J’ai retrouvé un article fascinant.
Lien : https://leblogalupus.com/2021/04/06/entretien-avec-le-dr-vanessa-schmidt-kruger-le-blog-de-skidmark/
Il s’agit d’un verbatim de l’intervention de Vanessa Schmidt Kruger devant un comité d’enquête créé par Reiner Fuellmich (en Allemagne) et consacré au couillonavirus.
Pardon, à l’affreuse pandémie.
Elle affiche au compteur plus de 20 ans d’expérience en biologie cellulaire.
Son intervention –RETENEZ BIEN CETTE DATE– a eu lieu le 30 janvier 2021.
Contexte : nous sommes alors en pleine covidémence. L’hystérie “vaccins ARNm” débute.
Israël a commencé les injections de Pfizer… le 19 décembre 2020 (avec déjà la crapule Benjamin Netanyahu à la manoeuvre…).
Soit un mois et demi avant.
Voici des extraits qui démontrent… que DES LE DEBUT, des experts -des vrais- avaient repéré les principaux problèmes posés par les poisons ARNm.
LES LNP
nanoparticules lipidiques (LNP). Cette technologie n’est pas vraiment nouvelle: c’est une nouveauté en tant que vaccin, mais nous utilisons ces LNP dans la recherche depuis plus de 20 ans, et nous avons toujours été aux prises avec le problème de la toxicité des lipides et le fait de l’équilibrer avec leur efficacité.
CONTAMINATIONS
[je rappelle que Raoult parlait aussi des contaminations ADN début 2022… Bref, ce n’est absolument pas nouveau]
le vaccin BioNTech qui est déjà utilisé actuellement n’est pas hautement purifié, il contient des contaminants de certains composants
PRODUCTION
Et puis il ne faut pas oublier que l’optimisation de la production est également importante, il faudrait sûrement au moins un an pour cela. Cela n’a pas du tout eu lieu. Le vaccin est déjà vendu et utilisé, mais l’optimisation de la production n’est pas encore achevée. Et il y a des lacunes considérables.
ARN MODIFIE, LOTS
Une question que je voudrais aborder concerne les déficiences liées à la substance active: j’entends par là l’ARN modifié qu’ils synthétisent. En deuxième lieu, il y a des lacunes dans la cohérence des différents lots de production: ils doivent toujours être cohérents pour que l’on obtienne toujours le même volume et la même qualité de vaccin.
METHODES DE FABRICATION
[question fondamentale… et connue répétons-le depuis le début ! A l’époque pourtant, ce fait ne parvenait pas à percoler. Cela met en lumière le problème sous-jacent des contaminations ADN qui a été “redécouvert” en quelque sorte en 2023, grâce à des analyses].
Le problème rencontré par BioNTech est que dans la phase clinique, le produit, c’est-à-dire l’ARN, a été fabriqué avec des techniques complètement différentes de la façon dont il est produit actuellement. Pendant la phase clinique, ils n’avaient besoin que de petits volumes de vaccin, ils ont pu utiliser des techniques très coûteuses qui ont livré des produits finaux hautement purifiés. Maintenant qu’ils sont entrés dans la production de masse, ce n’est plus possible, ils ont dû passer à des processus moins coûteux, par ex. en utilisant d’énormes quantités d’ADN […] Les bactéries multiplient l’ADN en quantités énormes, ce qui entraîne de nouveaux dangers ou risques, en particulier de contamination.
TRANSPORT
[vous vous souvenez du délire… au sujet des “super frigos” à -70 degrés ?]
Des exigences ont également été formulées concernant le fait qu’ils n’ont pas réalisé d’étude de vérification du transport. Cela signifie qu’ils n’ont aucune idée de la viabilité du vaccin après le transport. Cela est actuellement en cours.
LOTS DIFFERENTS
[à ce sujet je vous invite à lire l’article de P.Gibertie]
Et puis, ils n’ont pas de norme appropriée pour les différents lots.
Il a été constaté que l’intégrité de l’ARN varie toujours dans les lots qui ont été fabriqués.
LE MYTHE DU “RESTE DANS LE MUSCLE”
[là encore, cette conspiration semble avoir été démontée très récemment… alors que les experts ont toujours su]
les nanoparticules lipidiques pénètrent dans toutes les cellules, pas seulement les cellules musculaires – c’est une erreur de le croire.
INTEGRATION ADN / CONTAMINATION
Il est donc théoriquement possible que cet ADN linéarisé qui est là en tant que contaminant puisse s’intégrer dans le noyau de la cellule de l’hôte dans une cellule en division, l’ADN linéarisé est optimal pour l’intégration. L’ADN circulaire ne l’est pas. L’ADN des bactéries est circulaire et n’est pas aussi facile à intégrer. Cela arrive, mais pas si souvent. Mais dès que vous rencontrez une situation comme celle-ci, cela se produira plus souvent. Voilà le risque. Je ne voulais pas vraiment entrer dans ce qui peut arriver si tel est le cas: les gènes peuvent être activés et désactivés, régulés à la hausse et à la baisse, le cancer peut se développer – il y a beaucoup plus de possibilités. Il faut donc absolument réduire cette contamination.
LE PROBLEME DE LA DOSE
Donc, pour résumer, le vaccin a un effet positif, mais la critique est qu’il n’y a pas de corrélation positive entre les différentes doses de vaccin, c’est-à-dire que nous constatons le même effet à 10, 20 et 30 microgrammes. Malgré cela, ils veulent utiliser 30 microgrammes comme dose de vaccin. Bien que 30 microgrammes aient beaucoup plus d’effets secondaires que 10 microgrammes. Les avantages sont les mêmes, mais le risque est différent. Cela n’est pas scientifiquement justifié. […] Il n’y a tout simplement aucun avantage supplémentaire si j’augmente le volume d’ARN dans ces tests.
GENOTOXICITE
[ça c’était écrit dans les docs de Pfizer à la FDA en novembre 2020 ! … Mais là encore, ce simple fait, indiscutable, est passé totalement dans la trappe mémorielle et de la propagande !]
Aucune étude de génotoxicité n’a encore été réalisée. Ils disent qu’ils n’ont pas besoin de le faire car «aucun potentiel génotoxique n’est à prévoir». Mais on sait depuis 20 ans que les lipides cationiques sont hautement toxiques. Dans quel univers vivent-ils?!