Un document interne de Pfizer, daté de mai 2021, vient d’être rendu public (dans le cadre de la procédure aux USA forçant Pfizer à divulguer ses documents relatifs au produit ARNm, au lieu de les protéger pendant plusieurs décennies).
Et quelle surprise ! Il confirme… les observations faites partout : après la 1ère injection, beaucoup de cobayes vaccinés “font” un Covid, en clair chope le couillonavirus, une partie de leur système immunitaire baissant la garde.
Pas de bol, hein, pour un “vaccin”…
Ces observations furent bien entendu mise de côté et ignorées avec dédain. N’oubliez jamais : “La scieeeeeeeeence” ! 😉
Raoult a souvent parlé de cette funeste fenêtre des 7 jours, même Le Figaro. Idem en Angleterre (lire ici, article de mai 2021).
Donc dès mai 2021, Pfizer savait tout cela.
Clinical laboratory evaluations showed a transient decrease in lymphocytes that was observed in all age and dose groups after Dose 1, which resolved within approximately 1 week, were not associated with any other clinical sequelae, and were not considered clinically relevant.
Affirmer que ce n’est pas “cliniquement pertinent” est absurde.
Suspected COVID-19 cases that occurred within 7 days after any vaccination were 409 in the vaccine group vs. 287 in the placebo group. It is possible that the imbalance in suspected COVID-19 cases occurring in the 7 days postvaccination represents vaccine reactogenicity with symptoms that overlap with those of COVID-19.
Autre info, là aussi, confirmée depuis :
“Reactogenicity and AEs [adverse events] were generally milder and less frequent in participants in the older group compared with the younger group and overall tended to increase with increasing BNT162b2 dose.”
Donc dès mai 2021, Pfizer savait que les réactions négatives étaient plus nombreuses et plus fortes chez… les jeunes.
Vous savez les myocardites et tout le tralala, chez les individus jeunes.. Ce doit être une malencontreuse… coïncidence.
Donc pourquoi insister pour injecter les jeunes qui ne sont pas ou peu concernés par le couillonavirus ?
Résumons : deux théories odieusement “complotistes“, deux attentats contre “la scieeeeeeeeeence“… se révèlent être en réalité… de simples observations faites par le fabricant du produit himself !
C’est piquant.
Mais, ne vous inquiétez pas !
Tout s’arrangera avec… la 5ème dose (ou plutôt la première dose de la version 2.0 des produits ARNm, eh oui faut suivre, le marketing c’est important).
POST-SCRIPTUM
Le hasard fait bien les choses… la FDA vient d’autoriser la 4ème dose (Pfizer et Moderna) pour tous les Américains de plus de 50 ans (source). 😉
Et comme depuis le début de la terrible pandémie… il s’agit d’une “autorisation d’urgence“.
Ca fait rire les enfants… Oui, c’est normal. Il n’y a jamais eu d'”urgence” et encore moins maintenant, mais ce mot-clé permet de balancer aux orties toutes les précautions les plus élémentaires.
C’est le mot-clé de la corruption.
On notera que les USA sont ainsi en avance sur le calendrier… France, Royaume-Uni -pour l’instant- réservent la 4ème dose aux personnes très âgées… Ce qui n’est bien entendu qu’une technique dite du “saucisson” pour finir par imposer l’injection à tout le cheptel.
Et enfin, pour la petite crotte de nez humoristique, on notera qu’à peine cette 4ème dose autorisée en “urgence“… les clowns de la FDA commencent à prévenir que… euh… une 5ème dose sera sans doute nécessaire à l’automne !
“I don’t want to shock anyone but there may be a need for people to get an additional booster in the fall, along with a more general booster campaign if that takes place, because we may need to shift over to a different variant coverage,” Dr. Peter Marks, head of the FDA center that regulates vaccines, told reporters on a call on March 29. (source ZeroHedge).
Je rappelle aux étourdis et aux mauvais en mathématiques que la 5ème dose… sera en réalité la 1ère des fameuses versions 2.0 que Pfizer et Moderna sont en train de concocter (en réalité le boulot est déjà fait, mais ils écoulent les vieux stocks, et puis ils réservent les nouveaux produits pour la “narration” du prochain variant… à l’automne donc ou juste avant).
5 replies on “Etude Pfizer : baisse des lymphocytes après injection”
Au boulot, on a chopé un variant de virus particulièrement sympa qui n’attaque qu’à horaire fixe. Ainsi, nous remettons tous religieusement nos masques de 12 à 14 et de 16 à 18, “aux heures de grande affluence”.
