Depuis le mois de mai 2020, certains étudient les effets du monoxyde d’azote sur le couillonavirus.
Kézako ?
Concrètement, c’est un atome d’oxygène et un atome d’azote. Soit NO. Ou encore l'”oxyde nitrique”. 😉
Mais plus prosaïquement c’est un machin utilisé… par notre organisme.
Quand vous respirez par le nez… vous fabriquez un peu de monoxyde d’azote (via les sinus). 😉
Ce truc est un vasodilatateur. Ca tue les bactéries aussi. Et c’est même utilisé par nos celluses nerveuses.
Et messieurs vous apprécierez ce fait… la production de NO joue un rôle important dans… l’érection. Nom d’une pipe !
Dès la crise du SARS en 2003 (l’ancêtre du couillonavirus)… on a étudié la piste du NO comme arme anti-virale.
Lien : https://www.santelog.com/actualites/covid-19-la-piste-de-loxyde-nitrique
Et voilà qu’une société canadienne, SaNOtize Research & Development Corp., s’est associée avec un labo indien, pour produire un spray nasal… contre le Sars Cov2.
“In March, SaNOtize’s clinical trials showed NONS was a safe and effective antiviral treatment to prevent the transmission of COVID-19, shorten its course, and reduce the severity of symptoms,” Glenmark said in a statement. “In the first 24 hours, NONS reduced the average viral load by around 95%, and then, by more than 99% within 72 hours. It has been tested in healthy volunteers and patients as part of U.K. and Canada clinical trials,” it said. (source The Hindu)
Ce produit est basé sur ce fameux NO.
Le principe revient à faire la peau du virus dès qu’il tente de pénétrer les voies supérieures.
Quand les glands se moquent de Didier Raoult et de son idée au sujet du “Vicks” (lire ici), l’idée de lutter contre le virus via un spray nasal, pour tout simplement bloquer une portée d’entrée, n’est pas si absurde.
Rappelons que l’idéologie covidémente qui nous pourrit la vie depuis un an et demi nous répète qu’il n’y a aucun traitement à part le doliprane, et aucune solution prophylactique à part le confinement à la chinoise…