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Chiffres Vaccinocide

Poisons sûrs et efficaces : un député anglais met les pieds dans le pudding

Ceci est un pudding anglais sûr et efficace. Attention ! Ca colle au corps ! Et aux dents.

Andrew Bridgen est député britannique sans étiquette (“MP = Member of Parliament“) depuis 2010. Il est âgé de 59 ans.

La presse le présente, bien entendu, comme un “anti-vaxxer“.

Il vient d’envoyer une lettre ouverte à ses collègues, absolument remarquable car… très courte.

Elle présente 4 graphiques tirés des données officielles du NHS (le système hospitalier britannique).

La lettre est publiée sur Twitter : https://twitter.com/ABridgen/status/1771104346270208484

De quoi s’agit-il ?

Des hausses ahurissantes de certains diagnostics, par tranche d’âge… depuis 2021 et le début des injections de produits sûrs et efficaces destinés à lutter contre une grippe ne concernant en rien plus de 90 % de la population générale.

Il écrit à ses collègues :

I am of the opinion, that the observed increased incidence in a broad spectrum of medical conditions, as revealed by the graphs, warrants further investigation.

Andrew Bridgen est très… malin.

Il publie en parallèle un document PDF qui montre, étape par étape, comment accéder aux fameuses données du NHS, et comment réaliser les graphiques.

Un véritable guide… Même un enfant autiste pourrait s’en servir.

Lien ici : http://ethicalapproach.co.uk/healthdataletter.pdf

Et cerise sur le gâteau… il ajoute des graphiques… pour des dizaines de diagnostics, sans oublier la répartition par âge (qui est dans certains cas, stupéfiante).

Voici les 2 diagnostics qu’il a utilisés dans son courrier.

Avec les âges :

Puis :

Et les mêmes données, mais pas âge :

QUATRE CHOSES A RETENIR :

-des données officielles sont… “là”. Déjà. Devant nos yeux. Un peu partout. Et il suffit de les observer, de les réunir, pour constater de franches aberrations. Il se passe quelque chose.

-l’action de Bridgen est intelligente, car il prend date (ces courriers sont archivés au Parlement). Oublions les “scientifiques”, ils sont obtus et pour la plupart corrompus… Viser les politiciens élus… voilà le ventre mou de l’édifice. Les députés sont par définition lâches… ils craignent -un peu- leurs électeurs… Leur peur et leur lâcheté pourraient les contraindre à “faire quelque chose”. Et donc à prendre la patate chaude puis créer une commission d’enquête.

-attention (notre Stanislas national peut en attester)… compter des “diagnostics“, pire encore des “codes de diagnostic“, demeure un exercice… extrêmement périlleux… dans le sens extrêmement humain (un médecin doit cocher une ou plusieurs cases sur un écran ou un papier). Et donc sujet à des erreurs, voire des manipulations, des oublis, des mensonges, ou simplement une imbécilité crasse.

N’oubliez pas tous les biais possibles : “de quoi mon patient souffre t-il ?”… Et quand on voit la gueule du NHS marxo-indigéno-woke… je préfèrerais aller à l’hosto… en Turquie. Ou en Thaïlande.

-mais quand les points d’entrées dans des données sont multiples et vont tous grosso modo dans la même direction… alors cela renforce leur signification.

CONCLUSION

La conclusion ici est évidente : depuis les injections des poisons sûrs et efficaces en 2021… l’état de santé des Anglais part en sucette, pardon se détériore.

C’est simple, c’est carré.

Et c’est confirmé par d’autres données (comme l’explosion des… arrêts maladies ! [source ONS]).

On peut certes discuter des chiffres, des proportions et patati et patata… mais le fond ne varie pas : les pathologies augmentent, et dans certains cas ces pathologies entraînent ou entraîneront d’autres pathologies… puis la mort.

Libre à vous ensuite d’effectuer les inférences nécessaires… voire d’utiliser votre imagination débordante :

  • “c’est la faute du CO2”
  • “c’est le Covid” (si, si, je vous assure il y a des gens qui disent encore cela)
  • “c’est Poutine”
  • “c’est le racisme systématique des blancs”
  • “c’est la faute de l’industrie alimentaire”
  • “c’est le réchauffement klimatik”
  • “c’est la faute à Voltaire”

… liste bien entendu non exhaustive. 😉

POST-SCRIPTUM

N’écoutant que mon courage, j’ai suivi la méthode du député british, et je me suis concentré sur “diagnostics primaires néoplasme sein” (les seins c’est mon dada).

