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Mutants

Y’a du mou dans le mutant Mu

Mu a bouffé le mou du chat. Quel salopard !

Comme prévu, le mutant colombien dit “Mu” arrive pile poil pour la rentrée et l’automne dans l’hémisphère nord.

On s’est bien marrés avec le variant indien pendant tout l’été, certes… mais il est temps de changer les comédiens, les artistes, les modèles pour la collection automne-hiver 2022

Le couillonavirus est en effet une comédie saisonnière.

On commence ainsi à signaler le mutant Mu aux Etats-Unis et en Angleterre où un nombre incroyablement stupéfiant de cas ont été détectés : 53 (source). 😉

Ne riez pas ! Il faut un début à tout. Il faut laisser sa chance au produit. Pardon, à l’artiste.

En Californie, on dénombre 384 cas (horreur). Mais aussi Floride, Maine et Connecticut.

Bref, vous avez compris le scénar’.

On attend désormais avec impatience les premiers cas en France et la tête inquiète d’Olivier Variant, tous sourcils froncés, et la gueule d’enterrement de tous les médecins-plateaux-TV qui appelleront à la “plus grande vigilance” face à ce nouveau variant couillonaviral… Car… comme à chaque fois… la bête pourrait être très dangereuse ! C’est le principe du truc nouveau… faut toujours se méfier.

On a vu le même scénario pour l’Anglais, le Sud-africain, l’Indien…

Rincez, répétez.

L’hiver sera donc Mu mais pas mou.

Manu a encore abusé de la poudre colombienne qui fait rire.
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Saloperie et sida mental

Quand les officiels australiens revisitent le Portrait de Dorian Gray

“Un peu d’Oscar Wilde, Un peu de Dorian Gray, Quelques lueurs froides, Et un air glacé. Beau comme Bowie” chantait Gainsbourg via Adjani… Pour Kerry Chant va falloir repasser !

Le visage reflète l’âme.

Et certains ont du mal à cacher leurs immondices intérieures…

Travaux pratiques : prenez cette gueule.

Il s’agit de la trogne de Kerry Chant, le “médecin en chef” (l’équivalent de notre saumon national, Salomon) de l’état australien de la Nouvelle-Galles du Sud.

La question de la beauté extérieure est ici manifestement dépassée. C’est bien la noirceur de l’âme que l’on voit plutôt.

En regardant ce visage, tu sais que rien de bon n’en sortira. Tu sais que tu as en face de toi une covidémente forcenée, méchante, psychotique…

“We need to get used to being vaccinated with COVID vaccines for the future … I can’t see COVID is not going to be with us forever,” said Chant said during a press conference last week. (source ZeroHedge).

“As a public health doctor we always want to have diseases go, to be totally eliminated, but that is not on the horizon in the near future,” she continued. “Booster doses and repeat doses will be part of it.

Dans l’autre hémisphère, ce docteur Mengele en jupons (?) parle calmement du Reich Couillonaviral de 1 000 ans, nécessitant forcément des injections… répétées. Ceci est une évidence pour elle. Une évidence… euh… médicale.

Car selon elle, un médecin veut avant tout éliminer totalement toutes les maladies…

Même si cela revient à éliminer les patients aussi.

Bon courage aux Australiens… Ils n’ont pas fini d’en baver…

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Saloperie et sida mental

Burno Lemaire : “Le Covid est bon pour l’économie”

Voire même bon tout court. Hein ? Non ! Il n’a pas dit ça ? Si. La paraphrase est vraiment légère…

Le pseudo ministre de l’économie (?) fraônçaise, le fameux Burno, est un spécialiste :

C’est normal, il a fait l’ENA.

Au menu donc des énormités du jour dans la catégorie “la guerre c’est la paix” de papy Georges :

Le ministre a rappelé que le passe sanitaire était «bon pour l’économie» (source Le Figaro)

C’est fort non ?

«C’est la relance qui fait la croissance»

Sans oublier :

On veut atteindre avant fin 2021 le niveau économique d’avant la crise.

Tu dépenses 400 myards que tu n’as pas pour une pseudo pandémie, tu fais chier la terre entière, et ensuite tu dis que c’est de la “croissance“.

Peut-on trouver meilleure illustration du principe Shadock ? Faire des trous puis les reboucher (donc pomper) c’est de la croissance.

Claude Piéplu en tant que Shadock 1er n’avait rien inventé au fond.

Des humoristes avant lui comme les Soviétiques, ou encore Franklin D.Roosevelt (si, si), ou encore plus récemment… la mairie de Paris (la femme de ménage Anne Dingo est une spécialiste, comme tous les socialos) jusqu’aux Japonais fanatiques (arigatoooo gozaimasu !) qui s’amusaient il y a 30 ans à construire des ponts… vers nulle part.

Pomper… on y revient toujours.

C’est l’alpha et l’omega de tous ces politiciens dégénérés, veules et sans imagination.

Je pompe donc je suis.

Nous pompons donc nous faisons de la croissance du PIB.

Ergo… le Covid c’est bien !

Eh oui, c’est bien une énième déclinaison du principe de la pompe.

On détruit avec une pseudo pandémie (on fait des trous) puis on trouve des “solutions”, comme des vaccins qui coûtent un bras et qui sont parfaitement inutiles et que l’on paye avec du pognon qu’on n’a pas, on détruit des emplois et on les conserve en donnant des aides avec du pognon qu’on n’a pas (on rebouche les trous).

C’est pourquoi la photo (honteusement piquée chez H16) s’impose :

Burno le Ravi. Certains sont cons comme une enclume. D’autres sont cons comme une burne. Le cas de Burno est comme un pendule, suspendu, entre ces deux propositions.