Categories
Chiffres

Comptez, il en restera toujours quelque chose

La Covidémence c’est d’abord une guerre des chiffres.

Les chiffres constituent la pierre angulaire du dispositif de propagande.

Deux indicateurs principaux :

-les cas

-les morts

Première remarque : avant on communiquait sur les morts (effet de sidération)… depuis qu’il n’y en plus aucun à se mettre sous la dent, on compte les cas (on teste beaucoup à présent alors qu’au début on ne testait pas).

D’autres données viennent en appui : nombre d’hospitalisations, nombre de cas “graves” (ceux en réanimation, les définitions peuvent varier), nombre de cas “asymptomatiques”, etc.

Les médias mettent rarement les données en perspective.

Ainsi :

-10 000 cas en France (population 67 millions)

-10 000 cas aux Etats-Unis (populations 330 millions)

Ce n’est pas la même chose.

Si on creuse davantage, on va trouver des données “synthétiques”, c’est à dire s’appuyant sur d’autres données.

Exemple : “le nombre de morts par millions”.

Cet indicateur permet de voir des anomalies. La Belgique apparaît ainsi hors clou (ils ne savent pas compter). Et que les Européens si arrogants qui crient à l’apocalypse aux USA et qui se foutent de la gueule de Trump… sont tous devant les USA. C’est balo.

(données au 17 juillet. Source https://fr.statista.com/infographie/21819/taux-de-mortalite-coronavirus-par-pays-deces-covid-19-par-habitant/ )

Mais cet indicateur est défectueux, puisqu’il repose sur une donnée pourrie au coeur : le nombre de morts provoqués par le couillonavirus.

C’est quoi au juste une personne tuée par le virus ? Si cette personne a 90 ans, et plusieurs pathologies… est-ce le virus qui la tue ? Ou bien elle décède d’autre chose… en étant positive au virus ?

Les pays ont leurs propres critères, et bien entendu certains truquent les chiffres pour accroître la perception de la menace, du risque.

Quant aux cas… là aussi, données pourrie. Car variable dans le temps. Si je fais 100 tests par semaine, ou 500 000, forcément je change de perspective et donc de sens.

Et là encore chaque pays fait sa propre sauce. Certains ont testé beaucoup tout de suite, certains testent peu (et demeurent sur cette position), certains augmentent régulièrement le nombre de tests, etc.

Donc toute comparaison entre pays n’a aucun sens.

Clou dans le cercueil : ces tests ne sont pas totalement fiables (20 % de faux positifs à Marseille, parmi les positifs qui arrivent à l’IHU ! ).

Enfin, troisième étage de la fusée couillonavirale : les indicateurs techniques et hyper synthétiques, s’appuyant sur… du vent.

Exemples :

-le R0 (taux de reproduction du virus : nombre moyen de cas secondaires provoqués par une seule personne infectée). On comprend bien que ce “machin” n’est pas fiable car calculé avec des indicateurs au doigt mouillé , totalement fantaisistes : “le risque de contracter le virus lors d’un contact”, “le nombre de contacts sur une unité de temps”, “le nombre de jours où une personne infectée est contagieuse”. Comment sérieusement évaluer le “risque de contracter le virus lors d’un contact” ? En plus avec des moyennes. Bref, c’est un étron dans un bas de soie médiatique. Pourtant, des mandarins et les petits princes vont vous dire via BFM TV : “le R0 a passé le 1, donc c’est dangereux” etc.

-le taux de létalité apparent, en anglais case facility rate (CFR) : “il s’agit du rapport entre le nombre de décès imputés à une maladie et le nombre de cas confirmés de celle-ci. Rapport nombre de cas et nombre de décès.” Et comment on détermine le nombre de cas ? Si on fait peu de tests ? Ou si on en fait beaucoup ? Poubelle.

Résumons : cas et morts… les 2 données les plus communiquées… sont pourries, et rendent les comparaisons entre pays vides de sens.

Il n’y a qu’une SEULE DONNEE VALIDE, PERTINENTE, ET IMPOSSIBLE A MAGOUILLER :

En France l’état civil. On connaît à l’unité près le nombre d’individus qui naissent… Et le nombre de ceux qui décèdent. C’est carré.

