilisé ailleurs est de 35. Il peut donc effectivement être négatif au départ et positif à l’arrivée.
Comme vous le signalez, non seulement le positif est immédiatement mis en camp d’isolement quand ce n’est pas hospitalisé à ses frais, mais tous les cas potentiellement contacts isolés dans des chambres d’hôtels spéciaux à leur frais. Quant à l’assurance obligatoire pour 100 000$ pour y aller, rien ne dit qu’elle fonctionnera s’ils restent PCR négatifs. Il faut être débile pour se rendre en Thailande actuellement. Le bac à sable est un piège incroyable.

Je n’ai jamais vu en Thaïlande ni ailleurs, de communication officielle fixant une norme pour les CT. Alors 36 ici mais pourquoi pas moins ou plus dans un autre labo.

Enfin, concernant le sandbox à Phuket… ceux qui s’y risquent sont souvent des gens comme moi : des résidents qui doivent sortir/rentrer du pays pour des raisons familiales ou professionnelles. La solution Phuket permet d’éviter l’ASQ en hôtel fermé à Bangkok (à la condition d’être vacciné bien entendu).

Je doute que de nombreux vrais touristes utilisent ce système.

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