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Vrac

Le temps file : où est la riposte israélienne ?

On signale une pénurie de papier-toilette du côté de Tel Aviv. Yala ! Mazel tov !

Vous connaissez l’adage populaire : “le temps file“.

Vous vous souvenez quand l’Iran a balancé plus de 200 missiles sur Israël ?

Le 1er octobre… Il y a plus de 3 semaines déjà !

Et depuis, certains s’interrogent… Où est le cabinet israélien ? J’ai fait la blague à plusieurs reprises : “aux cabinets“.

On sent un certain flottement. Pour ne pas dire un flottement certain. On sent des mauvaises odeurs venant des WC… On sent les effluves d’une franche diarrhée.

En un mot : on sent la peur.

Il est facile de raser Gaza, de pulvériser des combattants du Hamas avec beaucoup de civils autour… et d’écraser des immeubles à Beyrouth. Mais… l’Iran ? On change d’échelle, de dimension. Ca n’a plus rien à voir.

Revenons donc sur cet événement majeur du 1er octobre, dont la portée stratégique est passée sous le radar de nombreux commentateurs qui n’analysent pas les faits, mais qui font de la propagande et qui prennent leurs désirs pour des réalités.

Je rappelle l’essence de cette grossière propagande :

  • Israël super gentil. Axe du bien.
  • Iran super trop méchant (presque davantage que la Russie, c’est dire !). Axe du mal.
  • Israël : startup nation high tech façon Star Trek, peut faire exploser à distance des téléphones comme des coussins-péteurs (et paf, prends ça dans la gueule !)
  • Iran : pays de ploucs analphabètes en sandales avec des turbans ridicules, tout juste bons à cultiver des pistaches (avec un peu de caviar aussi).
  • Israël : phare de la dimoucrassie occcidentalo-branlo-LGBTiste respectueuse des droits des minorités (y compris sexuelles, surtout sexuelles car pour les autres, genre les Arabes israéliens c’est pas vraiment ça, et ne parlons pas des Palestiniens… pas de bol pour eux, ils ne sont même pas transsexuels ! Ah les cons ! Ils n’y mettent vraiment pas du leur !)
  • Iran : dictature mohamétane ambiance arabisante (alors que la Perse n’est absolument pas arabe, surtout pas arabe, mais c’est un point de détail).
  • Israël : pays gigantesque, de 9,4 millions d’habitants, allié à toutes les superpuissances de la planète, du système solaire, voire de la galaxie.
  • Iran : petit pays faible, isolé, de 91,8 millions d’habitants, allié à des nains comme la Russie ou la Chine.

Bref… Vous voyez le… genre.

Ah le genre ! Quel bon mot ! 😉

Gaypride à Tel Aviv. L’arme secrète de l’Occident contre l’obscurantisme et contre la Russie, l’Iran, la Chine, l’Inde, l’Indonésie, l’Afrique… bref 85 % de l’humanité.

Pas de bol : c’est complètement à côté de la plaque. Certes les mollahs ont la main dure et n’y vont pas par quatre chemins (pendaisons publiques, tortures et autres joyeusetés)… mais les mecs alignent une très belle expertise dans la fabrication de drones, des missiles hypersoniques, une population de 91 millions d’individus, des réserves d’hydrocarbures mahousses… sans oublier toutes les connaissances et le matos nécessaires pour assembler une bombe nucléaire… disons en 45 minutes top chrono (je sais j’exagère, mais en fait… non).

Pour des paysans qui vivent à l’Age de Bronze et qui conduisent des chameaux sans le contrôle technique ad hoc, ça la fout mal.

Le 4 octobre, soit 3 jours après la frappe iranienne… le Washington Post, le quotidien de référence américain, comprendre la voix de son maître (CIA, NSA, DOJ, FBI et plus si affinités, ce qu’on appelle le Deep State) publiait un article au titre sans appel : “Iranian missiles hit Israeli military sites, visuals show“.

Lien : https://www.washingtonpost.com/world/2024/10/04/iran-missile-israel-attack-video

Aïe. La tuile.

« Au moins deux douzaines de missiles balistiques iraniens à longue portée ont percé les défenses aériennes israéliennes et alliées mardi soir, frappant ou atterrissant près d’au moins trois installations militaires et de renseignement, selon un examen des vidéos et des photos de l’attaque et de ses conséquences.

