Je n’ai de cesse d’affirmer que Trump est un artiste : le génie du trollage.
Dans un article précédent, j’expliquais comment Trump allait piéger le parti Démocrate et les gauchistes via la lutte contre la criminalité.
Après Los Angeles, Washington DC, il allait envoyer la garde nationale dans toutes les villes shitholes dirigées par des apparatchiks à côté de leurs pompes.
Et que les “antifas” finiraient par organiser des manifs avec des pancartes du style “Laissez en paix nos criminels“, “Lutte contre l’insécurité = fascisme“, “La police est coupable“, “La délinquance est un droit de l’homme“, etc.
Trump incarnant et paraphrasant le lieutenant colonel William Kilgore dans le film… Apocalypse Now ! Celui qui ordonne un bombardement au napalm épique sur la ligne de frondaison, sur une plage vietnamienne, au plus fort de la guerre.
Du génie politique. Il trolle le shithole criminogène de Chicago !
Comme prévu, les gauchistes qui tiennent la ville font des embolies, des arrêts cardiaques à répétition.
Et comme prévu, ils se piègent eux-mêmes.
Fin août, un terrible meurtre, sauvage, a été commis (à Charlotte, Caroline-du-Nord).
Une jeune réfugiée ukrainienne de 23 ans, qui se rendait sur son lieu de travail a été poignardée plusieurs fois à la gorge par un noir cinglé, arrêté 14 fois pour agressions, coups, violences et pourtant toujours en liberté.
La scène a été filmée par la caméra de surveillance du train.
Le contraste est saisissant. Et je ne suis pas loin de partager l’avis de ceux qui disent que les Démocrates viennent de perdre les mid-terms, à cause de cette juxtaposition.
Une preuve : le silence ABSOLU des grands médias mainstream (CNN, New York Times, Wall Street Journal, BBC, etc.). Ils sont tétanisés. La nouvelle du meurtre de la réfugiée ukrainienne est censurée. En France, seul l’hebdomadaire Valeurs Actuelles a fait un article.
Une victime perpétuelle (le jeune noir) qui tue une sur-victime (la malheureuse Ukrainienne qui a fui la guerre et qui finit égorgée comme une truie dans le pays de la liberté qui était censé la protéger).
Toute la pathologie mentale des gauchistes est encapsulée dans ce tragique événement. Leur cerveau, du moins ce qu’il en reste, implose sous le poids des contradictions.
Les électeurs, les Américains du quotidien, les petites gens, les “gueux” comme on dit en France, ceux qui vivent encore selon la “common decency” chère à G.Orwell… eux n’oublieront pas le jour du vote.
“The horror. The horror”. Trump-Kurtz est leur pire cauchemar.
Voilà le résultat, après le passage du bus spécial… Un feu d’artifices géant !
Le 1er septembre, Trump a publié un message stupéfiant (sur son réseau social, Truth). Traduction :
Il est crucial que les laboratoires pharmaceutiques justifient le succès de leurs différents médicaments contre la Covid. Nombreux sont ceux qui pensent qu’ils représentent un miracle ayant sauvé des millions de vies. D’autres ne sont pas d’accord ! Alors que les CDC sont déchirés sur cette question, je veux la réponse, et je la veux MAINTENANT. On m’a montré des informations extraordinaires de Pfizer et d’autres, mais ils ne semblent jamais en rendre compte au public. Pourquoi pas ? Ils passent à tout autre chose et laissent tout le monde s’entre-déchirer, y compris Bobby Kennedy Jr. et les CDC, pour tenter de comprendre le succès ou l’échec des travaux des laboratoires pharmaceutiques sur la Covid. Ils me montrent des chiffres et des résultats exceptionnels, mais ils ne semblent pas les montrer à grand monde. Je veux qu’ils les montrent MAINTENANT, aux CDC et au public, et qu’ils mettent fin à ce désordre, d’une manière ou d’une autre ! J’espère que l’opération Warp Speed a été aussi brillante que beaucoup le disent. Sinon, nous voulons tous en être informés, et pourquoi ?
Vous connaissez ma thèse : il était évident que le bus allait finir par arriver et que certains finiraient sous ses roues (image que j’ai souvent utilisée pour le criminel Fauci)… 😉
Le message de Trump est extraordinaire par sa franchise… mais aussi par ce qu’il masque en creux. Comme une terrible menace.
Trump dit d’abord que de nombreuses personnes pensent que les vaccins Covid sont un “miracle“. Puis, il admet que d’autres “ne sont pas d’accord“…
C’est la première fois que cette opposition est admise, au plus haut niveau.
Il le martèle encore avec l’expression “échec ou succès” qui inclut donc l’impensable (un échec). Le tout constituant un “désordre“.