Voici ce que cela donne (les années sont des années fiscales particulières, donc du 1er avril ou 31 mars…)

On voit clairement le “trou” de la pseudo pandémie en 2020/2021 quand les Occidentaux crétins ont fermé les hôpitaux et ont demandé aux veaux de crever, pardon de rester chez eux en avalant du doliprane.

Ce faisant, les pseudos personnels soignants ont pu s’occuper à plein temps des “malades du Covid” (quasi inexistants) et surtout ils ont eu le temps de baiser dans les chambres (vides) et de faire des vidéos de danse à la con diffusées ensuite… sur le chinois Tik Tok (on y revient toujours… à la Chine).

Oh oui ! Nous n’avons rien oublié… et nous n’oublierons pas.

Et puis la même chose… mais pour les 25/39 ans.

Bon j’arrête là car j’ai un poil dans l’ordi. Mais suivez le pas-à-pas du député et amusez-vous à décortiquer les données du NHS.

Il est clair que l’année 2023/2024 (donc du 1er avril 2023 au 31 mars 2024) sera importante à suivre.

Un peu de patience.

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Médicament

Cancer : des livres pour enfants et des carottes

Tu as le choix : la carotte c’est dans ton jus. Ou dans ton cul.

J’ai lu récemment : “Curing Cancer with Carrots” de Ann Cameron, publié en 2015.

Faut-il vraiment vous faire la traduction ? 😉

“Guérir du cancer avec des carottes” !

Oui je sais. Ca jette un froid.

D’un blog de haute tenue avec des analyses géopolitiques aussi éblouissantes que profondes… je serais donc passé de l’autre côté de la rue, ambiance Tatie Danièle moisie qui évoque ses recettes de tartes aux pommes.

Ou de broderie.

Revenons à Ann. Cette Américaine écrit des livres pour enfants. Là aussi ce n’est pas vraiment flatteur.

Juin 2012. Crac, cancer colon. Stade 3. Ca tombe bien le chirugien a du temps. Zou. On l’opère immédiatement. Mais une infection survient après, ce qui EMPECHE toute chimio… poussée bien entendu par ses médecins et qu’elle était prête à accepter. Le coup de bol !

Novembre 2012. Nouveau scan. Stade 4, avec métastases aux poumons !

La totale.

Elle a gagné le gros lot.

Alors on lui chante encore les louanges d’une bonne chimio (“paliative” cette fois… en clair c’est bientôt the end).

Mais elle refuse.

Elle a trouvé sur Internet l’histoire d’un homme, Ralph Cole, qui prétend avoir guéri son cancer en 2006 avec… des jus de carottes.

Elle l’appelle. Le type semble honnête. Elle décide d’essayer. On imagine aisément : “foutu pour foutu autant soigner son teint“.

Elle commence ainsi immédiatement une cure… de jus de carottes.

Aucune chimio, aucune radiothérapie. Pas de suppléments (même pas de vitamines D, C etc.).

Rien d’autre que 1,25 litre de jus de carottes, préparé le matin et bu tout au long de la journée.

Même pas des carottes “bio” ! Et elle ne les épluche pas.

Ah la garce !

On sent tout de suite la forte tête, voire la militante extrémiste MAGA (un poil homophobe aussi ? La carotte… on connaît la chanson). 😉

Je plaisante bien entendu. Toutes mes excuses à Ann.

Mars 2013 : étrangement, le cancer n’a pas progressé alors que normalement à ce stade-là, il doit cavaler.

Pas de nouvelles tumeurs et les tumeurs existantes rétrécissent. Tiens tiens… Ah bon ?

30 juillet 2013 : le cancer a disparu… après donc 8 mois de consommation quotidienne de jus de carottes.

Bref, on se pince.

Et puis… on commence à étudier la farce… Les carottes contiennent une foultitude de molécules dont du bêta-carotène (ce qui donne couleur) et des acides phénoliques et du polyacétylène.

C’est quoi le rapport avec la choucroute, ou disons la salade de carottes, alors ?

  • les acides phénoliques ont des propriétés antifongiques (et antibactériennes)
  • le bêta-carotène a des propriétés antifongiques (et antioxydantes)
  • le polyacétylène a des propriétés antifongiques

Hum…

Ann Cameron mettra le miracle carottophile sur le compte de 2 autres molécules : le falcarinol et la lutéoline.