Des vidéos vérifiées par le Washington Post ont montré 20 missiles frappant la base aérienne de Nevatim, dans le désert du sud du Néguev, et trois frappant la base de Tel Nof, dans le centre d’Israël. Des analystes ont déclaré au Post que les images correspondaient à des impacts directs sur les bases plutôt qu’à des débris de missiles interceptés. D’autres vidéos ont montré qu’au moins deux missiles ont atterri près de Tel Aviv à Cinema City Glilot, Hod Hasharon, près du siège de l’agence d’espionnage israélienne du Mossad, laissant au moins deux cratères. »

Pendant que tous les médias neuneus vous servaient une soupe peu appétissante… Le Réel -lui- était bien différent. Et le Washington Post a publié le Réel sous la forme d’une photo satellite.

Re-aïe. Re-la tuile.

Réalisé sans trucage (pour une fois) 😉

Pourquoi cela change tout ? Parce que cela change tout. 😉

Téhéran a démontré ses capacités à frapper le coeur d’Israël, tout en faisant fi de ses défenses antiaériennes pourtant formidables.

Reformulons : le Dôme d’acier, la Fronde de David et autres batteries “Patriot” made in America… sont parfaits pour descendre des drones et des roquettes fabriqués dans une cuisine et envoyés par les Palestiniens et le Hezbollah… Mais contre des missiles balistiques, voire des missiles hypersoniques… ça fonctionne “beaucoup moins bien“, selon l’expression consacrée…

Ajoutez à cette bascule stratégique majeure… une “ambiance” un brin nucléaire… et alors vous obtenez quoi ?

Un cabinet israélien… aux cabinets. Au fond du jardin.

Une certaine clique apocalyptique israélienne veut y aller, veut se faire l’Iran une bonne fois pour toute, c’est un rêve vieux de plusieurs décennies, partagé par une partie (complètement cinglée) de l’état profond américain (les fameux néocons)… mais en même temps… elle a les jetons, elle vient de comprendre que toutes ses certitudes divines (?) se sont probablement effondrées… un premier octobre.

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Asie

L’Asie est le nombril du monde

Dissertation : “Où se trouve l’Asie ?” Vous avez 4 heures.

Je signale un remarquable article de Charles Gave.

Suivez l’or !

L’or quitte l’Ouest et est attiré par l’Est. C’est quasiment magnétique si l’on peut dire.

Le centre de gravité économique – et donc politique – de la planète se déplace.

L’Occident se suicide. Le 21ème siècle sera asiatique.

Vous pouvez crier, pleurer, griffer les murs de colère… c’est un fait géopolitique majeur qui s’impose à tous.

Et d’abord à vous.

J’ajoute : c’est la première fois que je lis un Occidental pur jus (Charles Gave est un honnête homme à l'”ancienne”)… qui comprend la foutaise de la fameuse “bulle immobilière qui va décimer la Chine et tuer tous les Chinois”.

Il écrit, lapidaire : la bulle immobilière…

“… dont tout le monde à Pékin se contrefout puisqu’ aujourd’hui les Chinois sont logés et que les banques sont toutes nationalisées

Deux vérités évidentes qui échappent pourtant, et surtout, aux lecteurs du Wall Street Journal.

Pour remettre le palais impérial au milieu du village global, on comparera avec… les villes de tentes aux Etats-Unis (dont le marché immobilier est tout aussi bullesque) et leurs banques qui sont privées pour les profits mais souvent nationalisées pour les pertes…

Bref. Ajoutez la couche de gouvernement central autoritaire à la mode PCC… et vous obtenez en effet un problème qui n’en est pas vraiment un.

Concernant la ville de Hong Kong où Gave place le centre (financier, commercial, maritime etc.)  je suis un peu plus réservé… A mon sens, la Suisse asiatique “au centre” c’est plutôt… Singapour.

Hong Kong est sous contrôle de Pékin, un contrôle de plus en plus étroit. Une “Suisse” dans la région est nécessaire, donc neutre, et pouvant se présenter/exister comme un “tiers de confiance”.

Singapour répond parfaitement au cahier des charges.

Gave conclut :

Et ces mouvements de l’or précèdent toujours les mouvements des taux de change.

Nos monnaies vont baisser, les leurs vont monter.

C’est clair. C’est carré.

Dans la continuité, je conseille un autre papier, signé Bloomberg cette fois.

Titre :

Xi Unleashes a Crisis for Millions of China’s Best-Paid Workers

Diantre ! Xi Jinping lâche les chiens d’une terrible crise sur des millions d’employés parmi les mieux payés.

Une nouvelle révolution culturelle à la papy Mao ?

Presque.

Mais c’est un titre trompeur. Ou du moins à charge. Trop souvent les Occidentaux lisent la Chine de travers.

