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James Wang 014 : trop de restaurants chinois près des bases militaires

On vous mange à la baguette !

Soit les dim sum chinois. Vous connaissez le principe : tout est dans la farce.

Et en matière de farce, l’Occident bat des records.

Après les Chinois qui rachètent des terrains agricoles, des fermes jouxtant des bases militaires américaines (sans parler de Huawei qui renifle d’un peu trop près une base en France)… la Perfide Albion se pose les mêmes questions.

Le DailyMail s’interroge :

“Devrions-nous nous inquiéter de ces curieux regroupements de restaurants chinois qui entourent nos bases militaires les plus sensibles ?”

Le pays compte au total 15 000 restaurants indiens et 12 000 restaurants chinois ce qui est raccord par rapport à l’histoire coloniale britannique.

Problème : la distribution géographique des établissements chinois montre des “pics” surprenants… près des sites militaires et gouvernementaux du pays ! 😉

Ainsi, près de la base navale de Clyde qui abrite les sous-marins nucléaires, le nombre de restaurant chinois est presque 3 fois supérieur à celui des bouibouis indiens.

Coïncidence coïncidentale ? Surprise surprenante ? Hasard hasardeux ?

Proverbe chinois du 15ème siècle : la soupe pékinoise a davantage de goût quand on la mange près d’une base militaire anglaise. Forcément.

On peut bien sûr en rire. Mais le fait est là. La Chine espionne MASSIVEMENT tout l’Occident et en particulier son ennemi principal : les Etats-Unis (et leur toutou anglais).

Comment ? Grâce à sa diaspora gigantesque, ses étudiants, ses stagiaires, ses travailleurs, ses scientifiques et même ses mafias (l’Empire du Milieu exporte tout) qui s’infiltrent en grand nombre partout.

On estime à 40 ou 60 millions le nombre de Chinois (et leurs descendants) installés hors de Chine.

On se souvient de la fulgurance révolutionnaire de Mao avec les poissons et l’eau. Le génie consiste à installer ses propres aquariums dans toutes les grandes villes de la planète ! 😉

L’autre formidable levier est bien entendu l’ASYMETRIE entre les 2 mondes.

En Amérique du Nord et en Europe un Chinois peut tout faire, se fondre dans la masse (la fameuse diaspora)… à l’inverse un Long Nez Cul Blanc sera immédiatement repéré, tracé au milieu de 1,3 milliard de Hans.

Un Occidental a très de peu de latitude légale dans l’Empire du Milieu, alors qu’un Chinois jouit d’une grande liberté en Occident et de nombreuses facilités.

Donc répétons-le : le titre du DailyMail fait sourire, mais c’est en réalité très sérieux.

La Chine fait feu de tout bois et sur une échelle qui nous dépasse totalement.

Rappelons une autre polémique récente en Angleterre sur l’existence de VERITABLES POSTES DE POLICE (!!!!) chinois.

Ils sont chargés de faire la police parmi les touristes, dans la communauté, de chasser les dissidents, de filer des coups de mains à des agents, etc.

Autre polémique : la Chine a insisté pour construire une nouvelle ambassade à Londres. D’accord. Sauf que le projet est démesuré, une véritable ville, futur nid d’espions.

Les gouvernements britanniques, très faibles voire même compromis, n’ont pas réagi ou trop tardivement.

Lire ici : https://www.lbc.co.uk/article/why-china-embassy-london-controversy-beijing-5HjdFZD_2/

Bref, on le voit c’est un SYSTEME (et encore nous n’en connaissons pas le 10ème) qui fonctionne du feu de dieu et qui donne un extraordinaire avantage à Pékin dans la conduite des affaires du monde.

C’est-à-dire le monde entier.

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Saloperie et sida mental

6 janvier 2021 : un coup d’état… mais contre Trump

Comment personnifier la psychopathie permanente des Etats-Unis ? Le cher Alex dans le film Orange mécanique fait le boulot.

L’empire américain fascine par sa nature extrémiste, ultra-violente, psychotique ainsi que par son état de  pourrissement avancé.

Les conspis et comploplos les plus aiguisés avaient donc une nouvelle fois raison.

Rappel des faits.

6 janvier 2021. Des manifestants pro-Trump envahissent le Capitole à Washington DC.

Crime suprême contre la République. “Insurrection“. “Tentative de coup d’état” et même “assaut contre le Capitole !

Nous étions à deux doigts -à peine- de l’incendie du Reichstag ! 😉

Résultat : 1 600 patriotes américains seront pourchassés les années suivantes par l’état Biden (FBI, DOJ etc.), harcelés, emprisonnés, torturés pour certains (si, si)… Une épouvante.