Quel grand bond en avant !
Et on comprend pourquoi la presse française a totalement occulté cet événement. Le président des Etats-Unis qui dit que toute la “vaccination Covid” a été soit une réussite, soit un échec. Allô Olivier Verreux, où es-tu ? Allô Manu ? Tu t’es réfugiée chez ta maman ? Ah pardon, tu vis avec.
C’est extravagant !
Ensuite, il brode sur des informations “extraordinaires de Pfizer“… qui sont montrées au président… mais PAS AU PUBLIC.
Ici, on comprend en filigrane qu’il trolle.
Car enfin, si Pfizer a caché des informations au public… elles ne peuvent pas être “extraordinaires” !
On cache quelque chose de négatif. Pas de positif.
Vous imaginez tonton Bourla, l’air angoissé devant son conseil d’administration :
“Les gars, c’est la catastrophe. Notre vaccin a 375 % d’efficacité, il fait revenir l’être aimé, il transforme l’eau en Château Pétrus 1982 et il peut même ramener la paix dans le monde. C’est trop ! On ne peut pas le révéler au grand public, nos clients. On va se faire trop de couilles en or. C’est épouvantable. Bon, on prévient le président, mais il faut absolument tenir ces données secrètes”.
Oui c’est Trump qui a mis en place l’opération Warp Speed (pour accélérer la création/déploiement des vaccins ARNm en 2020)… mais sur la base… forcément… de ‘”chiffres et des résultats exceptionnels” fournis à l’époque par son administration (des traîtres) et les fabricants (corrompus).
Et il finit ainsi par reconnaître que -peut-être- l’opération Warp Speed n’a pas été aussi “brillante” qu’annoncée… Et dans ce cas “nous voulons tous en être informés, et [savoir] pourquoi“.
La conclusion me paraît imparable : Trump prépare le terrain pour la Grande Révélation… c’est-à-dire la bombe nucléaire politique qui détruira le parti Démocrate (faux nez d’une partie de l’état profond) pour plusieurs générations.
Une seule bombe qui pourrait déterminer l’issue de la guerre civile américaine.
Et le fait de s’y atteler 7 mois après le début de son second mandat n’est pas anodin. Ce n’est ni trop tôt (faire cela le 21 janvier aurait paru précipité, suspicieux, partisan et son équipe manquait de données confidentielles), ni trop tard (afin de pouvoir capitaliser politiquement sur ce scandale démentiel).
Et répétons-le (un fait ignoré par certains antivaxx) : Trump n’y est pour rien.
Il a été trompé en 2020 par l’administration et par Pfizer/Moderna, qui ont tous menti, enjolivé le Réel, et présenté des “chiffres et des résultats exceptionnels” (efficacité 95 %, protège de la transmission… blabla… un cortège invraisemblable de mensonges, de bidonnages).
On l’a oublié, mais le “Covid” fut d’abordun coup d’état contre lui.
On lui a volé sa réélection (qui était assurée en janvier 2020). Vous croyez qu’il a oublié ? Qu’il a pardonné ? Trump 2 incarne la vengeance.
Les enjeux sont colossaux, à l’échelle du crime commis contre les Etats-Unis et les autres pays occidentaux.
Une conspiration criminelle impliquant de nombreux rouages de l’état, de nombreuses institutions publiques et privées, et ce au PLUS HAUT NIVEAU.
Cette conspiration s’est poursuivie (et pour cause) durant le pseudo mandat de Joe Biden.
Ils ont commis UNE SEULE ERREUR et une erreur fatale.
Ils ne pouvaient pas prévoir le retour de Orange Man Bad à la Maison Blanche !
Trump 2 était une impossibilité, même pas un cygne noir.
Et pourtant. Le miracle s’est produit.
Ne craignons pas les superlatifs. Trump tient entre ses mains le détonateur d’une bombe thermonucléaire politique.
Osera-t-il ?
Il n’a plus rien à perdre, ni à prouver. S’il appuie sur le bouton, il peut se hisser au firmament de l’histoire politique. A une altitude rarement atteinte par un dirigeant de l’ère moderne.
Pour un homme comme Trump, avec son égo démesuré, une telle perspective ne doit pas laisser indifférent… 😉
POST-SCRIPTUM
Remettons une fois pour toute la Maison Blanche au milieu de la pelouse.
Il est facile de penser que Trump et son vice-président ne sont pas au courant. Ils vivent dans une bulle, perdue dans l’éther du pouvoir.
Nous les sans-grades, les conspis, des médecins résistants, des statistiens honnêtes… nous accumulons une somme énorme de données, de faits, de témoignages depuis 2020.
