Caramba ! Encore raté !
Hier le Figaro et d’autres médias titraient :
Pour la première fois depuis la fin du confinement, il y a une augmentation du nombre de morts en France
Un bond des décès quotidien avait été annoncé (+120 !).
Catastrophe ! Effroi ! Sidération ! Consternation !
Enfin plutôt jubilation extrême au gouvernement. Le petit Olivier avait fait pipi sous lui tellement il était con-tent.
Et quelques heures après… la vraie catastrophe… le soufflé retombe… En faisant prout. Il s’agit en réalité d’un énième bidonnage couvert comme d’habitude par l’administration (et relayé par les médias zélotes).
il s’agit d’un «rattrapage de données» concernant «237 dossiers d’admissions dont 76 décès» enregistrés… jusqu’à la 29e semaine de l’année, soit celle du 19 juillet !
Pépère. Un hôpital dans l’Essonne (pas au fin fond de la Lozère, hein !)… qui avait “oublié” des dossiers datant de plus de 2 mois… !
En 2020. Et en pleine “terrible pandémie“… Ben voyons.
Le Figaro -suprême ironie- est de fort mauvaise humeur d’avoir été ainsi baisé…
Et écrit furibard :
“Contacté par Le Figaro, l’entourage d’Olivier Véran n’a pas répondu à nos sollicitations.”
😉
Ben oui. Le petit Olivier avait piscine… Il s’est caché dans les vestiaires.
Bref on récapitule : il ne s’est rien passé hier…
Le nombre des covidécès (moins de 50 par jour, sur un total de 1 600 toutes causes confondues) et des hospitalisations est parfaitement normal par rapport aux jours précédents.
Il n’y a pas d'”explosion“, pas de hausse “exponentielle“.
Mais plutôt une énième preuve de la branlologie de tous ces fonctionnaires et politiciens cons comme des enclumes, qui prennent leurs désirs pour des réalités.
On relève ce parfum entêtant et si français d’amateurisme, de mauvaise foi, de veulerie et de foutage de gueule.
Notons enfin que toutes ces malencontreuses “erreurs“… vont systématiquement toujours dans le même sens : un grossissement de la menace couillonavirale (exemples ici, et ici, et là, là encore, ou ici).
Monsieur Cyclopède n’en finit pas d’être étonné.