En France, 600 000 personnes meurent chaque année (610 000 en 2018, 606 000 en 2017)

Si donc le couillonavirus est une formidable menace pour l’humanité… alors nous devrions voir une hausse de cette mortalité totale, le virus fauchant des individus en bonne santé, qui ne seraient pas morts si l’épidémie n’avait pas eu lieu.

Sauf que… non.

Nous savons que le virus a “sur-tué” entre fin mars et fin avril, par rapport aux années précédentes. Un mois exactement. Un tout petit mois. Début mars 2020, le nombre de décès toutes causes étaient INFERIEUR à celui de 2019 ou 2018.

Et depuis mai 2020… là encore les décès toute cause sont inférieurs à 2018.

La même constatation a été faite… en Suisse : moins de morts toute cause du 1er janvier à fin juillet ! (lire article ici).

Où est donc la fin du monde ? La terreur ? Bien entendu, les covidéments ont préparé leur réponse : “on a évité la fin du monde grâce au confinement” etc.

Argument bien entendu spécieux, voire même faux (le confinement ne réduit pas l’épidémie, le confiment avait pour seul objectif de “lisser” le bordel dans les hôpitaux. Et même au contraire, le confinement a pu agraver les effets de l’épidémie… avec le délire des consignes officielles : “vous avez de la fièvre ? Prenez du doliprane…. Attendez de bien développer des symptômes très graves, et alors seulement rappelez-nous, on viendra vous chercher pour vous achever à l’hosto en réa“.

Et on ose encore nous parler du “système de santé le meilleur du moooooooooônde” ? !

Par ailleurs on notera la crapulerie absolue de l’Insee qui consiste à commencer le comptage… le 1er mars (source ici)

Ce qui est absurde. Et qui permet de discrètement et fort opportunément “sauter” janvier et février… les mois où la grippe saisonnière tue le plus… Or en 2020 la grippe (normale) a peu tué en hiver… Si l’Insee commençait sa série, comme la logique l’impose, au 1er janvier, nous verrions que le terrible virus a finalement… peu “sur-tué” par rapport à 2019 et 2018 surtout (année à forte grippe).

Autre fait indépassable mais qui échappe à tous les neuneus : de nombreux “morts du Covid” seraient… morts de toute façon en 2020 ! Le virus a simplement avancé de quelques mois leur décès.

Choquant ? Oui, vous avez le droit. Prenez une verveine.

Conséquence : la “sur-mortalité” apparente entre fin mars et fin avril 2020, c’est à dire le coeur de la terrible “pandémie“…. pourrait fin décembre se trouver totalement.. “lissée“… Et finir par n’être plus qu’un pet de mouche sur le radar de conduite de tir d’un Rafale !

Aïe.

Et là que diront les covidéments ? “Tout ça pour…. ça ?

Ou alors “ah crotte, on s’est bien fait enculer” ?

Je vous rassure tout de suite : ce ne sera ni l’un ni l’autre.

Mais plutôt : “Chérie viens voir la télé, sur BFM ils font un reportage sur les incivilités”.

Ou : “On se fait un kebab ce soir ?”

Voire : “Bon pour la présidentielle, je vais devoir voter Macron, pas le choix hein“.

Categories
Vrac

Enfants : les victimes

“Mon papa est un criminel. Et un triste connard”

Maintenant que l’opération “Terreur masquée” a passé la surmultipliée (port obligatoire dans les lieux fermés depuis lundi 20/07)… nous croisons dans la rue des enfants. Jeunes. Portant le masque.

A ce moment, je ne pense pas “Karen”, mais plutôt “victimes”.

Très tôt (février), les données statistiques venant de Chine ont montré que le couillonavirus ne s’attaquait pas aux enfants. Ensuite, toutes les autres séries de données dans TOUS LES PAYS ont pointé le même fait.

Les données sont IDENTIQUES dans TOUS LES PAYS : quand allez-vous cesser d’être de sombres crétins ?

