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France : et un test antigénique foireux en moins (retrait)

Mi-décembre 2020, les autorités sanitaires françaises ont été alertées d’un nombre trop important de faux positifs concernant le test antigénique VivaDiag Test Rapide SARS-CoV-2 Ag, commercialisé par VivaDiag. Dès le 17 décembre, la Direction Générale de la Santé a donc décidé d’appeler à la mise en quarantaine du produit dans les officines et tous les autres lieux distribuant le dispositif.(source Numerama).

Après enquête, la décision est tombée le 30/12 : retrait total.

« Les investigations complémentaires menées par l’ANSM ne permettent pas d’identifier les causes précises pouvant expliquer ces dysfonctionnements. Par conséquent, nous prenons une décision de suspension d’importation, de mise sur le marché, de distribution, de publicité et d’utilisation de ces tests. »

Le fabricant est une société… chinoise, Viva Chek.

Bien entendu.

Ce n’est pas la première fois que la Chine exporte des produits médicaux et des tests pourris.

Citons la Suède pour des tests PCR (lire mon article ici), ou encore l’Inde, et de nombreux autres pays.

Et il faut noter que ces “erreurs” vont toujours dans le même sens… Vous ne verrez jamais des tests qui produisent des faux négatifs…

Enfin on rappellera la fraude “institutionnalisée” des tests PCR… où il suffit d’un réglage de CT trop élevé pour chier du “cas positif asymptomatiques” par millions (les fameux infectés… mais qui ne sont pas malades, pas contagieux) afin de continuer à effrayer les populations….

A un tel niveau d’ailleurs, on ne peut plus parler de défauts de fabrication, mais bien d’un acte de sabotage, une fraude massive, organisée, globale et donc institutionnelle.

Et d’autant plus institutionnelle que un an après, rien n’a été fait pour corriger ce problème et fixer enfin une norme rationnelle.

Au-delà de 35 pour le CT, ces tests n’ont plus aucune signification. CQFD.

A l’IHU de Marseille, Raoult revendique un réglage à 35… et ils détectaient jusqu’à 40 % de faux positifs, en août et septembre !

C’est-à-dire que parmi les patients “infectés” qui avaient été diagnostiqués par un test PCR positif et qui arrivaient à l’IHU… jusqu’à 40 % d’entre-eux en réalité étaient négatifs (lire cet article) (l’IHU effectue un test PCR pour tout patient qui rentre).

C’est totalement ahurissant et rien que cette unique information aurait dû faire imploser la covidémence… Les autorités françaises, comme par hasard, ne se préoccupent pas de ce problème majeur. Circulez il n’y a rien à voir…

Mais le problème n’est pas que franco-français… Il est global (lire ici, ou ).

Durant la “première vague”, c’est la communication du nombre des morts (souvenez-vous, le croque-mort Salomon qui égrainait les bilans chaque soir à la télévision)…

Ensuite, durant l’été, le virus étant assoupi, la communication a embrayé (simultanément dans tous les pays occidentaux) sur le “nombre de cas”, avec en parallèle l‘explosion du nombre de tests pratiqués (une énorme manne financière pour quelques grandes sociétés, énième corruption légale, lire ici).

L’enjeu est ontologique… car ce sont ces millions de faux cas… qui permettent de justifier les confinements, les fermetures des frontières, des commerces, les lois d’exception et tout l’apparatus délirant de la covidémence.

L’Angleterre qui a mis le turbo (confinement général) annonce ainsi “60 916 nouvelles contaminations détectées en 24 heures” (source Le Figaro).

Ca n’a aucun sens, c’est totalement absurde, mais cela fait la manchette des journaux, occupe les télés, et achève de rendre fou de terreur le cheptel !

Imaginez CHAQUE JOUR l’équivalent d’une ville comme Colmar ou Béziers dont TOUS LES HABITANTS seraient en train de crever et iraient TOUS A L’HOPITAL EN MEME TEMPS ! Car infectés par le terrible virus.

Chaque jour. 😉

Bientôt 100 000 par jour ! Des millions ! Des milliards ! Un tsunami !

Et… 99 % de ces gens n’ont rien.

Sont en parfaite santé. Même pas le nez qui coule. Même pas un bouton d’acnée sur le nez.

On les appelle pudiquement les “cas asymptomatiques”. 😉

Répétons la question qui fâche : qui sont les complotistes ?

7 replies on “France : et un test antigénique foireux en moins (retrait)”

C’est bidonnant cette propension à merder sans arrêt :
– 1 milliard 400 millions de masques détruits, puis
– comédie des masques….comédie des tests…. comédie des vaccins ….

