Après les viols de la loi, voire de la constitution, comme par exemple :
-liberte de prescription des médecins (France, USA)
-les décisions de “lockdown” par des maires et/ou gouverneurs (USA)
Et autres joyeusetés comme :
-mensonges d’état (masques, tests, etc.)
-fausses études scientifiques
-données officielles bidonnées (nombre de décès, R0 etc.)
-campagnes de presse forcenées
-censure électronique globale par les GAFA
… un autre outil est utilisé par les agents de la covidémence : les pressions financières.
La Banque Mondiale et le FMI utilisent la bourse pour remettre les rebelles dans le rang.
Ils ont ainsi proposé des prêts à la Bélarussie… mais avec des conditions. L’imposition d’un confinement total, sur le modèle italien.
Or la Bélarussie est un état empêcheur de couillonavirer en rond (comme la Suède, lire mon article ici).
Ils refusent le confinement (ils continuent même leur championnat de football, ce qui est une atteinte -grave- au narrative viral).
“It is ready to fund us ten times more than it offered initially as a token of commendation for our efficient fight against this virus. The World Bank has even asked the Healthcare Ministry to share the experience. Meanwhile, the IMF continues to demand from us quarantine measures, isolation, a curfew. This is nonsense. We will not dance to anyone’s tune,” said the president.
(source)
Lire également l’article sur ZeroHedge.