En réalité, il y eut bien un coup d’état mais… contre Trump.

Explications.

Le 6 janvier 2021, à midi 45, les flics découvrent 2 bombes artisanales (pipebombs), pas de jaloux l’une près du siège du Democratic National Committee, l’autre chez les Républicains (au Republican National Committee).

C’est-à-dire juste avant l’entrée des “factieux” au Capitole (14h).

Parfait club sandwich avec au milieu l’ouverture de la session conjointe (Chambre + Sénat) destinée à certifier les résultats de l’élection présidentielle de novembre 2020… Heure de début ? 13h le même jour !

Les 2 engins ont été placés… la VEILLE au soir (le 5 janvier donc, vers 20h).

(faites le test autour de vous : personne ne se souvient de ces 2 bombes)

La découverte opportune des bombes et la manifestation qui dégénère (truffée de 250 agents provocateurs du FBI habillés en civil), voilà le prétexte miraculeux, la “crise” qui permit à Nancy Pelosi de suspendre les débats, de faire évacuer les lieux (et de reconvoquer une réunion le soir même en modifiant les règles).

On le voit, dès le début, cette “occasion qui fait le larron” apparaissait trop belle, trop parfaite.

Les complotistes ont toujours raison. Forcément.

Ces 2 évènements (bombes + manifestation que l’on fait dégénérer) ont été parfaitement coordonnés et ont impacté la psyché des députés et des sénateurs, y compris républicains (dont le premier d’entre-eux : le vice-président Mike Pence).

Ils ont pris peur.

Ils ont été physiquement impressionnés (crainte de l’anarchie et du terrorisme anti-américain à cause des bombes visant les 2 partis).

En conséquence, ils se sont couchés. Préservation du système.

Seules deux objections aux résultats (Arizona + Pennsylvanie) sont mises au vote dans la nuit qui suit (alors que d’autres “swing states” étaient fortement contestés, comme la Géorgie par exemple). Vote négatif.

Le 7 janvier au petit matin, l’élection de Biden est  certifiée avec 306 grands électeurs contre 232 pour Trump.

Fondu au noir. Générique de fin.

Vraiment ?

Car presque cinq ans après, crac, coup de théâtre !

On apprend que c’est une femme, Shauni Rae Kerkhoff, officier de la police du Capitole qui est suspectée d’avoir déposé les bombes (enquête ici) !

Pardon ?

La même Kerkhoff prit ensuite un malin plaisir à témoigner contre des manifestants (surprise). Avant de rejoindre… la CIA dans le milieu de l’année 2021 (encore une surprise surprenante) ! 😉

Non, vous ne rêvez pas. La totale.

Voici ce qu’écrit Thomas Massie, représentant républicain (intègre et, c’est à noter, opposé à Trump sur certains dossiers) :

Le FBI disposait dès le début d’une vidéo d’excellente qualité de la femme (masquée) plaçant les engins explosifs. Mais l’équipe en charge de cette partie de l’enquête fut rapidement démantelée. Subitement cela n’intéressait plus l’agence fédérale. Autre surprise.

Le poseur de bombes et l’enquête sabotée par le FBI furent opportunément effacés des médias pendant 2 ans.

Ensuite, le patron du FBI nia avoir en sa possession un quelconque enregistrement. Ensuite, le FBI fut obligé de rendre publique la vidéo… mais après avoir dégradé sa qualité.

Ce point est important : car sur la version originale, on voit le terroriste affecté d’une démarche particulière. La femme policière était une athlète à l’université (avant d’intégrer la police du Capitole). Elle fut opérée d’une fracture du tibia… la faisant légèrement claudiquer par la suite.

Et qui était l’un des dirigeants de la police du Capitole ? Nancy Pelosi en tant que présidente de la Chambre des représentants…

Et qui a refusé systématiquement l’envoi de la garde nationale PLUSIEURS JOURS AVANT la manif pour protéger l’enceinte du bâtiment ? Nancy Pelosi.

Bref, tout devient clair.

Le 6 janvier 2021 fut une opération false flag basée d’abord sur les 2 bombes (résultat garanti) plus la manif des “factieux” que l’on a fait dégénérer en “émeutes” (résultat probable mais non garanti)… le tout destiné à perturber/empêcher les débats et toute contestation des résultats de l’élection de novembre 2020, et à bloquer tout recours devant la Cour suprême.

Donc : un coup d’état.