… Mais qui ont AUSSI des vertus antifongiques ! Quelle coïncidence. Que le monde est petit !

Bref quelque chose qui paraît totalement aberrant… voire même burlesque (des carottes, le teint rose, nos grands-mères !!!!) prend subitement du sens… lorsqu’on l’observe sous le prisme du modèle de Mark Lintern (champignons qui parasitent nos cellules et provoquent le cancer, voir mon article ici) !

Est-il besoin de rappeler la réaction du fact-checkeur de base ?

Aucune étude n’a démontré l’intérêt thérapeutique de la carotte contre le cancer. Prout“.

Voilà son mantra. Son bâton de pélerin. Son godemiché mental.

Si pas d’étude, alors ça n’existe pas… ignorant ainsi comme un gros con… la vie tout autour, les expériences de gazillons d’individus.

Car le fact-checkeur a l’anus à la fois serré (psychorigide) et distendu (car il s’en prend des nombreuses, par tractopelle).

En même temps si vous préférez.

“Elle se jetait sur le lit. Elle me montrait le renflement brun de son anus”. Oh la boulette ! Dès que j’écris le mot “anus”, je pense à Burno Lemerde et à son livre ! Quel cauchemar.

Bien entendu qu’aucune “étude” n’a jamais été faite ! Qui financerait une telle “étude” ??!!

Imagine t-on Pfizer ou Sanofi vendre… des carottes ? Des carottes fourrées à l’ARNm ? Remarquez, il y a peut-être ici l’ébauche d’un business plan…

Donc, oui, FORCEMENT bande de crétins dégénérés, “aucune étude” n’appuie l’expérience de Ann Cameron et d’autres !

L’étude c’est Ann Cameron… en personne.

L’étude c’est Ralph Cole… en personne.

(elle donne à la fin de son livre une dizaine d’autres témoignages).

Enfin, la véritable étude est de relier toutes ces expériences sur un canevas unique, et de tenter ensuite de comprendre le tableau ainsi obtenu.

Ne pas accepter cette idée fondamentale… disqualifie tous ces clowns et la quasi totalité du corps médical (qui a vendu son âme, et pour pas cher, durant la covidémence, il est important de le souligner).

Couverture avec une imagerie infantile… Ann Cameron a raison au fond… Elle nous trolle. Elle nous provoque.
POST-SCRIPTUM

Il y a de nombreuses études sur le sujet :

Absolute configuration of falcarinol, a potent antitumor agent commonly occurring in plants, 1999.

Differential Effects of Falcarinol and Related Aliphatic C17-Polyacetylenes on Intestinal Cell Proliferation, 2009.

Carrot Component Reduces Cancer Risk, 2005, University Of Newcastle Upon Tyne

Eliassen AH et al, Plasma carotenoids and risk of breast cancer over 20 y of follow-up. Am J Clin Nutr, juin 2015, (taux de caroténoïdes plasmatiques et risque de cancer du sein dans une étude de suivi de 20 ans).

Slattery ML et al, Carotenoids and colon cancer. Am J Clin Nutr, février 2000, (Caroténoïdes et cancer du côlon).

Larsson SC et al, Vitamin A, retinol, and carotenoids and the risk of gastric cancer : a prospective cohort study.

Février 2007, Am J Clin Nutr (Vitamine A, rétinol et caroténoïdes et risque de cancer de l’estomac : une étude de cohorte prospective).

Shareck M et al, Inverse Association between Dietary Intake of Selected Carotenoids and Vitamin C and Risk of Lung Cancer, février 2017, Front Oncol, (Association inverse entre la consommation de caroténoïdes sélectionnés et de vitamine C et le risque de cancer du poumon),

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Médicament

Cancer : le chaînon manquant ?

Voilà ce que le livre de Mark Lintern provoquera sur votre cerveau. Et accessoirement sur tout le reste de la planète.

Commençons par… la fin.

Le sujet s’y prête plutôt bien… n’est-ce pas ?

Les cancers sont causés par des infections… de micro-organismes… des champignons… qui piratent le fonctionnement de nos cellules.

Voilà.

Oh ! Je sais !

Vous avez sans doute vomi votre goûter, votre muscle cardiaque se la joue Carl Lewis et votre cerveau danse la java.

Et pourtant…

Respirez à fond… Allez, on y va !

**************************************************

Soit le cancer. Mon autre dada (après la Chine).

Pourquoi ? Mais parce que !

Comme vous, des membres de ma famille, des amis proches… sont morts de cette maladie.