Le contenu de l’article permet de mieux comprendre.

Synthèse rapide :

  • Pékin tire la chasse sur l’industrie financière qui est  parasitaire
  • conséquence : oui des employés surpayés (banquiers, courtiers, manageurs, brasseurs de vents, etc.) perdent leur boulot ou subissent une baisse de leur rémunération. Et alors ? Dans le grand ordre autoritaire impérial chinois sauce PCC… ça n’a aucune espèce d’importance. Au contraire : c’est collectivement sain (les salaires/bonus excessifs mettant en colère la majorité de la population).
  • mais… pourquoi le PCC fait-il cela ? Tout pour l’industrie high tech désormais. Cela rentre parfaitement dans le cadre de la réorientation -politique- de l’économie chinoise. La “croissance de qualité” après la “croissance rapide“.
  • Eh oui… les mandarins font des plans sur la comète et planifient sur des décennies (une vieille habitude chez eux…)
  • finie la construction (tout a DEJA été construit en Chine, et plusieurs fois de suite 😉 ).
  • finie la financiarisation parasitaire qui ne produit rien
  • tout pour l’industrie de haute technologie, avec derrière… la hausse inévitable de la consommation intérieure (longtemps le parent pauvre du PIB chinois).

J’ajoute une note personnelle (il ne faut pas trop en demander aux plumitifs de Bloomberg) : quelle surprise surprenante ! Ce processus tombe pile poil(e)… puisque la population du pays… baisse et continuera de baisser ! 😉

Sur ce sujet, la démographie, l’Ouest commet encore un énorme contresens : les Chinois moins nombreux avec leurs robots plus nombreux s’enrichiront comme des cochons.

… Pendant que les Occidentaux font venir par DIZAINES DE MILLIONS des docteurs en physique nucléaire tribale d’Afrique, tous dotés d’un bac – 10.

Faites nous confiance, nous avons un plan ! Ils paieront nos retraites de boumeurs bien gras et bien vaccinés… avec leurs non emplois, leurs non impôts, leurs non cotisations sociales.

Allez on reformule : les Chinois font venir chez eux les ressources naturelles africaines… Nous on fait venir les Africains.

Ce n’est pas du tout le même angle…

On mesure ainsi le gouffre entre l’Asie et l’Occident, et surtout son coeur : les Etats-Unis.

Les Etats-Unis qui n’ont aucun plan, aucune perspective, sont malades d’une économie financiarisée à outrance… devenue tellement parasitaire qu’elle tue son hôte

Bref, les Chinois ont décidé -souverains- de NE PAS REPRODUIRE LES ERREURS OCCIDENTALES !

C’est… révolutionnaire.

Et c’est une énième démonstration de leur intelligence.

Un intrus s’est glissé dans cette image. Sauras-tu le découvrir ?
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Médicament

Cancer : vous saurez tout sur les médicaments repositionnés

“C’est dans les vieux pots qu’on fait les meilleurs soupes et les meilleurs traitements anticancéreux” (note de la direction : toutes mes excuses, mon stagiaire chinois au service illustrations s’est encore gouré. Ou alors le bougre se fiche de nous…).

Repurposed drugs. Ou “médicaments repositionnés”. L’hystérie covidémentielle a popularisé ce principe (oui, le Covid a eu des avantages).

On se souvient tous de Didier Raoult utilisant l’hydroxychloroquine contre le virus alors qu’elle est prescrite contre la malaria et certains rhumatismes inflammatoires.

La pharmacopée (moderne, chinoise) contient des gazillons de molécules… dont les propriétés n’ont pas été toutes systématiquement testées/étudiées/cataloguées.

Autre avantage : on connaît les posologies tolérées et les éventuels effets secondaires (par définition puisqu’elles sont anciennes). Et enfin, autre avantage… elles ne coûtent rien.

On utilise l’hydroxychloroquine depuis des décennies, voilà pourquoi quand les autorités françaises ont subitement déclaré en 2020 que ce médicament était très dangereux (en instrumentalisant des études bidonnées, voir le Lancetgate)… Raoult et les vrais médecins éclatèrent de rire.

En ce qui concerne le cancer, on assiste au même mouvement. Des scientifiques ont compris qu’il valait mieux D’ABORD tester l’existant AVANT de développer des nouvelles molécules (ce qui prend des décennies, du moins quand on est sérieux et qu’on ne prétend pas créer un pseudo “vaccin” basé sur une nouvelle technologie génétique en moins d’un an… suivez mon regard couillonaviral…).