Ou si vous préférez, le parachèvement du coup d’état qui débuta en réalité avant, bien avant novembre 2020 (covidémence, votes par la poste, émeutes BLM, faux impeachment contre Trump, faux dossier russe, campagne médiatique permanente, etc.).

On peut dater très précisément le début : le 9 novembre 2016, soit le lendemain de l’élection surprise de Trump !

Les élections de novembre 2020 furent ainsi volées.

Biden, caché dans sa cave à cause du grâce au “Covid”, et n’ayant jamais fait campagne durant cette période, ne fut jamais “élu”.

POST-SCRIPTUM

Le scandale est tellement massif, la conspiration si folle que l’administration Trump 2 est manifestement incapable de bouger.

Ces découvertes sont le fait de médias indépendants. Le FBI est toujours aux fraises (et totalement noyauté par les ennemis de Trump). Et Pam Bondi au DOJ (justice) est frigide, pardon congelée.

Le seul élément d’une forme de “passage à la caisse” (en plus de la grâce présidentielle accordée à tous les “insurgés“) ? Nancy Pelosi annonçant cette semaine son départ à la retraite (elle ne se représentera pas).

Coïncidence ?

Trump est victime de sa propre raison d’état si j’ose dire (car maintenant l’état c’est lui).

A l’instar de l’affaire Epstein, de la tentative d’assassinat contre lui (en juillet 2024), ou encore de l’assassinat de Charlie Kirk (sans parler bien sûr de l’assassinat des 2 frères Kennedy en 1963 et 1968)… il ne peut pas exposer l’étendue de la corruption du système américain car cela affaiblirait le pays (en interne et sur la scène internationale).

Je boucle ainsi avec le début de mon article : il est impossible de révéler… la nature violente, psychotique et vicieuse des Etats-Unis (et cela n’a pas commencé avec JFK en 1963… guerre du Vietnam, Pearl Harbor, bombardement atomique au Japon, création de la FED, guerre civile, extermination des Indiens, etc.).

Le Rêve américain doit se poursuivre.

Coûte que coûte.

Il n’y aura pas de grands procès. L’état ne peut pas affaiblir l’état.

Trump se vengera sans doute en éliminant certaines personnes (y compris physiquement, des “accidents” et autres “suicides“).

Dans ce cadre, on peut légitimement se poser la question de la durée de survie de Shauni Rae Kerkhoff, si son rôle est confirmé.

Mais Obama n’ira pas en prison (malgré son rôle évident de chef de bande). Ni Biden (il est déjà mort de toutes les façons), ni Pelosi etc.

Le système doit se survivre à lui-même.

The show must go on.

ADDENDUM (11/11/2025)

Un fait que je ne connaissais pas.

En plus des dizaines d’agents du FBI (en civil) présents dans la manif (un fait établi et reconnu par le directeur actuel du FBI)… il y avait AUSSI… des antifas !

Déguisés en MAGA (avec la casquette “Trump”).

https://x.com/MrAndyNgo/status/1976847166691066336

Au moins une (originaire de New York) a été formellement identifiée. La député Greene affirme qu’il y en avait d’autres.

Bref, une preuve supplémentaire d’une action concertée, s’appuyant sur plusieurs éléments avec pour objectif de faire dérailler la manifestation (provoquer des violences qui seront ensuite instrumentalisées et transformées en “émeute“, en “insurrection“).

Lire aussi : https://www.zerohedge.com/political/flood-stunning-new-evidence-j6-was-fedsurrection-cant-be-ignored

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Saloperie et sida mental

Guerre civile américaine 2.0 : radicalisation

Dans le monde d’avant, un politicien américain de gauche bon teint c’était à peu près ça :

Joe Biden et Nancy Pelosi : 167 ans au total sur la balance !

Des caciques. La quintessence de l’apparatchik. Aucune idéologie à part faire tourner la boutique : la leur.

Des parasites, des voleurs, vicelards, roublards.

Biden vendait sa carte de visite au plus offrant comme un tapin (Ukraine, Chine, etc.). Pelosi faisait sa motte de beurre à Wall Street (sa spécialité ? Le délit d’initié).

Corrompus, nuisibles, méchants, obscènes mais gérables.

Puis, sous l’impulsion de Barack Hussein Obama, le parti Démocrate a commencé à se laisser déborder par son aile VRAIMENT gauchiste…

Avec ceci :

Alexandria Ocasio-Cortez et sa copine née à Mogadiscio Ilhan Omar (toutes les deux représentantes au Congrès US… la première pour New York, la seconde dans le Minnesota où vit une forte communauté… somalienne, forcément).