Et j’ajoute : mal crevés (longues et terribles agonies).

Comme vous, je les ai vus… assommés, torturés, détruits par les chimios aberrantes, subissant la démence des “oncologues” avec leurs “nouveaux protocoles“, les tumeurs qui se multiplient, qui deviennent résistantes…

Et au bout du bout… la morphine en biberon pour ACHEVER le supplicié…

Et enfin… le coeur qui lâche…

La délivrance.

On a abrégé ses souffrances“… est ainsi l’eulogie la plus couramment faite… suite au décès d’un cancéreux !

Comme la plupart d’entre-vous donc… j’ai vécu tout cela.

D’où ma haine. Et donc… une motivation élevée.

Mais avant de plonger dans le grand mystère du crabe, il convient de définir les mots.

Les oncologues sont des spécialistes d’une maladie que… l’on ne connaît pas (selon le mot sublime de Dieudonné).

Rien n’est plus vrai.

Un exemple parmi d’autres : les cellules cancéreuses se gavent de glucose, bien davantage que les cellules saines. Ce fait biologique est la clé du fameux “PET-scan”… imagerie médicale dont les “oncologues” font grande consommation pour leurs patients !

On injecte un produit radioactif à base de glucose (apparenté)… qui est donc absorbé très rapidement par les cellules cancéreuses et zou… ces dernières s’illuminent comme un arbre de noël sur l’écran.

Regarde comme elles sont belles tes tumeurs ! Elles brillent de mille feux sur le PET-scan. C’est noël.

Et pourtant… la plupart de ces pseudos spécialistes, ayant derrière eux 10 ans d’école de médecine et de longues années de pratique… la plupart encore nie l’utilité des régimes alimentaires REDUISANT l’apport de glucose ou encore l’intérêt du jeûne intermittent (en tant que support thérapeutique) !

Comment prendre ces gens au sérieux ?

(pas de malentendu, pour les fact-brouteurs neuneus, si moins de glucose, les cellules cancéreuses peuvent alors activer d’autres sources d’énergie : glutamine, lipides… il n’est donc pas question de dire qu’un régime hypoglucidique est un remède miracle).

Le cancer c’est donc d’abord une théorie unique depuis les années 60 : la théorie génétique, l’ADN endommagé.

Nos cellules se renouvellent en permanence… et un jour crac… pas de bol… ADN endommagé… pouf… mutations délétères… Les cellules se mettent à dysfonctionner… elle deviennent “folles”, et c’est le début des emmerdements.

Il s’agit bien de la soupe mentale que les médecins vous servent quand vous débarquez dans leur cabinet avec votre cancer velu qui vous renifle l’arrière-train.

Et cela fait 60 ans que l’on rabâche.

Et cela fait 60 ans que l’on applique les mêmes traitements (radiothérapie, chimiothérapie, la chirurgie étant à part)… qui démolissent l’ADN de ces cellules dingos et qui bien entendu dévastent… tout le reste… dont le système immunitaire.

Et cela fait 60 ans que CELA NE FONCTIONNE PAS !

Pire encore, ces traitements ne guérissent pas… mais aggravent souvent le problème… à cause de leur extrême toxicité.

(rappelons le principe pour les retardataires : on injecte un poison donc… en dose massive… mais juste en dessous de sa dose léthale !)

L’industrie pharmaceutique trafique et enjolive les données… en parlant de “taux de survie à 5 ans“… alors qu’il faut bien entendu se baser sur le TAUX DE MORTALITE.

Et à ce moment… la vérité apparaît, livide et rigide comme un cadavre : depuis 60 ansil n’y a eu AUCUN PROGRES !

C’est fou. Hystérique même alors que pour d’autres pathologies graves, maladies du coeur, maladies cérébro-vasculaires, pneumonies etc… nous avons fait des vrais progrès, parfois remarquables.

Mais le cancer, niet. A la marge. Des miettes ridicules.

Les seules améliorations (il y en a… mais rapidement compensées par des nouveaux facteurs aggravants)… sont dûes à des changements d’habitudes dans la population (exemple notable : baisse très marquée de la consommation du tabac chez les hommes… On pourrait aussi parler de la baisse de la consommation d’alcool… enfin pas pour tout le monde 😉 ).

Les cancéreux en général continuent de crever dans quasiment les mêmes proportions… malgré des gazillons de dollars dépensés, des moyens colossaux déployés et des gazillons de chercheurs cherchant frénétiquement.