Je signale ainsi le PDF du livre (215 pages) “Cancer care : The role of repurposed drugs and metabolic interventions in treating cancer“, du docteur Paul Merik (il est également dispo sur Amazon en version papier).

De quoi s’agit-il ?

D’une liste de produits repositionnés contre le cancer, avec pour chacun un exposé de la littérature scientifique disponible, ses mécanismes antitumoraux, les éventuels tests cliniques (mais oui, il y en a !), les posologies etc.

C’est un travail fondamental car il met en lumière un fait peu connu : il existe des CENTAINES d’études dédiées à ces molécules et leurs actions contre le cancer.

P.Marik s’appuie ainsi sur 1 201 références !

Je reformule : dans un océan de bidonnages, de tests farfelus, d’articles foireux voire frauduleux, de pseudos médecins, de corruption… il existe encore de véritables scientifiques qui bossent vraiment

Ces effets peuvent être classés en 4 groupes :

  • rétablir l’apoptose (mort cellulaire)
  • action sur le micro environnement tumoral afin de rétablir les fonctions immunitaires
  • limiter l’angiogénèse (formation de nouveaux vaisseaux sanguins) et la progression métastatique
  • inhiber les cellules cancéreuses souche

Le docteur Marik fait la distinction entre les molécules “fortement recommandées“, celles avec des effets plus faibles et enfin celles controversées (comprendre manque de preuves).

Dans le premier groupe on trouve :

  • vitamine D
  • mélatonine
  • thé vert
  • metformine (contre le diabète)
  • curcumine
  • mebendazole/ fenbendazole/albendazole (antiparasitaires)
  • ivermectine (antiparasitaire)
  • acides gras Oméga 3 (exemple : l’huile de foie de morue de grand-mère)
  • berbérine (réduction glycémie)
  • atorvastatine (statine, contre cholestérol)
  • disulfirame (contre l’alcoolisme)
  • cimétidine (antihistaminique)
  • gui (la plante)
  • ashwagandha (ginseng indien)
  • sildenafil (et ses dérivés, eh oui… le bon vieux Viagra contre les troubles de l’érection !)
  • itraconazole (antifongique)

Prenons un exemple frappant : le disulfirame… utilisé contre l’alcoolisme.

C’est quoi le rapport avec la choucroute cancéreuse ? ! 😉

Un poivrot au volant ? Ou un cancéreux qui se soigne ? La science hésite.

Je cite :

Its anti-tumor effect has been reported in many preclinical studies and recently on seven types of cancer in humans: non-small cell lung cancer (NSCLC), liver cancer, breast cancer, prostate cancer, pancreatic cancer, glioblastoma (GBM) and melanoma and has a successful breakthrough in the treatment of NSCLC and GBM. (747)

 

Anticancer pathways and mechanisms

DSF inhibits NF-kB signaling, proteasome activity, and aldehyde dehydrogenase (ALDH) activity. It induces endoplasmic reticulum (ER) stress and autophagy and has been used as an adjuvant therapy with irradiation or chemotherapy drugs. DSF not only kills the normal cancer cells but also targets cancer stem cells. (748) Disulfiram binds to nuclear protein localization protein 4 (NPL4), induce its immobilization and dysfunction, ultimately leading to cell death. The cytotoxicity of DSF depends on copper (Cu). (749) DSF penetrates cancer cells and chelates Cu intracellularly. Compared with normal tissues, many cancers exhibit higher levels of
intracellular Cu (2–3 fold). (750) Copper plays a crucial role in redox reactions and triggers the generation of reactive oxygen species (ROS). DSF/Cu is a strong inducer of ROS production and an effective proteasome inhibitor, resulting in the inhibition of NF-κB. NF-κB is an ROS-induced transcription factor with strong anti-apoptotic activity, which in turn reduces the pro-apoptotic effect of ROS. (749, 751) DSF/Cu simultaneously activate the ROS-JNK pro-apoptotic pathway and downregulate anti-apoptotic pathways such as NF-kB signaling. (752)

 

The activation of executioner caspases, such as an increased ratio of Bax and Bcl2 proteins, indicated that the intrinsic apoptotic pathway may be involved in DSF/Cu-induced apoptosis. (753) As a bivalent metal ion chelator, DSF has been considered to form a complex with Cu (DSF/Cu), which is more readily taken up by cells and exerts cytotoxic effects on a variety of cancer cells while sparing normal cells. When chelated with copper, DSF down-regulates the expression of several genes involved in DNA repair pathways.