Hystériques, cinglées, haineuses : elles ont déjà tout des grandes ! 😉

L’évolution saute aux yeux : les vieux éléphants blancs s’effacent… les jeunes d’origine immigrée, les “minorités” comme on les appelle outre-Atlantique, s’affirment. Et bruyamment.

Et ces gens disposent de tout un éventail idéologique (anti Occident, socialiste, globalo-tiers-mondiste, woke).

Il y a encore quelques années, ils ne formaient qu’une “frange”, quelques hurluberlus.

Sauf que la gangrène a progressé, menant à la radicalisation du parti et de ses électeurs (alimentée aussi par la victoire de Trump il y a un an).

Je rappelle (mais tout le monde s’obstine à oublier) qu’il y a exactement 12 mois… 75 millions d’Américains ont voté pour la dinde Kamala Harris.

Si ce n’est pas de l’extrémisme, ça !

Et aujourd’hui, ce processus débouche –le plus naturellement du monde– sur l’élection de Zohran Mamdani à la mairie de New York, un musulman de 34 ans (!), né de parents indiens (!!) en Ouganda (!!!)… et qui est un communiste/tiers mondiste décomplexé.

Il y a une parfaite continuité, une montée en puissance évidente.

Ajoutons un élément qui échappe comme d’habitude aux crétins européens : Mamdani a été CONSIDERABLEMENT aidé par les super donateurs du parti Démocrate et leurs relais financiers (Soros, et autres milliardaires californiens dégénérés, etc.). La moitié des donations pour sa candidature venait de l’extérieur de l’état de New York, prouvant l’existence d’un mouvement national et d’une organisation.

Mamdani n’est donc pas un accident, mais bien l’aboutissement d’un processus.

New York est une grande ville. Et Allah est grand aussi. Mamdani dans son habit d’apparat avec ses coreligionnaires.
Mamdani dit qu’il n’aime pas les milliardaires… Mais il y a des exceptions. Par exemple le fils ultra-radical de Soros. Inch Allah ! Dieu reconnaîtra les siens !

Les Etats-Unis sont en réalité désunis. C’est la manifestation physique du déclin de l’empire de l’Ouest. Les divisions, les tensions internes augmentent, inexorablement et dangereusement.

Jusqu’aux fractures.

Les classiques commentaires mous de la presse française, font rire (exemple avec le FigaroMamdani triomphe à New York mais le parti recentre son message ailleurs” !)

Difficile d’atteindre un tel niveau de bêtise ou de veulerie.

Revenons au réel : les Etats-Unis ne peuvent pas poursuivre leur domination mondiale alors même qu’ils se fracturent intérieurement.

C’était la principale gageure pour Trump : négocier au mieux la fin de l’imperium, le repli sur soi (nécessaire historiquement) ainsi que la purge de l’état profond, comme on négocie un virage dangereux sur une route sinueuse. Une tâche immense. Et il échouera sans doute (sur ce front, le seul qui compte).

Les Républicains risquent de perdre les élections de mid-terms (dans un an) ce qui neutralisera la fin du mandat présidentiel. Pire : Trump sera immobilisé par des procédures d’impeachmentIls ne le rateront pas.

Vance jouissait jusqu’à aujourd’hui d’une bonne dynamique. Il pourrait faire la différence en 2028… s’il revient avec le credo “America First” et s’il s’y tient (cette fois).

Dans le cas contraire (bêtises ukrainiennes, délires israéliens et iraniens, imbécilité taïwanaise, farce vénézuélienne et plus largement obsession pathologique du “We come in peace” à coups de bombes), il sera balayé… Et le pays repassera aux mains du parti Démocrate, mais cette fois encore plus fanatisé, haineux et revanchard qu’en 2020.

Bref, les indices sont nombreux : le verdict de l’Histoire semble déjà rendu.

En termes géopolitiques, il suffit à Pékin et Moscou de jouer la montre. Car, concrètement, ils ont DEJA GAGNE.

Comme souvent, on informe les perdants en dernier.

Dans quelques années, les Etats-Unis ne représenteront plus une menace pour le monde… Leur passage en seconde division sera acté. Et ils sombreront dans des luttes intestines perpétuelles, de plus en plus violentes, chaotiques.

Donald Trump n’aura été ainsi qu’une sorte de parenthèse étrange dans un inéluctable processus historique de décomposition

Comme les derniers feux d’une formidable et lointaine étoile… mais qui -lorsqu’on l’observe- est en réalité déjà morte.

“What kind of American are you ?” (fulgurance extraite de film Civil War, sorti en 2024). La voilà la fracture -terrifiante- que personne en Occident ne veut voir.