On met souvent en avant les enfants cancéreux que l’on parvient plus facilement à traiter comme preuve des”bénéfices“, du “succès” de ces méthodes de sorcières infernales.

Mais on oublie de préciser que durant les années qui suivent… 80% de ces enfants souffrent des dégâts des chimios, et sont accablés de pathologies et que nombre d’entre-eux se payent de nouveaux cancers

Cette théorie, obsédée par l’ADN et ses mutations, souffre d’une multitude d’étrangetés, d’incohérences, de contradictions, de paradoxes… tous systématiquement ignorés par la doxa scientifique.

Si la théorie déconne autant et depuis si longtemps… peut-être qu’elle est tout simplement… fausse ?

Non ?

Oh la ! Tout doux !

Une telle inférence est bien trop complexe pour un “oncologue” professionnel de la profession !

D’où l’émergence d’une autre théorie… la théorie métabolique.

Qui fait davantage sens, et qui -elle- est capable d’expliquer certaines des étrangetés de la maladie.

Elle explique ainsi parfaitement la mécanique du cancer… avec les mitochondries (les centrales énergétiques de nos cellules) qui deviennent dysfonctionnelles, qui passent la surmultipliée, ne meurent plus… ce qui entraîne la formation des fameuses tumeurs.

Mais stupéfaction stupéfiante… le coeur de cette théorie, l’effet Warburg… date de 1924 ! Ca fait un bail !

Hélas, cette théorie n’explique pas le pourquoi

Cause ou conséquence de la cancérogenèse… on patine toujours dans la semoule… cent ans après !

Et malgré ce siècle passé, les “oncologues” ignorent pour la plupart l’effet Warburg.

Ils pensent probablement que c’est une marque de saucisses allemandes.

On peut ajouter une nouvelle pièce au dossier… avec la théorie des cellules cancéreuses… souche. Eh oui, ça se complique !

Elle explique pourquoi après une bonne dose de mort-au-rat pardon de chimiothérapie… qui tuent les cellules cancéreuses (et tout ce qu’il y a autour)… le cancer REVIENT TRES SOUVENT, encore plus résistant et de manière encore plus forte.

Elle explique aussi pourquoi le cancer se promène dans le corps… et va métastaser, dans d’autres organes ou tissus.

Bref.

Arrive ensuite Mark Lintern. Il n’est ni médecin, ni chercheur.

C’est déjà un bon point.

Et il n’est pas le premier. D’autres ont travaillé dans le passé sur la théorie infectieuse.

Pendant huit années, il a lu les études scientifiques relatives au cancer… Les a classées, les a compilées, les a confrontées aux différentes théories, les a questionnées.

Il a procédé comme un détective, en notant les faits, toutes les découvertes ne collant pas avec la théorie classique, voir la contredisant.

Ce fut un véritable travail de flic des tumeurs !

Un travail qui ne fut pas lesté ni corrompu par des conflits d’intérêts pharmaceutiques ou des années d’école de médecine, de propagande avalée au kilomètre, apprise par coeur… et régurgitée comme un automate.

Et des études sur le crabe… il y en a des paquets. Certaines ont provoqué son étonnement, voire sa stupéfaction, et ont fait progressé sa compréhension du problème.

Deux exemples (il y en a beaucoup d’autres cités dans le livre) :

Article publié dans Science, novembre 2022.

Il s’avère que notre corps abrite d’innombrables microbes, tout comme nos tumeurs. Au cours des cinq dernières années, les chercheurs ont montré que les tissus cancéreux contiennent des communautés entières de bactéries et de champignons.

 

Cet article comble une lacune critique en montrant que les bactéries présentes à l’intérieur des cellules cancéreuses peuvent modifier le comportement de ces cellules.

 

Les champignons s’installent également souvent dans les tumeurs. Certaines combinaisons d’espèces fongiques sont corrélées à des chances de survie plus faibles dans plusieurs types de cancers, en particulier  des ovaires et du sein.

Ca secoue sévère, n’est-ce pas ?

Un autre truc fou-fou qui date cette fois de 2013 (publié dans la revue Mycoses) :

Diverses infections pulmonaires fongiques peuvent présenter des résultats radiologiques qui imitent le cancer du poumon. Faire la distinction entre ces lésions infectieuses (tumeurs) et le cancer du poumon reste difficile

Ah bon ? Les deux se ressemblent à ce point ? Au point… de se confondre ?