Personne n’a encore osé relever que depuis qu’on ne porte plus nos muselières toute la journée, plus personne n’a été en arrêt-maladie “”Covid””, à l’inverse de la période novembre-février où on tombait comme des mouches -pour nous relever au bout de 4 jours, crevés mais en vie. Deux semaines n’est pas un intervalle de temps significatif, mais quand même… 15 jours (presque) sans masque, 15 jours sans “”Covid””.
Hu hu…
“Etude Pfizer : baisse des lymphocytes après injection”
N’en jetez plus.
Ma référence ici est Kaamelott, Astier – avant qu’il dise que, finalement, il fallait faire ce qu’il faut (se faire piquer) pour, ben oui, aller voir son film, avec son pass vaxx.
Donc il y avait ce très bon épisode de la reine préparant le rôle de Cassandre, et Arthur d’expliquer comment jouer quelqu’un que personne ne croit.
J’avais donc raté, dans mes humanités, que Cassandre n’est pas seulement celle qui annonce des mauvaises nouvelles, mais plutôt la figure de l’impuissance à convaincre.
Si on se pointe à la Maison de la Radio avec des copies des documents Pfizer pour les filer aux journalistes de France Info, il y a évidemment d’autres facteurs, l’inertie, la peur, la lâcheté, cela suffit à leur faire détourner le regard.
Mais chez la majorité, c’est tout-à-fait sincèrement que l’on passerait pour des fous.
Et ces documents Pfizer deviendraient FAUX!
Comme disent nos amis américains : you nailed it.
Documents, études… tout est là, sous nos yeux, et depuis longtemps. Et pourtant rien n’y fait.
C’est le génie de la covidémence, en tant qu’opération moderne de propagande, en tant que psyops 2.0.
Enfoncé papy Joseph Goebbels ! A la retraite, sans le minimum retraite.
Donc oui, il ne faut pas se voiler la face (référence à mes commentaires précédents) : c’est comme si on pissait dans un violon.
C’est notre croix.
Si vous voulez vraiment avoir la pétoche, je vous conseille la lecture de ce papier… écrit par le virologue (phD) Geert Vanden Bossche.
https://www.voiceforscienceandsolidarity.org/scientific-blog/predictions-gvb-on-evolution-c-19-pandemic
Quand on réfléchit 1 minute, tout ceci semble évident. Car qu’est-ce que la protéine Spike, sinon l’un des moyens du covid pour infecter nos cellules ? Alors si on donne l’ordre génétique à notre propre organisme de fabriquer ce qui sert précisément de cheval de Troie au Covid, comment s’étonner que cela l’aide à nous infecter ? C’est con ce que je dis ?
Cheval de Troie, virus, vaccin, tout se tient, et j’ai confirmation de ce que j’avançais au tout début, en 2020.
La phase 1 du plan, c’était le covid, le virus lui-même, la phase 2 le “vaccin”, et la phase 3 est en cours de lancement, c’est le nouveau vaccin qui ajoutera de nouvelles fonctions aux infections-injections précédentes. Eux-mêmes appellent cela de l’ingénierie génétique… alors ?
C’est pire que cela.. car la protéine Spike elle-même est nocive.
Donc oui, cela reviendrait à s’injecter la recette pour fabriquer… un poison.
Champions les mecs.
Au passage il faut lire cet article (Ouest France) qui nous explique que :
-non la spike N’EST PAS TOXIQUE
-car vous comprenez on en fabrique un TOUT PETIT PEU…
-DONC ce n’est pas toxique
😉
Cette argumentation neuneu est typique de la covidémence et des “fact checkeurs”… Même un enfant peut comprendre que cette fausse inférence est absurde.
En réalité oui elle est toxique, et non on ne sait ABSOLUMENT pas combien le corps va en fabriquer ni pendant combien de temps et il n’y a aucune garantie que la saloperie reste à l’endroit de l’injection (autre argument utilisé par les neuneus, du style “si si on a analysé 12 personnes, la protéine reste là où on fait l’injection donc c’est sécurisé“)!
https://www.ouest-france.fr/sante/vaccin/covid-19-non-la-proteine-spike-contenue-dans-les-vaccins-n-est-pas-toxique-7d3fd3fe-da44-11eb-a1ee-2b9888892cf0
Ce qui est extraordinaire c’est que même le CNRS le reconnaît :
“Nous savions déjà que la protéine Spike est cytotoxique” (avec le coup de la quantité après”).
Conclusion de la propaganstaffel :
“En conclusion, ni la protéine Spike ni les vaccins à ARN messager ne sont toxiques pour le corps humain.”
😉
Ces crétins ont-ils analysé chacune des 3 milliards de victimes qui ont été injectées avec ces produits ? Après 1, 2, 3, et même 4 doses ?
Ils n’en savent RIEN. Ils se basent sur des études ridicules, des échantillons absurdes, des résultats préliminaires tordus.