Contrairement d’ailleurs à la grippe hivernale… les enfants échappent à la covidémence. Point barre.

Bien entendu c’est un fait inaudible pour l’appareil de propagande et l’armée des glands, les idiots utiles. Quelques timides tentatives ont été faites pour terroriser le cheptel avec le coup de la “maladie de Kawasaki”… Quelques dizaines de cas spinnés au UK, New York, France… Puis ça a fait pschit, bien entendu.

Malgré tout cela, nous avons détruit leur année scolaire. Nous les terrorisons. Nous faisons dans leurs petits crânes encore mou… des dégâts irréversibles (masques, “distanciation sociale” etc.)

Plus fort encore : une étude Pasteur publiée en juin montre que les enfants… ne contaminent pas à l’école. Et sont plutôt infectés… par leurs parents !

“Dans l’ensemble, les résultats de cette étude sont comparables à ceux d’autres études réalisées à l’étranger, qui laissent entendre que les enfants de 6 à11 ans s’infectent plutôt en milieu familial qu’à l’école. La principale information nouvelle apportée par cette étude est que les enfants infectés n’ont transmis le virus ni aux autres enfants, ni aux enseignants et ni aux autres personnels des établissements scolaires.”

Ca fait mal aux fesses, non ?

Mais attendez le cirque en septembre, lors de la rentrée scolaire… Je peux déjà vous annoncer que ça va etre dantesque.

Les parents Karen refuseront d’envoyer leurs mômes. Les profs branleurs refuseront de travailler : “droit de retrait”. Et patati et patata.

Sans oublier le si français : “pas assez de moyens ! ” 😉

Un point positif de la Covidémence : tout est tellement téléphoné. Elle s’appuie sans vergogne sur les bons vieux “biais” cognitifs, et les catégories.

Ainsi, même… un enfant pourrait prévoir la manière dont la catégorie “professeur” va se comporter face au virus.

Les mecs ont la pétoche, sont cons comme des enclumes, sont persuadés qu’ils vont être infectés (alors qu’ils sont jeunes, l’âge moyen des nouveaux enseignants est de 30 ans), et sont de toute façon pour la plupart gauchisants et donc covidéments (la corrélation est très forte).

Les enfants sont honteusement utilisés, fantasmatiquement, par la propagande (“mon enfant pourrait mourir ! “). Les effets sur le cheptel sont redoutables.

Sans égard pour les effets bien réels eux, sur la psyché de ces jeunes victimes.

Categories
Vrac

“Je m’appelle Karen…”

Je conduis ma voiture hybride avec les fenêtres fermées, mon flacon de gel hydro-coco-lique de chez Guerplain sur le siège avant, je suis bobo-neuneu, j’ai voté PS, puis les Verts puis Macron puis re Les Verts (ou roses je ne sais plus), mais surtout je mets mon masque quand je conduis, car en regardant BFM TV j’ai compris que je devais être terrifiée. Je suis conne comme une enclume.

Karen est jeune. Donc pas une cible pour le virus.

Grâce à une alimentation équilibrée elle a évité l’affreux cholestérol, l’odieux diabète.

Karen est strictement blanche. Elle pratique le yoga zen, ainsi que le sport en chambre avec son compagnon Kevin. Sans excès. Cachez votre déception… Karen n’est même pas bisexuelle ! Mais elle est #MeToo.

Enfin Karen n’a pas -encore- développé son petit cancer du sein. Bref, physiologiquement, elle pète le feu.

Elle est seule dans sa voiture. Les fenêtres sont fermées.

Son risque couillonaviral est donc égal à… zéro.

Et pourtant, elle porte son masque au volant.

Karen n’est pas une abstraction -hélas. On en voit à Paris et ailleurs.

Si physiquement Karen coche toutes les cases Insee de l’espérance de vie longue comme le membre de Kevin (faudra quand même surveiller le cancer qui se prépare) c’est bien entendu dans sa tête que ça cloche… Karen est atteinte de Covidémence.

Karen est malade.

Sous ses mèches de cheveux, c’est la “tempête de cytokines” permanente.