Alors… c’est peut-être la même chose, non ? 😉

Allez, une autre spectaculaire… publiée en 2021, par une équipe chinoise (Theranostics).

Notre analyse a clarifié l’importance de l’homéostasie fongique dans l’estomac et suggère que le déséquilibre fongique est associé à l’apparition et au développement du cancer gastrique.

Une petite dernière pour la route (BioM, 2021).

Notre étude précédente a montré que la diversité de la microflore fongique buccale des patients avec un cancer de la bouche est remarquablement différente de celle des individus en bonne santé. La charge fongique et la diversité des levures étaient significativement plus élevées chez les patients atteints de tumeurs buccales que dans la cavité buccale des individus en bonne santé.

Qui est au courant ?

Quels sont les médecins, les “oncologues” qui savent cela ?

Ont-il lu ces articles étonnants ?

Ont-ils réfléchi aux conséquences ?

Ont-ils réévalué leur compréhension de la maladie, leur pratique… à la lumière de ces coups de butoir conceptuel ?

Non, bien sûr que non.

Depuis des décennies, nous pensions que les tumeurs étaient stériles… et paf… on comprend qu’elles abritent en réalité… tout un monde de saloperies microscopiques !

Ajoutons, suprême ironie, que selon la doxa officielle, 15 à 20 % des cancers sont déjà causées par des infections !

  • Cancer du col de l’utérus (papillomavirus)
  • cancer du nasopharynx (virus Epstein-Barr)
  • cancer de l’estomac (bactérie Helicobacter pylori)
  • Et même des cancers créés par… des parasites… oui, oui… des vers (miam miam !).

Ca fait désordre, non ?

Mais une famille de micro-organismes reste étrangement dans l’ombre… alors qu’elle est énorme, que nous en avons des gazillons de membres A L’INTERIEUR de notre corps et SUR notre peau…

Ils sont partout dans notre environnement, dans l’air (via leurs spores), dans les sols, sur la nourriture que nous ingérons, sur les objets que nous touchons.

Les champignons (levures, moisissures…).

Certains peuvent nous guérir (pénicilline, les champignons médicinaux chinois)… d’autres sont “magiques” et nous font planer (psilocybine), d’autres nous nourrissent et nous font plaisir (ah bon dieu une fricassée de trompettes de la mort ou de girolles ou de pieds-de-mouton à la crème… l’extase transcendante !).

D’autres nous pourrissent littéralement la vie (en croissant et en libérant des mycotoxines, par exemple Candida Albicans ou Aspergillus), et provoquent de nombreuses pathologies.

Enfin certains… sont bien entendu capables de NOUS TUER.

Que se passe t-il quand nos organes ne parviennent plus à les “tenir en respect” ?

Quand ils s’échappent de la prison biologique dans laquelle notre corps les maintient, tant bien que mal et dans un équilibre délicat (eux et avec d’autres micro-organismes, bactéries et virus) ?

Que se passe t-il quand nos défenses s’affaiblissent, que l’équilibre biologique est rompu ?

Ces micro-organismes… se développent. Ils grossissent.

Ils sont hétérotrophes… cela signifie qu’ils se nourrissent… sur la bête : vous.

Voilà pourquoi… la problématique du système immunitaire (et du microbiote, les 2 sont liés) devrait être au centre du débat !

Car les corrélations entre carcinome et système immunitaire sont très nombreuses et très marquées.

Et malgré cette évidence… quel “oncologue” répète à son patient qu’il est nécessaire de muscler son système immunitaire ?

Au contraire… ces abrutis injectent de manière obsessionnelle aux cancéreux des poisons (dérivés des gaz de combat comme le sinistre gaz moutarde)… qui RUINENT leurs défenses immunitaires !

Même les médecins de Molière au 17ème siècle paraissent aujourd’hui… plus rationnels que cette clique de singes sous LSD.

Ceci est un “oncologue” qui réfléchit à son prochain “protocole”… cocktail de chimiothérapie avec la paille, mais sans l’ombrelle ni la tranche d’ananas.

Voici la thèse de Mark Lintern résumée, à grands traits, dans un diagramme comparatif de son cru.

Pour les impatients ou les paresseux, je signale que l’auteur a créé un PDF de 21 pages… afin de présenter/résumer sa théorie (spéciale dédicace à notre Stanislas national qui n’aime pas les formats longs, ou courts, je ne sais plus).

(lien ici pour le télécharger)

UNE FAIBLESSE

Il y a, de mon point de vue, une faiblesse structurelle dans la théorie de Mark Lintern.