La nocivité des poisons ARNm est avérée. L’absurdité pratique de cette technologie, sa dangerosité intrinsèque (biodistribution, quantité de protéines produite, etc.), les mensonges, les morts, les blessés : nous savons tout cela.
Mais pas Trump ? Pas son vice-président ? Pas ses ministres ? Les gars, ils savent lire comme nous. Mieux : ils possèdent des données que NOUS N’AVONS PAS !
Bref, ils savent. Idem pour ceux qui les entourent (RFK, Robert Malone etc.) Et en prime ils ont accès aux données classifiées.
La seule question -politique- est donc : oseront-ils ?
Et si oui, le camp adverse parviendra t-il à les neutraliser ?
En janvier 2015, juste après le coup d’état du général Prayuth, les militaires thaïlandais arrêtent et emprisonnent une femme, fonctionnaire. Le dossier est ensuite transféré à une cour civile. En 2021, elle reçoit une peine -record- de 87 années de prison… réduite par la suite à 43 années car elle plaida coupable.
La veinarde ! 😉
Son crime ? Lèse-majesté. Le fameux article 112 du code pénal.
Concrètement, elle avait relayé 29 fois sur Internet un clip audio qui diffamait le monarque. Les juges ont donc infligé 3 ans de prison pour chaque copie. Au moins, arithmétiquement, c’est simple à comprendre…
Suite à une grâce royale, elle vient d’être libérée.
Si on ajoute sa détention préventive et son temps de prison effectif pour sa condamnation, elle aura quand même passé 8 ans derrière les barreaux.
La monarchie sait donc pardonner. C’est tout à son honneur. Il n’en demeure pas moins qu’on ne plaisante pas avec l’article 112.
Je rappelle sa quintessence : n’importe quel citoyen peut déposer plainte…
La police, les juges sont alors obligés d’enquêter voire d’instruire… sous peine eux-mêmes de tomber sous le coup de l’article 112 (car ignorer un cas de lèse-majesté… serait bien entendu un cas de lèse-majesté !)
Et la nature précise de la diffamation ou de l’insulte n’est JAMAIS rendue publique puisque cela constituerait en soi… un crime de lèse-majesté.
Vous l’aurez compris, c’est un outil judiciaire aussi puissant que circulaire.
Si je ne me gêne pas pour critiquer les politiciens et les militaires du pays… je ne critique JAMAIS le roi ni sa famille, ni la monarchie en tant que système institutionnel.
Et jamais signifie jamais.
La sagesse de la Rome antique -bien antérieure à la monarchie thaïlandaise- me permet d’accepter sans difficulté cette impérieuse nécessité.
Comment ?
C’est simple.
“A Rome, fais comme les Romains” (“Si fueris Romae, Romano vivito more; si fueris alibi, vivito sicut ibi“).
Tout a été dit -et plutôt bien dit- il y a plus de 1 600 ans !
Si seulement les millions de “migrants” qui ont envahi la France, pardon qui sont arrivés par la grâce du Saint Esprit, pouvaient respecter le même impératif…
Les gauchistes et plus largement les crétins ne comprennent ni l’essence, ni l’importance de cette règle qui rend possible l’altérité.
C’est exactement comme la frontière. Plus qu’une évidence géographique… il s’agit d’une évidence humaine (et même, osons-le mot, animale)… mais qui est systématiquement incomprise par les benêts hurlant au racisme et au “fâââchisme” (et d’autres mots en “isme” ou “phobe”).
Respecter les us et coutumes locaux et respecter les frontières (donc les territoires)… voilà les DEUX CONDITIONS qui permettent la cohabitation entre des hommes culturellement très DIFFERENTS.
Il suffit de nier ces règles et alors la naturesauvage de l’homme reprend le dessus : la guerre de tous contre tous.
A présent, élargissons la focale.
Certaines civilisations sont moins enclines à comprendre et accepter ces principes pourtant ancestraux.
Le premier exemple aussi évident que frappant (et ancré dans l’actualité) ? L’Islam.
L’Islam en tant que système politique total empêche par essence l’altérité.
L’Islam est une arme de destruction massive de l’altérité.
Puisque par définition -et une définition DIVINE– il nie la possibilité de la différence.
Et quand, il est contraintde s’y frotter alors c’est pour mieux la détruire : la mort ou la conversion.
Répétons-le : sur ordre divin.
Bref. A la longue, il est pénible d’enfoncer des portes ouvertes. Les Occidentaux, saisis d’une démence suicidaire, refusent de comprendre.
Tant pis pour eux. Tant pis pour vous.
Quant à moi, au milieu des “Romains”… de Thaïlande, je me sens bien car ils sont normaux.