– mais je suis sûr qu’ils vont réussir enfin pour la relance de l’économie !

Castex menace du vaccin ARN mensonger “les plus de 75 ans hors Ehpad”
Va t’il falloir que je me réfugie dans un Ehpad secret ?

Je ne crois pas à ces positifs asymptomatiques. Si l’on attrape un virus, le temps d’incubation passé, on a forcément des symptômes. Sinon, c’est qu’on ne l’a pas attrapé, puisqu’on n’est pas malade !
Ce mensonge ne sert qu’à entretenir la panique. C’est en avril (ou mai) qu’on a entendu la fable des “porteurs saints”. Après avoir été bien conditionnés, sitôt les tests (PCR, pour ce qu’ils valent !) disponibles, les gens se sont rués vers les laboratoires pour se faire tester, sans se rendre compte qu’ainsi, ils entretenaient la bête immonde !

En fait, le choix du nombre de cycles influe sur le taux de positivité (rapport positifs / négatifs). La probabilité du diagnostic (malade/non malade) selon le résultat du test (positif/négatif) est définie par les deux taux de fiabilité (sensibilité et spécificité). Il s’agit d’estimer une marge d’erreur : les résultats paradoxaux (quelqu’un de bien malade qui est pourtant testé négatif et quelqu’un en pleine forme bien que testé positif, ce sont les faux négatifs et les faux positifs). Or il faut savoir que le taux de sensibilité du test représente la probabilité d’être positif sachant qu’on est malade et non la probabilité d’être malade sachant qu’on est positif. Le taux de spécificité est la probabilité d’être négatif sachant qu’on n’est pas malade. Les taux de fiabilité sont fixés par un test de référence (introuvable dans le cadre de notre affaire, objet d’un récent scandale en Allemagne, le test de référence ayant été établi dans ce pays). Si l’on souhaite avoir la probabilité inverse (en fait celle qui intéresse vraiment), c’est-à-dire la probabilité de tomber malade sachant qu’on est testé positif, il faut appliquer le théorème de Bayes https://scienceetonnante.com/2012/10/08/les-probabilites-conditionnelles-bayes-level-1/ Vous pourrez constater dans l’exemple fourni dans ce lien que les résultats sont plus que surprenants, même quand les taux de fiabilité des tests sont élevés.
Quant à communiquer un nombre brut de résultats positifs, c’est comment dire… vous l’exprimeriez certainement mieux que moi.

Vous oubliez un point important : la définition de “malade”…

Et là, la galaxie des probabilités se transforme en univers de… rire. 😉

Autant le diagnostic d’un cancer est relativement facile à poser… Mais le couillonavirus ? Forme… inexistante ? Léger rhume ? Petite toux ? Forme grave ? etc.

Bref, on le voit, cette affaire de tests PCR est une vaste fumisterie.

Car une personne “réellement” positive et qui développera “réellement la maladie”… peut soit éternuer, soit se retrouver en réanimation (ces 2 extrêmes n’ayant en plus pas le même poids statistique…).

Non, je n’ai pas oublié, cela permet juste de clarifier les choses pour expliquer la problématique statistique du test. Il y a un double biais à prendre en compte dans le cas d’un test à cycle. Celui de la fixation du cycle, et celui de la fixation des taux de fiabilité qui crée les “faux” et qui lui est valable pour tous les tests médicaux. Ensuite rien n’empêche de calculer une probabilité en définissant un déterminant, par exemple, celle d’être un malade grave selon le résultat d’un test (hospitalisations en cours + retour d’hospitalisation + décès). Nous sommes ici contraints par les données disponibles.
Par contre, comprendre le paradoxe mathématique (ordre du “sachant que”), nous apprend que parler d'”asymptomatique” ou de “réellement positif” est un non-sens. La racine du paradoxe étant que le résultat du test est binaire (positif et négatif), mais crée 4 catégories (deux vraies et deux fausses) selon un état de santé, quel qu’il soit mais bien réel, des testés.

A ce stade, la question n’est plus “qui sont les complotistes”, mais “qui sont les comploteurs”, les auteurs et membres du complot.

Question subsidiaire: les gouvernements sont-ils tous dans le coup, et complices, ou au contraire eux-mêmes victimes d’une manipulation, d’une opération de désinformation, tirant avantage de leur bêtise et de leur incompétence?

Et où est passé le camarade Popo-Vong, fondateur d’Ali Baba?

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