Il s’appuie sur de très nombreuses études scientifiques  tout en citant une vaste étude américaine (National Cancer Institute) qui affirme que sur environ 1 million de papiers consacrés au cancer… 80 % sont… BIDONS (dans le sens non reproductibles) !

Ca fait mal.

L’industrie du cancer repose ainsi sur un corpus de connaissances scientifiques… vaseuses (au mieux)… voire totalement loufoques (au pire).

Et ce ne sont pas les années de covidémence… qui vont infirmer cela. Bien au contraire !

Nous avons tous constaté les débilités ahurissantes racontées par de nombreux “scientifiques” déjantés à propos du “Sars-Cov2″…

Certaines études publiées dans des prestigieuses revues à comité de lecture étaient carrément FRAUDULEUSES (le Lancetgate par exemple, mais il y en a hélas bien d’autres).

UNE CONCLUSION (TEMPORAIRE)

Ce livre est majeur.

Je pèse mes mots et mon italique.

Il est très complet, très riche, plus de 600 pages.

L’auteur s’appuie sur et cite des centaines d’études et articles (927 !!!!), liste des preuves, les entrechoque les unes les autres, et déroule son argumentaire d’une manière à la fois implacable et didactique.

Il faut s’accrocher, c’est dense, mais accessible à l’honnête homme.

Il explique les différents mécanismes en jeu, les différentes étapes, les processus biologiques (et même moléculaires pour certains), il met en lumière les contradictions, les liens cachés… jusqu’aux solutions thérapeutiques.

Eh oui… car comme par hasard… de nombreuses molécules génériques qui ont une activité antitumorale reconnue ont aussi des propriétés antifongiques.

Aussi ou… surtout ?

Liste non exhaustive :

  • metformine
  • les catéchines du thé vert
  • curcumine
  • mélatonine
  • berbérine
  • menbendazole/fenbendazole (antiparasitaires, mais aussi antifongiques. Protocole utilisé par Joe Tippens)
  • itraconazole, clotrimazole, miconazole (par définition)
  • resveratrol
  • disfulfiram
  • doxycycline (mais oui un antibiotique)
  • cannabis/CBD (une bonne défonce… antifongique)
  • mistletoe (le gui, la plante)
  • tamoxifène (eh oui… un médicament qui est donné contre le cancer du sein, c’est un anti-estrogène… mais il est aussi antifongique !!!)
  • et même atorvastatine (famille des statines), etc.

Mark Lintern n’est pas totalement isolé, tel un Don Quichotte du caducée. Des professionels de la santé commencent à ouvrir leur chakras et à considérer voire à appuyer ses analyses.

Je n’affirme pas que Mark Lintern a raison.

Je dis que :

  • Sa thèse est rationnelle, qu’elle s’appuie sur des fondations à la fois nombreuses et solides.
  • Qu’elle est élégante par sa simplicité et sa largeur de bande.
  • Et que finalement elle parvient à assembler dans l’ordre toutes les pièces du puzzle.

Ainsi, plus qu’une théorie de la Cell suppression (le nom qu’il lui donne, mais difficilement traduisible, par opposition à la théorie génétique de la cellule dysfonctionnelle), je préfère la qualifier de Théorie Unifiée du Cancer (elle ne rejette pas tout le corpus existant… elle le complète superbement, elle le rend finalement… cohérent, logique).

Reste à prouver que la fresque ainsi obtenue représente bien… le monde Réel… et non un énième borborygme intellectuel.

Les scientifiques doivent donc appliquer la démarche scientifique… et se mettre au boulot… pour valider ou invalider cette thèse.

Il y a urgence.

Le “Covid” fut une mascarade en terme de santé publique… Une farce absolue.

Le cancer… voilà le véritable tueur.

Voilà la véritable pandémie (10 millions de décès CHAQUE ANNEE, l’OMS en promet bien davantage dans le futur… merci les produits ARNm “sûrs et efficaces“).

Bref. Lisez ce livre (en anglais).

Lisez son synopsis de 21 pages au format PDF.

Traduisez-le. Faites-le tourner. Bougez-vous.

Parlez-en sur les réseaux.

Dans vos familles, avec vos amis (du moins ceux qui  restent… après la covidémence).

Partagez mon article (comme introduction).

Faites pression sur des éditeurs français pour traduire le bouquin. Faites du bruit. Mettez vos copains journalistes (ceux qui sont encore un peu honnêtes) sur le coup.