 

Recently, an increasing number of clinical trials have verified the hypothesis that the binding of disulfiram or its metabolites to copper produces antitumor effects. In a study of head and neck squamous cell carcinoma, a DSF/Cu injection markedly inhibited tumor growth at a
concentration of 50 mg/kg, while DSF alone showed limited efficacy compared to DSF in combination with copper. (754) DSF ultimately exerted inhibitory effects on head and neck carcinoma cell lines mainly by inducing autophagic cell death and inhibited tumor progression in xenograft model. DSF shows cytotoxicity towards several model cancer cell lines in vitro, including breast, lung, pancreatic, prostate, liver, and ovarian cancer, as well as acute myeloid leukemia, glioblastoma and melanoma, effectively inducing apoptosis in cancer cells.

 

For example, DSF inhibits the growth of temozolomide-resistant glioblastoma (GBM) cells, (IC90 = 100 nM), but does not affect normal human astrocytes. These classically temozolomide-resistant cells were sensitive to 500 nM DSF, a sufficient concentration to suppress tumor cell growth over 72 h, and the self-renewal ability of these cells was also completely inhibited. (755, 756) Tumor-associated macrophages (TAM) affect tumor progression and resistance to chemotherapeutic agents. FROUNT is highly expressed in macrophages, and its myeloid-specific deletion impairs tumor growth. Further, DSF acts as a potent inhibitor of FROUNT and decreases macrophage tumor-promoting activity. (757) In preclinical studies, when administered in combination with other conventional therapies, DSF exerts a synergetic therapeutic effect on cancer.

 

According to in vivo studies, the activities of chemotherapeutic drugs such as cisplatin, temozolomide cyclophosphamide, 5-fluorouracil,
sunitinib and auranofin are all potentiated by DSF. (747)

 

Clinical studies
In a double blind trial, 64 women with breast cancer were treated with sodium ditiocarb (diethyldithiocarbamate) or a placebo. (758) After 6 years, a significantly higher overall survival rate was observed in the ditiocarb group than in the placebo group (81 vs 55%, respectively).

The disease-free survival rates were 76 and 55% in the ditiocarb and placebo groups, respectively. Ditiocarb is the main DSF metabolite in the human body that contributes to its mechanism of action.

 

In a phase IIb clinical trial the addition of DSF to a combination regimen of cisplatin and vinorelbine was well tolerated and appeared to prolong survival in patients with newly diagnosed non-small cell lung cancer. (759) The addition of DSF plus copper to temozolomide appears to prolong the disease-free survival in patients with glioblastoma. (760-762)

 

Types of cancers disulphiram may be beneficial for
DSF may be beneficial in the following cancers: breast, lung, pancreatic, prostate, liver, and ovarian cancer, as well as acute myeloid leukemia, glioblastoma, and melanoma. DSF and copper may have a particular role in patients with glioblastoma. (747, 749)

 

Dosing and cautions
DSF is inexpensive, and its tolerability and safety have been demonstrated over years of clinical experience with many patients. DSF is generally administered at a dose of 80 mg three times a day or 250 mg once daily, which appears to be the maximal tolerable dose. (760, 762) Copper at a dose of 2 mg three times a day should be added. (761)

Quels sont les oncologues qui sont au courant de tous ces travaux ? De toutes ces PREUVES qui s’accumulent ?

Ces clowns qui achèvent les malades à grandes lampées de “chimios” sont trop occupés -contre du pognon et des avantages- à promouvoir les “nouveaux protocoles”  de Big Pharma, comprendre des poisons toujours aussi mortels, mais légèrement différents.

Dernier point important : derrière cette littérature scientifique… il y a des malades qui UTILISENT ces molécules et AVEC SUCCES (en plus des traitements classiques ou pas).

Et ce mouvement prend de l’ampleur… Cela se voit sur plusieurs groupes Facebook (ou via de nombreux livres publiés).

Là encore, on mesure mal les effets bénéfiques du… Covid ! (certains individus ont enfin compris la nullité crasse de la plupart des médecins et la corruption insensée qui pollue Big Pharma).

Faites l’effort de lire ce bouquin, faites le tourner. Prenez le pouvoir sur votre santé !

Aux débiles mentaux qui vous traitent de “charlatan” opposez… la “science” !

La vraie, celle des scientifiques besogneux

J’insiste : on doit être optimiste.

Des gens sérieux bossent dans l’ombre. Ils progressent. A la fois sur les traitements et la compréhension de la maladie, sa nature, ses mécanismes (car dans le cas du cancer, la théorie officielle des mutations ADN est mise en échec depuis six décennies).