Car n’oubliez pas… statistiquement… VOUS FINIREZ PAR PASSER A LA CASSEROLE !

Je reformule : vous aussi vous finirez par développer votre petit carcinome… pas de jaloux !

Quant à ma propre contribution… vous connaissez le style de la maison… elle sera politique.

Si, si ! 😉

Démonstration :

Le cancer est -nous pouvons l’affirmer- l’apanage de la médecine occidentale.

Nous avons créé cette industrie, littéralement… Et nous menons toujours la danse dans ce domaine.

Nous dominons, osons le mot (même si c’est sans réussite, et sans gloire !).

J’appelle donc les ennemis de l’Occident, la Chine et la Russie (et l’Iran même) à comprendre qu’il y a là une formidable opportunité d’humilier l’Ouest… et au passage, pourquoi pas, d’alléger les souffrances de leurs populations et de faire avancer la science à pas de géant.

Déployez des moyens du type “Projet Manhattan“, ah non zut ça va déplaire à Pékin… des moyens à l’échelle du “Barrage des Trois Gorges“… 😉 et foncez !

Mettez le paquet !

Et validez ou invalidez cette satanée théorie.

La motivation est solaire : vous pouvez mettre échec et mat… des pans entiers de Big Pharma et de l’infrastructure médicale de l’Ouest.

La guerre ne se livre pas uniquement avec des armes cinétiques, ou des coups fourrés (la fausse pandémie coronavirale, les poisons ARNm)…

La guerre peut également s’appuyer sur… des découvertes scientifiques majeures.

Peut-on imaginer meilleure combinaison ?

Vous pourrez faire de la médecine (de la vraie) et en même temps… de la politique. De la grande géopolitique.

Je tente le tout pour le tout… et j’ose ce slogan :

Tuez le cancer… vous tuerez l’Occident.

Au boulot nom de dieu !
POST-SCRIPTUM

La science se concentre sur les bactéries et les virus… Les champignons semblent ignorés. Parce qu’ils oeuvrent lentement ? Très lentement ?

Nous savons peu de choses. Leur monde est encore largement inexploré.

A ce jour, six cents espèces ont été identifiées… comme pouvant causer des pathologies chez l’homme, parfois lourdes.

La maladie de Kawasaki (coeur, système vasculaire)… Candida.

La maladie de Parkinson (système nerveux)… là encore on soupçonne des champignons (une certaine levure produit 1-octen-3-sol, une toxine qui s’attaque aux gènes transportant la dopamine).

Et même… la sclérose en plaques !!!!!!! (selon une étude datant… de 2010 !).

Sans oublier foule de maladies de peau, de maladie gastro-intestinales, dont certaines peuvent être mortelles (rhizopus microsporus).

Le syndrome de Crohn (lié directement au microbiote) (un papier de 2018 fait état d’un traitement antifongique ayant fortement réduit les symptômes de la maladie).

Et… des méningites ! Et même… du diabète (Candida pouvant provoquer des niveaux élevés d’insuline).

Et… des allergies. Des sinusites ! Aspergillus est associé aussi à l’asthme, aux pneumonies.

Candida peut même coloniser… les ulcères de l’estomac.

Liste non exhaustive…

Enfin, comment ne pas parler… des infections nosocomiales ?

Candida albicans, Candida auris… colonisent les hôpitaux ! Cibles de choix… Ils s’attaquent aux malades immuno-déprimés. Ils se protègent des contre-mesures avec des “biofilms” (qui peuvent également protéger d’autres pathogènes !).

Nous avons ainsi une longue expérience morbide… avec les malades du Sida

Rappel : le Candida peut faire sourire… mais lorsqu’il devient invasif et systémique (candidose)… le taux de mortalité atteint 40 % !

C’est soudain moins drôle.

Et quid du monde extérieur, de la faune, de la flore ?

Vous connaissez tous le coup du champignon qui prend le contrôle… des fourmis (de leur système nerveux !) et les transforme… en zombie.

Sans oublier les champignons… dans le sol qui aident les arbres à communiquer entre eux ! On appelle ça un réseau mycorhizien (à ce sujet je vous conseille le superbe documentaire : Fantastic fungi).

C’est du délire.

Bref… les preuves des capacités et de la toxicité de cette multitude de micro-organismes, s’accumulent…

Voilà pourquoi affirmer qu’ils pourraient causer les cancers… n’a rien d’aberrant.